e.,. NOS ELLIS - Bibliothèque de Toulouse

EN VOYAGE A TOULOUSE
.'3 La Cullidrence-Rdgionale
dus Agnis dus P. T. T.
(gueula»
/L PROFANE UNE FOIS DE PLUS
LE VRAI PATRIOTISME
Lunévil., 10 novembre.
Il
été donné à ceux qui ont du patrio-
tisme une claire e saine notion de subir
aujourd'hui une de oes parodies grossières
du patriotisme prof.simmol dont M. Ellen-
ne est devenu le Chef et le protecteur. -
Le ministre dos omnibus est venu Mau-
:ramer, aujourd'hui, r langui d'aviation
de la garnison et remettre solennellement
le drapeau au 100 bataillon de chasseurs 'à
med.
Les réactionnaire, dont renthousMsme a
gen, humilie et écuré les républiCains,
ont fêté c °monsieur. Ils avaient donné le
signal des pavoisements et toutes les M-
ottes demeures étaient décorées.
A 10 heures, le ministre des tréfileurs et
des finanMers a assMté h la revue des trou.-
pro et b000re0000io de /a remise du dra-
peau, il prononce cette allocution qui est
Mun grotesque poinpiérisme » et qui est
bien leuvre de celui qui n'a d'autre com
Motion que colle de servir les MM.le fg
nanciers. Le vrai patriotisme s'exprime sim-
plement.. Jugez de ce chef-dbuvre
Glorieux drapeau des 31 bataillons de
chasseurs h pied. qui renferme da. tes
Mis rimmortei fait d'arme de Sidi-Brahim
et qui l'illustre en ro moment. au Maroc,
par les le et fée bataillons, je te conf0 à
loi val lance du 10e haat on
Offiger, sous-officiers et soldats du Me
bataillen, vos aînés out parcouru la plupart
des °hanaps do bataille, aussi bien en Afri-
ime qu'en lturepe et en Asie; vous étiez et
ils Muent a tely, gut mIt fin
pumsance
redoutable de l'émir Abd-e/-Kader; il
étaient et vous étiez à Solferino, où leur
inavOuromalut h leur drapeau la croix de
chevalier de la Légion d'honneur; vous
étiez Cilla étaient au Tonkin, à Madagasear.
Partout où ils ont combattu ils ont affir-
mé leur vaillance et M grandeur de la Fran-
ce; vos cinés ont vaincu; vous, soldats du
Ide bataillon, vous fer., h l'avenir, ne qu'Ils
se si bien fait dans le p... a
Aprbu ce morceau de mauvaise Titi tesla-
se, le ministre des Omnibus et de, Tréfile-
ries du Havre pousse le cynisme au plus
haut point il va embrasser le drapeau!
Ceux qui connaissent la vie de M. Etienne
ne pouvaient contenir leur indignation.
Armes la remise du drapeau, on inaugure
Io champ d'aviation où des discours sont
prononee par b sénateur Reymond - :e
sopa', ...hist, de Gemenceau - par le
maire de Lunéville et par le minuter
Etienne.
Puis décore des officiers et un han-
tract est servi après 1..1 le cortège offi-
ciel s'embarque pour Pues.
fg. Barthou indisposé
PerG, 16 novembre.
thon, preident du eouseil, ayant Prié
froid Iner sotr, à la sortes de /a cérémonie Dide-
rot, ne pourra présider ri-sur te banquet de
l'Union des Sociétés de ,gronastique; il sera re-
maisentA par le gkérat Sajou i. gemverneur mi-
litaire de Paris.
Un Tournoi. inierndonal
Gyeinastee
SPORT ET POLITIQUE
Paola, 16 nos marbre.
Le sixième tournoi de gym...igue des
Fédérai.. européennes a commencé au
Gymnase Japy, ne matin. b 8 h. I.
Lee paya étrangers ont envoyé leurs meil-
leurs ellairmiusso par groupe de huit dont Mx
sont officiellement désignes et deus sont là
2-arira sapée/or h «Mx qui Miraient des de.
iiiiiraMes ou. des accidents.
La Bedgiquu a envoya les atbratm de la
F4cléeatiOrl, belge du gymnaritiq.; la Ro._
use, ceux de ta Gee& Ober-Sokoiska; l'Italie,
ceux de la Fédération natimala italienne; is
Luxembourg est représenté pair Les meilleurs
suris de IL Mon des 000 10405 d/uxembouggeoi-
ses; la S.v.., par ceux de la Slomensha
Scolera S'onze.
La Fransie a choisi parmi les lauréats de
rtiudon des Smala,ds de gymnastique de
France.
Dau.n les tribunos maternagenu tout autour
du Gymnase st que l'on paveisees pour la
circonstance, une foule énorme se pies..
qui .clame les ehampionst dont lac cyan-
aieotode souplesse ou de farce sont remar-
quables.
A ce tournoi, le r Granit touriste 5 qu'est
le premier baladeur de France, 01. Poincaré,
a a..té cet apresemidi et le mindere de
/rIgtérieur, m. Nets a prOnencié Un discours
qui aérait pas olat meilleur a-propos.
Drus une réunion in,ternatiOnale, dans la-
quelle de noneforeim étrangers &aient pré-
seuls, es ministre a prononcé en discours
nationaltste, ne se ,preacoupant que de son
x département »et limitant au militarisme
français la perlée d'une grande matrifehta-
tion sportive de toutes les mations.
C'.t ainsi qu'il ,déclare
A notre époque, l'alcoolisme etlia tuber-
eulose font partent de si terribles raivagûs,
qu'ils constituant dans certains de anos dé-
partements do véritables Iléaux. Il est indis-
pensable d'employer, pour Ses combattre,
tous les troyens eta notre pouvoir et, parmi
ceux-ci, rie faut-il pas alter au nombne dm
meilleurs la .1ture physique ? Elle pormet,
porta vie eu grand am, de Ltinainuer les dan-
gers qu'offrent trop sauvent, hafiàs ! Ies fau-
bourgs. malsain., tes Logements. insalubres,
d'échapper à certaines promiscuités, de, Inf-
liger les membres et de les assouplit. de fai-
r de La génération qui mont une génération
saine, robuste et vigourn., par it'a
Plos disposée à l'aohon, plus apte a.si,
mieux entrain., b supporter tes uMigations
dus servies argue' et à se plier h toutes ses
xigences.
« Je dois, dit en mutinant, le ministre de
ilateri.n, associer dans Je mime senti-
ment de gratitude les, sociétés de gymnasti-
ques qui, elles aussi, concourent au même
Mut Gee également chez elles que ir sont
formés des /80.000 jeunes gens dont se com-
pose la ela.e de 20 anis, qui sauront, Xb
faut, défendre les lote.la et la grandeur du
pays.
Et il termine par ces mots du gitnéral
Champ r s Nous vous douta/ms dm hommes;
faites-nous des soldats.
APRES SAVERNE
Quoi de Vrai ?
hes journaux m./1.es fu,u,
au sujet de l'in, dent de Saverne. Ils pabbet,t
Osa propos qui auraient éte tenus par des nef/-
rien allemands. D aprèa enx, le tenatecant sua
.Mmotner eurnat dit hier a aes rennes Ia en ce
soi ule 00reairte, je vous permets de en_ na,
lO drapeau tuncais E Un général aurats Mt que
los Franenia &aient &as fripeuEles, ale,
d.vey a-t-it cia neai d,arra lent noie
Mea.. Quoique en ead, ei noua farad ri m
carme,s dag lieds cet& tke Os Prongere valent
''asprasanqoe be aube. et qu, vernt
bal touvailasers est ale oefeer mua ces Se.,
Samcetomscan espar areape.
UNE BELLE REUNION
A PocCaSiOn de la conférence ntgionate,
qui a eu lieu aujourd'hui, et a réuni les dé-
légués de Toulouse, Montauban, Carcasson-
ne, Harbome. Perpignan, Cahors Rodez,
Foix, Auch, l'A. G. des Agents des P. T. T.
avait organisé, cet après-midi, au Conser-
vatoire, une réunion publique. Les ques-
tions, gui avaient ele étudiésu par la con-
Térence elle mémo 1, la crise éte.s effectifs;
Z. la situation de la femme dans l'admin.
tration; 3, le reivernent des traitemnelS;
4. les mutations ont été également à For-
d. du jour du meeting. Und large part y
Cela faite aux e.eignstnenG de la volas tri-
p ouhete dela
Melun yin a plongé dans le Ami/
t famille postale..
Le camarade Mail ira, de Montauban, prê-
radait entouré des représentants des dames-
employées, ouvriers des lignes et sous-
agents.
Lo président excuse tout .d'abord Mme
Pivettes, délégué de Paris retenue par la
maladie. Il donne ensuite In parole au ca-
marade Chausseur°. de Rodez, qui traie de
ra crise des effectifs et démontre quo l'Ad-
ministration n'a. pas Su Mendie 1mo mit-
res pour répondre à l'augmentation du Ira-
liard donner r repos hebdomadaire à son
personnel.
Sabra, dans un expose bourré de faits et
d'arguments, vient eaposer la situation de
la femme /Mins l'administration et revendi-
quer pour elle rédalite de salaire. Il énu-
mère neanmoins les mesures Danser.ne
par lesquelles FA. 0. veut aider la femme à
s'elever b une situation meilleur, Elle a,
notamment obtenu pour ell, devant !a
commismon extra -parlementaire, l'égalité
des salaires da début des elamemomployées
et des surnuméraires.
Le relèvement dos traitements et l'obten-
tien en 1914 de la totalité de l'augn.ntation
promitsu k toutes les catégories du -person-
nel postal, doit être e but mmedial pour-
SUivi par les organisations professionnelles
qui n'oublieront pas. eependant, les réfor-
me, ruralnn tell. que la publication de ta-
bleaux pour les changements de résidence.
Gela aura pour effet de redursr
favori-
tisme cette plaie embattu,
js. G et
telilo les groupements de Panelalre, A
l'appui de sa thèse, Sabra rate je exotnfiles
de M. eguppi, député de M Elaute-Garonne,
do M, tthaumié, sénateur du Lot-e-Garonne,
de M. Louis Dreyfus, député blackboulé de
la Lezere, qui fsuaient établir, par un co-
mité pMÙique, un tableau de créatures 'a
caser dano lette département et bnposaient
ces nominations aux bureauX des différen-
tes administrations.
La péroraison, qui est un appel vibrant à
l'union, est rouverte d'applaudissements.
Au nom do se, camarades ambulants. Cap-
dopent parle des conséquences de la catas-
trophes de Melun.
.
Dégageant la responsabilité du mécanicien
Dan aine, il démontre :incurie de radmi-
lustration des postes et des nornpagnies de
chemins de fer qui n'ont pas su prendre 1's
mesures. depuis /engem.; réclamées, pour
élit. une catastrophe depuis longtemps
prévue.
Il demande la suppression hi/médiate de
l'éclairage au gaz, cense permanente ein-
cendie et. la Gonstruction de wagonseposto
métal! igues.
Après une nouvelle intervention de Su-
bm sur la seidarite à organiser entre pos-
tiers et eheminots, et quelques mots de
Marfa.. au nom de blé. G. des indirecte,
les ordres du jour suivants sonl. adopés à
l'unanimité
LES ORDRES DU JOUR
1. Le Groupe toulousain e les délégués
des groupas de la région envoient un salut
ému aux camarades ambulant% victimes de
la catastrophe de Meun, adressent toutes
leurs condoléances aux familles et leurs
ymitx de prompt rétablissement aux bles-
sés et leur vive reconnaissance aux sauve-
teur,.
e, 2. Le Groupe toulousain, convaincu que
les causes prinCipaies de La catastrophe sont
plus imputables a l'imprévoyance et à ri.
curie de la compagnie eau défaut d'atten-
tion d'un travailleur surmené, derilerent
qu'on veuille concentrer toutes les respon-
sabilités sue ce camarade et engagent les
cheminots h poursuivre leur campagne de
vraie justice.
« Donnent meule impératif au conseil
d'organiser une vive campagne en faveur
des cheminots et de les aider moralement
et pecuniaireruent à obtenir justice.
« 3. tes postiers réunis donnent mandat
ferme au conseil d'administration de FA. G.
de poursuivre par tous les moyens qui se-
ront jugés utiles la suppression dans le plus
bof dé ai de l'éclairage au gaz ds les
convois.
« Réclamant des pouvoirs publics une in-
tervention in-médiate auprès dos compa-
gnie, pour qu'elles prennent toutes mesu-
res propres d. assurer la sauvegarde des
voya,gours el du personnel.
S'engagent b veiller â ee que les règles
de droit commun soient appliquées nomme
par le passé pour l'indemnisation des -M-
ME..
«I. Les agents et sous-agents et ouvriers
des P. T. T.. réunis le 16 novembre 1913,
dans la salle du Conservatoire,
« Considérant que malgré les nombreuses
concessions faitrs par le personnel devant
la oodunission extreparlemetneire, d'abord,
devant le ministre des finances ensuite le
Sénat n'a pas voulu s'esse.. aux promes-
ses failes par le gouvernement ot la Chem
Sire des députés. ni s'engager a nous acoor-
der le minimum d'amélioration jugé indis-
pensable.
« Déclarent reprendre leur complète IS
becte eaction et revendiquer la réalisation
totale et immédiat, pour la prochaine an-
ruilé, de tout e programme fixé par la com-
mission extraparlementaire. if
La séance est levée à six he,uras et de-
mie.
IVIaroc
ENCORE DES COUPS DE FUSILS
Rabat, 16 novembre,
On mande d'Agadir, b 14, Mune recon-
naissance est sortie, dirigéu pid le comman-
dant Auroux. Elle a été attaquée à un en-
droit dit Taisent-FI-Roumi.
lino contreatteram exécutée par les trou-
pes restées nu bInckaus dipersa
qui eut de nombreux tués.
De notre cesS, nous avons eu cinq indigè-
nes blessés.
Quand dono cela finireral ?
En Hongrie
LE CHABOT PARLEMENTAIRE
Budapest, 16 nosembre.
La Cour d'appel a tendu hier son juge-
ment dans radante des députés qui, é la
Ou de la dernière session parlementame,
avaient lance des carriers et des Godes vesr
le banc ministériel, blessant le président du
et le ministre de rague...se.
L'ancien députe Hobart., a été condam-
né h un mon, de pusou et tond. couronnes
d'amende et MM. Julius Mardi, et Ott0 liof-
mem, à quinze jouis de prison.
Len bais autres aneUeeS, M. Zonln Reck
et 1es simiens députés Joseph Mutare. et
Louis egoa, tant été Aregailtée.
Dans les Balkans
La Paix s'affermit
EDMOND ROSTA.N1), CHAMPION
DES MUSULMANS
Janin, le 16 novendore
Le tel5gramme suivant vien traire adressé Par
les représentants des nabitants de Koritta à M.
Edmond Rostand
Edmaaal Agstand, Amende Française, Parts
Les vingt mille ha*ante do Keit., que la
rOnfUrrn. de .Londees veut hvrer à la barbarie
albanaiee, s'adressent au plus généreux des poè-
tes. traie supplient d'élever sa voix éloquente en
leur faveur. Ils ne se croient pas moins dipnes
pitié que Murs compatriotes défendus autrefois
par 00ran et Victor Huée. Es sont t bout de for-
ces, car lm. calvaire a duré un siècle de Plus.
UNE CROISIERE FlIANEAS.
Beyrouth, is novembre.
L'eseadre franoaise a appareHMmIe Gain pour
Vourlah.
Le croiseur itnien-dega-Gragiare appareilla
pour Adalia et Voletai,
Pendant. le séjour de rescadre française
Vomi., l'amiral Boue de Lapevrare Se rendrait
en visileoffleible n Constantinople, accompagné
dun certain nombre d'officiers de in.e.'elre.
UNE GRAVE ACCUSAnON
Vienne, 46 novembre.
Irapràs sas télégramme privé .de Sofia, au j
corda Midi, le général gayns aurait déclaré que
l'ordre de commencer la seconde grimes contre
la Serbie et M Grecs lui fut dieLement .donné
par 0001 Ferdin.d.
LA .LIBERTE DES EAUX
Constantineple, 16 novembre.
Au coure de Feimtre,. idiote entre /e grand-
vizir et M. Ldvidis, 11 a lie comv.0 que le, na-
odes tant grecs que turcs peuvent naviguer li-
brement dans le, eaux Oe'noOl de l'autre pays.
Lm légations et les consulats grern moi tfitil,'
le drape. national.
L'ACCORD GREGO-TURG 05 ALLEMAGNE
Berlin. 16 novembre.
La Gaaetle oie g4Itenlagaa da Nard novPrime
ainsi deus sa revue de ta semaine
Leu pui.ances out maereste Men 11,1h
iorri qDelles avaient à ce que les udgesialeons
gréco-turqUes se terminassent paerfamernen, et
eekt rame 0 cette attitude. grage aussi î
vend,nn diacrête, mais nette, de la Roumanie,
que la paix entre la Grèce .1a Turquie est main-
tenant une réalise.
a Quant aux diffleultés qui subsistent en ce
qui concerne l'attribution des lieu et la délimita-
tion de l'Albanie, rues perdront sage doue alleel
être résolues pacitImiement. La diplomatie euro-
péenne dispose, pour ce travail en commun, de
moyens éminemment propres s donner aux pe-
sa.. le sentiment le plus vif de Mur .lidarite.
A ce point de,oue. il convient de se féliciter
de ce min dl gokovsoff aille â Berlin 5 Pi.ou de
ms séjour SF5005. Ses entretiens avec l'empereur
Guil/aunie et avec ses conseillers confirmeront
encore l'excellente impr.sion qu'a faite à Ber-
lin /a récente sis 5e de M. Sasonoff et. prouverant
nonne. la bonne intelligence qui préside ara.
lion commune des Aandes puissances rauchant
les yumtions non encore rdsolues de la politique
orientale.
LE TRAITE DE BUCAREST AGGEPTE
Sega 16 novembre,
tie matin a eu lieu une ranale SëanCe publique
Sa murs di laquelle 01. Hadoslavott a lu in dé-
claration ministérielle. La déclaration rappelle /a
gravite du moment où le, cabinet fut .netitue,
les sacrifieos douloureux imposés par les citron,
'ancre 05 ta conolusion des trait. de Bu.rest el
de Constantinople.
La gouvernement, a-s-ii dit., accepte re trot,
de Bucarest sous résieraea dun Piste équilibre
dans us Balkans. Ces rdsinves ont été formulées
à la sulle de la déclaraitof de deungrande,pui.
saines, en sue de la resislon des traité par tomes
ms grandes puissances. En ce moment, comme
a./ors, le gouvernement considère ces réserves
comme inséparables du traité de paix et em-
p/oiera tousses efforts, en suivant une voie pa-
cifique et en usant des moyens dc ta diplomatie
pour la Os apparier au traitê de Bucarest des re-
vendications qui, tont en étant compatibles atee
les intérete de h paix en Europe, assureraient la
trempante dans la péninsule balkanique et le
.progres aux peuples qui l'habitent. .
A
SOMBIFuEORIZON
L'ATTITUDE DES YANKEE
Meyzieu, 16 novembre.
Les miliMIX bien informés ont pendu bout
espoir de voir les choses o ramniner b fa-
miable.
Lalique; dee Etats-Gris est co.idérine
Palais national, de Medioo ciumno
une intention de lutter centre la volonté du
peuple mexicain do repousser toute inter-
volition d'une puissance étrangère dans ses
affaires intérieures.
LA GUERRE CIVILE
La joie tegm parmi lru eointitutionnali,
tes, b la sutra de La prise de Cuneo; c'est
pue SOU,. SUS que les aune peuv.t être
importée dûs Eres-UniS.
li parait quo la récente attaque dirigée
contre Chihuahua, par le général Bancha
Villa, n'était qu une feinte dans le but da-
tmner Isa fédéra.? dégarnir la position de
Juared. -
Banche Vikla s'était empressé de faire
monter lo igrOS de son arme e, ,cians un t.in,
qui fit route la toute vapeur vers. Suarez.
Arrivae à la tombée do la ntut, les o.-
titutionnslistes mirèrent dans na ville, et M
garnison qui y était restée e'enfuit dene
L'ANGLETERRE SE PREOCCUPE DES siErrs
Londres. 16 novembre.
StliNau ni teégramme do Mexico, M. Car-
d., ironie d'Ang,teterre, a notifié g tous
ses nationaux, par l'Intermédiaire des con-
suis, 10 communiqué adressé au général
Fluente par M. Lied.
Il les a en inéme temps prévenus de se
tenir mets h partir mi premier avertisse-
ment pour des résitioneee plus mires; ceux
dentra eux qui trabitent des potes éloignés
sont priés de se tenir réunis dans les grands
centres, d'ou ils pourraient plus facilmnent
mettre à l'abri.
UNE GRAVE MESURE
Mexico, 16 nover...
Toua leu attaehes inifilaines dis leg.ations
mexicaini'a à lelnanger ont été rappelés té-
légraphiquement au Mexique,.
HUERTA S'ENTETE
Le général Huerta a fait hier soir la dé,
claratem suivante
- JO [ne m'eu irai pas; je suivrai la même
Irgnede conduite que par le passe atm:em-
ploies:us de tous mes efforts a amener la pa-
cification, du pays I j tiendrai ainsi la pro-
messe que j'ai faite en prenant le poovoir.
Le général a reconnu que 'la sjtuation
pourrait devenir .ralite que los étrangers fus-
sent en press.t dangor; dams ce cas astbil
ajoute je ferai toué, ce qui sena en miss pou-
voir pour assurer leur protection.
« Il est vrai, asteii ajouté que eertaines
claseas
ia population pourraient .
tevor; ehésiterai pas alors a appliquer
Les méthodes les plus sévère dont Je dis'',
serai pour rétablir' l'ordre st unir liele oOle-
ables; en tout vas, je suis néselm à poursoi_
ore mes tentatives pour l'exécution do mon
.progrenune de paratioartion.
Gest dullo comme. tous oes gens Ta parlent
tronjours de sévir et de fusiller en pinne._
nen le mot de 50 pacification
DANS L'ORIENT TROUBLE
Ktamil Pacha est kart
CE QU'IL FUT
t'ancien: eénd viane ottoman, vient de mourir
dams rale de Chypre,
quatrng
son pays natal, A rage de
t
On . rappelle encore .es tronque, evene-
men. qui, le 23 janvier 1911, Oct mie fin an
grand vizirat. de Brama.
En Coup da main jeunerauro, organise pax En,
ver bey et Talau bey et au cours duquel
tue le ministre de la guerre. NaSItil pacha amena
In deniers°, du grand ogle.
On Man à la vedle de la sono/estoc de la pua
turon-balkainque. Manin avait accepté de Calier
Andrinople mn Bulgares, avent que resta forte-
resse eut .00 prise. tiette attitude du cabaret sus-
cita lo coup de main er eu assura .re repaie suc_
cês.
Du reste, depuis le début du nouveau regime,
/es rapports entre tisamil pacha et Je confite
Emon et Progrès Stem ouvertement hosti-
les. Aven Mem meurt un éminent ropresentant
O e la haute politque turque ce qu anode
e homme d Etai itoM ébranle entra tous,
dans un pals gal aile s affaiblissant an dedans
et ...ors! Et il faut remuaits que dans sa
longue carrière politime - 11 fut grand
vizir peur ia premlere fou en 0500 - mared
a montré un véritable talent d'adinmieratere
de diplomate.
La révotiltion de 1008 devait sans -doute dés,
merder le vieillard quo avad passa sa vie 5005
le Me% hal/dieu. Et à la fin de ses toms, le
sort Pa mis une fois de lelns alu tee du iras-
serrement dars une situation critique m plus
embue 'sa ail Amers* lemme ottoman..
.apreS ea Mme, il se cours defirutiveinent d,
111 00 politique.
Dans sa terete fore., il aura sans douta par-
tage ea joie de es.nipandires, amis et ennems
du revirement de fortune cosi a rendu d. La Tur.
que AndrinOple et la Thrate orientale.
Notre Marine
Toulon 15 nvoembre.
Les nouveaux cuirassés « Courbet s et
Jean-Bart ir ont quitté Inc Selins-Allyines
et sont arrivés en rade de Toulon, ce ma-
tin, h neuf heures at demie. Es étaient
partis de Brest, il y a hait jours
La commission des essais, qui s'est te-
nue sur les doux navires pendant le trajel.
déclare rairas se sont, fort bien comportés
en mer, même par tempête, et qu'ils ont
donné d'excelents résultats de vÙesse diffé-
rentielles.
Le rontre-anairal Serres, président de la
commission. dont le pavillon flotte sur lo
« Jean-Bart a, est descendu è terre et a eu
une enracine avec 'es vice-amiraux Marin-
Darbel, conunandant Oescadre, et Bollue,
préfet maritime
Dans les Airs
-a
DQUELE ET TERRIBLE. EHUTE
Vienne, 16 novembre.
Le correspondant viennois du R OWC9I.C310,'
Tara de Moscou une eppj., disant que deux
aviatelare militaires autriohlens kgent tembes
près de la station de Beibiech; rua deux, nom-
mé Palmait est mort: le deuxièmes. nom de
ramer, est b grièvement blessé qu'Il a. reine à
se fere comprendre.
LES AGROBATES
Bogey, 16 novembre.
Envia.. Chevillard a renouvelé ers "ras-
midi d. Juvisy la série de ses expériences aérien-
nes. Devant une foule Are ton peut Ovalisera
MODO personnes, Il a de mairie. bourra /a bau.
me sur son nem..
A 2 h. 55 eue bond. éclata annonenkled,
pet de l'aviateur: l'hélice est mise es mouve-
ment et Chevillard décolle, s'ego° et de suite
comm.. sera elierei.v, se balançans d'une ails
mir Vautre, il évolue avee une adresse ("croyable,
bien lote ego par les rayons du soleil.
L'aviateur ceets soudain de monler. Il
menée à desSmer un sinise .sur une aile puisas
laisse glimer et se retourne A ce moment où il
O la fie en bas. la foule ohatchreusern.t
Mame
Cher/Rami a achevé son vol tourbillon per
kami. the 1.p conbfim; deux fais do suite il
réédité cet. expérience.
Les M.es partent de tous rotée; on erre
Vivo Cheverd.
Mond il a repris mollement ocra,. avec 18
ml CMAIIIiard vines sioPiler ex..nmet à cou
point de départ.
Samna l'accueille et le tai.lr, mais le pilote
se dérobe aux tende:mas. estintant que son
lit tire insuffisamment, il en réclame une autre
qu'en lui atusts.
A
h. JO Ohevinned repart mm rayera, On
signale s rack.s dans jes Leibun.
O lofes- motu es Dumont et du reprasentant
inirtistre d, /a mem,
L'aviateur allume une oigeefie, tait mettre
Phlice en mouvemeut, et toute la série do ses
exhibitions fant.tiqu. recommence.
Bue 16 ...Mme.
L'aviateur anglais Mets, sminuant am Expé-
rience:, a extecuLd aujourd'hui la tète en has,
deux vols de 35 et 50 necondes.
Haneuille, de son côté, a également volé la
Mle en bas,
ex.obi malgré Io vent et la braie qu dre
Pionne consécutifs.
LISEZ ET FAITES LIRE
LE si MIDI SOCIALISTE
L'Affaire Deperdussin
Pars, 16 novembre.
M. Hirson, bige draastinelien a ionguement
te.rroge, eger soily 01. Depordusen, on presence
41.1 début de l'interrogatoire 05. Hasch
le qualithut de.ro, 05. Deperduss.
ai sous continuez, je men Na.: te casse pas
un escroc.
Et joignant ie geste 5 a paroi, n mit son
chapeau sir ja téte et se dirigea omis la Portel
mats un garfle republiebn Fureta, lm ramant
comprendre qu'une telle attitude netall pan per-
mise à lm mculpd.
Ale, I interrogatuire reprit.
Il roule tout d'abord sur ras 28 muions du
Mn.. industriel M colonie.
H SInisai .time yu une grosse partie de celte
emnine a dû rester mitre les mai. de M. Do-
pe rduesin.
Je serai imuare miand je partirai dei repen-
dit n luouilpé sait Ms faudra poutetre tendre la
main ou avOle reeOurs 5 la Anima de nra tem..
A Ca sillet lm Al remuai., 51. kirs., JI est
,transe que votre femme que vous avez épousée
it y a douze en, .us lte régi. ,de la eépulatial
blaun an pu acneter o Bernier oui ...eau
do 11.0.0aiu fr.es et y faire pour 100.000 fraum
de reparations.
- On ne me sus mmaas occupe des affaires de
ma femme qui alun ses speculations Ois a000.
no deilleurs, j al agi mima un feu.
M. Me00 examina ensuite les alVele beide-
ge veste émanent dm tie.du
tors ces bordereaux som écrde et signes par des
mains étranger., le juge voit là une complicité
certaine.
- Je nm aucune compbette, a déolare M. D,
perdus.; j'ai fait remplir les bonder.. par
pronuar eraplioyi que paves sous la main; je
n'admettais pas de derrende dexpleations.
-lai fait faxe ces memorandaune en janvier
1000 à un peul imprrillenr qui se tonivart dans
une latraque sur les boulevards; le /endemetu
rai pro lomaison de ta commende sata aavrer à
qum me serviraient ces pamees.
M. limées va nommen des experts pour tâcher
de retrouver l'impreassur et les employas qui ont
rempli los Oc/germes.
Une Région sous l'Eau
MM., 15 nov,agly a,
lov,s réglons du Doubs. de la 2a,tio
Seille sent ensables par la Ame peraystrous de
.s nviersis. Toute la mem chaeme. antre
Fireuauusaa, sermease ;;; Gnareite est indue..
A mraon, la Satine aRemt T m II au-dc-sds
cle I étage et reeouvre la plaine sue une étendue
Or .quadre knornOtres. Les villages de Mensiot,
iteplonges, ortgres, SainLament, sa,
0es-11., Oaan, Fei.. baignent sous l'es?. Ir'
teeenee sont emportée, et l'ensemencement des
Inee Oellapeen11,.
Les habstante, bloqués dans leurs Inmsdes ra-
çoivent leur pourriture par bateaux. L'Incralendo
est générale.
Le ligne ferrée est coupée en rave. etelrfits.
La plue .ranum a Pinder.
L'AUBE DEBORDE
sar-sur_Selne, 16 novernIce.
L'Aube, grossie par les pluies a Inondé /es
prairies. 0e uruselles 001108 ace, anneliCree.
En amont die la perré, .a Jaucourt, one aelerie
a ete envahie par les eaux, qui contraient à
Perdu sur les Flots
Londres, lé novembre.
Lc Capital. Elle, de Liverpool, se trouve
seul h bord de son remorqueur, M « Nana a
qui vogue dans la Manche.
Les autres membres de l'équipage, pen-
dant la tempête, avaient été recueillis .par
le paquebot China n, à quelques kilomù-
tres du Limai
Le Nana v avait quitte Falmoutb
vendredi, pour se fondre à Rio-Jalijos, dans
l'Amérique du Sud. Mais la tempéte avait
éte si volonté que les vagues balayaent
pont et te mettaent dans line situation dan-
gereuse. C'est More que o capitaine Ede
ordonna- b. se, hommes de descendre h bord
d un canot, Mars les amarre, du canot se
rompirent, isolant ainsi l'équipage du na.
vire el, depuis lors, M remorqueur, avec
son capi.ine, esl à la merci des flots.
La Cambriole
100.000 FRANCS DE BIJOUX DISPARUS
o Forts. 56 novembre
vo,? important a été ammlis, la .nuit
dernière par 011e 'bande de p.a.rs de mu-
railles, qui opérèrent aveu uno audace
inouie, eu plein Paris, A proximile des
grands boulevards el de la pieoa do l'Opéta.
Io magasin do M. Aldcbert,
bijoutier, établi, 20, rue. d. Capucines, qui
a été cambriola. Esa arrivant, ce matin, dans
5015 magasin, AI. Alevil.rt a consiate avec
Stuepur que sa vilenie avait die ait:garnie do
prequo tout sen contenu et que les nom-
brens écrins qui. renfermaient Les bijoux vo-
tés gisaient, sur le sel do if Mater., pèle-
mêle, av. des pièces d'argenterie plun lour-
des tele que couverts, bourses, bougeoirs,
te, dom lm eambrieteure n'avaient pas vou-
lu se charger.
J.Lement effrayé, 'dl. Aidebert, alla nus,
:kola vers ara -deux coffres-forts dans les-
quels i? avait .place. la vrille au soir, pour
plusieurs millions de pierres pmdcious.
Aa joyau.,
lieureusement, ceux-ci as aient été épar-
gnés par Ms siteurs qui- craigntrent probe-
biomesl de ne pas pouvoir les ouvrir assez
rapidement.
Informe M. ifisinie, corirMimaire de po-
lice, se transporta sur les liens et prOcOda
inix constatation, Le magistrat refit le che-
min iparcourts par le mmenercant, qui était
eees ches lui par i'arriéretboutique el rés
marqua que la, porte d'entrée donnant sur
la pue aiea Ca.puernro ne portait aucune trace
d'effraetion. Mats sur le mur mitoyen d'uni
magasin de fourrures enfuie dans te mémo
lamie -male, le commissaire coustaka, sur une
partie des la muraille dépourvue do glace et
de vitrine, SOl trou pettmefiank rte passage
d'un heaume que avait été percé à envuen
Un tara,. Mi sol et donnant dans un cabinet
d'essayage du fourre., doni, a. cloisons ni-
trées avalent été tendues de pième «étoffe
Ces1 par cralce ouverture que la mal/ai-
r.. s'introduisirent chez le joallier.
y passant à lent., M. Bleinie retrouva
dans- lo nmg.in du louer 0m la trace ettes
voieurs. Ceux-ci avaient en eget abandon-
né, au milieu. d'éclaantibions d, pièces de
aime et de fourrures pris,mu dans les rayons
et dont ils avaient Ob connu'ir pour étouffer
le bruit de leurs coups druaarteau, une par-
tie de loura autilx - pas needern..cra rese
té - contprenant, un Vieusit ValeterellitlilD, une
petite casserole en. fer Mana st plusieurs
inéch. h perforer.
La pente d'entrée du magasin du 10150000r
Ma pas &lé (rut:urée, les cambriolents's ont
ouvert un palmas de bois clôturant la de-
venture et 5e fern.nt de UMM/rieur, sous le
ride., de fer qui da pas été. relevé
Sm le loquet de la rra d'entrée on re-
marquait des ernpreto es de dates enduits
cl plâtre-, empreintra qui ont Me relevées par
.1 brasice anthropométrique.
Atzlebert, esti.° que les objets voles,
bagues. bracelets, sautons, montres, broches,
nomses en or, etc., représentent une manne
de plue do loomoo fronce,
Les cambrioleurs. qui para ieseut étre très
eu eau.. des Houx sont activement ré-
clame-hes.
Ce sont les Microbes!
Angers, 46 novembre.
On sait que l'analyse de la créma reyele
qui avait causé les empoisonnements ele
Cholet avait démontré l'existence du mi-
mobei paratyphique.
La Pr
cher.ec dam lo sang des malades Là peu'
senor du morne paratyphique rencontre dans
M over.. Or, le professeur Papin, Par une
méthode absolument précise. appelée séro-
diagnostic, a démontré le présence du mê-
me paratyphique découvert drag dans les
ufs L la neige.
La Inséraer est doue maintenant complète.
Les gens de la no. ne furent pas enspoi-
sonnés. ils fuient victimes d'une infection
microbienne qui num la mort de neuf per'
Tl Aimait trop sa Femme
Silurlavilm 5, noy
Le baron Cam En.on Boude presidenl de la
seconde Chambre, es. ,déorall subitement stte
mot, 0 age de soutins-mis nus, na rhateau
d'erisberg, en appronent 15 01005 de sa femme,
dopus Amirale temps scaMrante.
Sur la Voie Ferrée
,Nowacherlia., in uovembee.
pres de la âme de Cula/tale., par sexe crue
a.,. u aglallaoc, m train a pris eu richexpe
taran mixte. Lieux verseau* .1 ale sufies et
douze plue ou moins Mea...
Deus Vaisseaux ce heurtest
tome. ta nuvembee.
Lee vapea. Beagrephou, aniclase ri ,Cranabcr-
gcn, bu liodils, .nt entres en earasion dans le
mnal de Sues. Ira Gramabarge 5450 sérieusement
endommagé.
CONTES ET NOTEVELLEE------.
La Révoltée
Mme Gripperons, anorme, en
Zcle.g.erearl' ertrga''",?br,.._ sina0b04
p Il 51
m, /:9Sas
1:o,i'nprbesruig '-"1?seoe PZ'
Odette sa fil
et prof.d. S. for ' ace
devinent sous u
renseloppe de ses
Dans sa chambre
jour entre leea,
ouverte aux verdures
écrit sir' la tablette
quand sa mère Mein la
g
e
rossai
.en l'et3r (r.e u
socs
--AhGui. Ton Ir/. se marie
- Ah! Aveo Mme Br000ta50-1e
La mère (.1ennelle). Aveo Mme
eh(T.'"dn. silenee plane, pesant. Odette rosé-
nd:t. jeo rf,..
fille se croise
per:1
;lue
ge eepPn.:e47
III de la fennec e t oise 'm
le ventre.)
dv tionchanter, ce que je 4 apprends 1.A, .55
Odette'.
- Robert. est libre de ses
naêret. Dl° connuence pas fee
enrobe à dire contre eeouggi5qa
ça vaudra beaucoup mieux...
n
"1!.
..111111reiri' uPertfo'litdiline toujours
ne croie pats si bien dire Tout te etimmei
beaseooep
'"1 ne 'andr Les ro'unea'n
tu n'éc.outes pas los parente; tu g,,Yo
journa. à lire, 01 dee nuits à m.
lu regmeslit, la solitude et l'ara
tu firds pan te monter la tète,
de parti pris. En jour viendra ard
ha concevras Imeux ?a réal., do
Anse
q
emstr'lera'elc?:i
eeqPrki
te parait ainsi Afin,
mals Ou en reviendra. Tai
loi, oraL ,jadis J'ai caressé mon idéal,
jeune fille; j'ai attendu mon Prince Ge,,j.
mant.., 01 d.o. no m'a pas empéolel
ton péré.. Que veux-111, Mure Rtouctumi,
ben quelques années d, plias q. Bulge_
Odette, taosilgur, - De quarante ce mais
vinglesim reste quinze, ai je compte blet.
beauem.... 01010 01i5e Broncher-d est meg
banne perSonne... elle aime tmst notre Be
bort. si delmaloment si tendrement, ai,
Oder.. -Si maternellement
La mère (agacée). - RI pure, enthe
est lm. riche..
Odette, avec degotit. - Toul ad là, eta
sais bien, allez. SI cette feinssa aappatalt
pas à Rebord um naulliio do fortune en soli,
des valeurs dite., un château. en Tourte.
pl us ieure métairies vit rhètel, habget4
laassy, il y a longtemps que, vous, la 9as-
nugre, voue aunra haussé les épandes dormi
ses prétentions matrimoniale... Quai d
Robert, il a console.° de te quit est,
lui aimait ri au ne- Ahl le pauvre frit
q.e je la [nains... II .ne trouve pas ça is
drôle, dairaeurn. et il serait tuut prèt k 4e.
missinnator, once, h présent. d il n:antra.
ça dedà do leen fortes anances.
La mère, se.daltsée. - Comment, ta.
Guo 11aim Brouchaird était 0
maitre. ? EY quelle hi donnait de llt.
geai? Mers, 005 '0 maman, j'ai clue-peud
et ry vois clair, e j'eatenàs biens Et pi
Retbert ne m'a jamais rien caché de ce"
vous appel.. ses fredaines. /1 était huai
c.. de sa honte, et il croyait ormoie
mon Wh-Ibsen. par lu réait de ses «zoo"
(Elle e un geste de colère). Craramenegovii
maintenant potanquei mont Imacréteté se S.
volrf,e b Eldde de ce mariage, de cd, «dem
marebé dont vous paraissez encore al film?
Gemprenosevous mon mépris al rnes raa-
dm'd'ocrosntfraDt4'et. gare iirar'7In'oriafs bffnoegibeleEntiedemtsfr
fatalité, je suis condamnée à lei eue.,
la ...mite de mon silemee I
La mer, - Qu.el esprit exaltela afis
s.1' apu, 11
je t_mpanTi.t,r,sotie,,rnesmeau.tèr:
pas ce que je per. en ce moment Je peq,
0000 555 5305
que vous el. aussi firconerie rite data alte
rôle de irdre, que RObertenuE SOn rale
Inari ou d'amant. (Ge demier mot arlei
vu grole pudique à Mme Uri ppeMag
Odette passe outre). L'explication
venons d'avoir en appelle me arire.
quenserous draw tout à fait. Vous seiétt
Macouser d'avoir des idées subversives ét,é,
mreL:morreefité,,friéEh bien, vo
rva.y.otte).co._retrem
On -votre ste té.
. toreer
folle Odette, tâche de sep..r ta remet:,
Odette. - J'aurais pit vo. raPPraiii'lr..;;
au respect de votre fill
comment eiù yijr,
venins justifier devante, elle t'asti. de
fils par MUS vieifle fernine P0m1110???
jtjlere
s'daiui 'el; sri mer.r1
m4no-Lt.r:
i;s:O firmiieas piite mettre. dans la tete ?? Mir?'
Odr'lo, - 01h ma mèir or aber
tandis que vous vouliez nle liOsbtWm0eii
un bout, je tai Pri. Per lettre. s
'fa'tjeundetin'e''., Evrmtnid'e,fielohnlhlrslireatné'ee.r..'e
dur ej el' Pei:Ler:1. da'Inseir l'unolti'Ir:eds1,?r1r,;";
rtLit,ep,Sitarerac,orelle2tç'O'
Mot
assister au milieu davonsn ta mi
en -ci.
vs'''Uft.i erdoed 5.,.,gaujirtnas'ons,d.nt
tùtnriea. 150500 0505e
quae't
feeppo Moivmême Oui jai son
sto 4caus vos grands prinoine,
nètele n'est que nvjgattese. EN,''un se min
de tout,. les matavalses tons
p. visées par le code_ EstenequQ pa'1;1,14
Se croyait pas h.néne
quelque marchandi. avariiée
mamies de ses. clients?... Votre
b..rujan;tess a.svou,rr int itiszduao
ninïn.141not,14ad.50%xsic-74,yiedi,I0aupeou.r
trente ans de né mon et, que
tr,ue,init 11. vous tendre la main
tdR1ieou
nette Mail mollo oue dcolmer
horri
frj "Fde e:u«
rable scene
OCISMS. - os venx qu'où ne Me J,d,
de colle abomination q0000
1.
souteo'r le cur. Je me veux nle
iri
La mare, arables.
dot
Ii rr
- A d'homme qui
sans le coneentement de lee,P?
La mère.
Z
Odo
?
dit, malheureuse! Tu seras le
ta
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