e.,. NOS ELLIS - Bibliothèque de Toulouse

,
ADMINISTRATION
& RÉDACTION
38, Rue goquetaine
TOU hOLISE
0 43
elpataxtEAtEzer15
cmata
Fst 10 tr. 20 fr.
tt.,,m, 9e 18 e* 3 k.
Parmi mes amis personnels il en est
un qui malgré mes efforts est res0 totalement
réfractaire à l'idée socMliste,
il ne Veut rien savoir : Je Inc contente,
dit-il, d'être un bon républicain !
Si tu veux être un bon réPublmin
il ne faut pas te satisfaire de reganté
politique, mais préconiser egalesient
l'égalité économique sans laquelle
la première n'est qu'un leurre.
Alors à bout d'argument il s'en
tire avec le vieux cliché : ton socialisme
est trop beau, aussi est,i1 irréalisable
?
J'ai beau lui opposer que le socialisme
n'est ni beau, ni laid, qu'il est
juste ; i/ ne veut rien entendre et li
restera toute sa vie un opportuniste
endurci sous la défroque radicale dont
s'est affublé en toute bonne foi.
Sa grande marotte contre le Parti
socialiste, c'est sa prétention de lui dé-
iil
'
nier le droit de se dire : parti de ré-
(ormes et de révOlution.
On ne peut être l'un et l'autre, ajoute
sentencieusement mon brave radical!
Mon article de l'autre samedi l'a vivement
ému, et il m'adresse une aimable
lettre dams laquelle entre autres
choses il dit :
n Puisque tu affirmes que la socialisation
des moyens de production est
capable !d'améliorer le sort des travailleurs,
pourquoi t'ai-je entendu dire des
centaines de fois, que tu étais partisan
des reformes ? Si la transformation
sociale seille peut donner des résultats
tangibleo ce n'est pas le réf.misme
qui devrait trouver en toi un
défenseur. Veux-tu m'expliquer ce qui
m'apparaît comme une inexplicable
contradiction ? »
Je veux bien une fois de plus faire
la preuve que réformes et révolution
.ne s'excluent nullement.
Mon contradicteur peut être tranquille
le jour où la classe ouvrière et
paysanne sera maîtresse du pouvoir,
elle ne l'emploiera pas au rapiéçage,
au crépissage, à la consolidation dus
.ed!ifice social qui croule de tous côtés,
elle ne s'attardera pas en vaines réparations,
mais réalisera la grande uvre
de rénovation sociale.
Mais la question n'est pas là, il s'agit
de savoir si en attendant que la
dosse ouvrière ait pris conscience de
la mission historique qui lui est dévolue,
la partie consciente de cette classe
ouvrière doit accepter ou repousser
les améliorations qu'elle est capable
par son organisation et par son action,
d'arracher à la classe possédante
détentrice du pouvoir !
Mon opinion n'a jamais !varié ; en
même temps qu'il ne doit jamais perdre
de vue le bill final, le prolétariat
doll profiter de toutes les circonstances
Pour conquérir toutes les réformettes
Jar le capitalisme peut lui concéder !
Y Cortes, toutes les réformes obtenues
' toutes les retouches à l'édifice social,
toutes les soupapes de sûreté ouvertes,
par les gouvernants, ne résoudront pas
la question sociale ! .
Vingt siècles de bienfaisance, un
siècle de réformes démoorat'ques rl'Orif
pas fait dieparaltre la misère sociale,
ni l'inégalité économique révoltante
entre le prolétaire producteur de richesses
et le capitaliste oisif qui les
edlusonarne.
Tant que des hommes possédant des
moyens de production, pourront s'emparer
du travail des autres, tant que
d'autres hommes dépourvus de toute
propriété seront à la merci de ceux qui
leur dépenseront les moyens d'existence,
le problème social restera entier.
Et si on jette un coup d'il ef!ensem-
Pe on s'aperçoit facilement que toutes
es
grandes réformes tant pronées lorsqu'elles
sont réalisées ont eu autant
d'influence sur le mal de misère qu'en
avaienI autrefois les remèdes empiriques
contre la peste ou le choléra.
C'est pour d'autres raisons que i.e
socialistes sont des réformistes paseionnés.
Eu mettant en demeure les diribards
du régime de réaliser sans cesse
des refermes, en les harcelant pour
le dételoppeolerst de la Ingi,
i. Iffe4tenir 4ilouseciale les élusuotuvriers pour-
, O u le ors double
h de be rrégrine fait éclater
j
mesinaauvaise volonté !de la bourgeoisie
! nt, résistant, accordant avec par-
, 'in'hou'les
, s.,_
'
SIXIEME SONNES.
14° 0703
amélioration!s dernmlelées
On
l
caler sua réalisation de lea réfeonreneer
l'étt de chose ei ,I'CiPs't j'ir" eh '
le C'est une leçon qui se dégage de Ion-
..eon pour la classe ouvrière et la
ro9 rri sPese iii se .détacher des parts
K. t,,t,r,Kers pour rejoindre le parti du
EngUile, nous n'avons jamais nié la,
0 I> I TV I 0 IV S
Réformides et Révolutionnaires
La Conciliation de ces deux termes
S QCIAL1
valeur relative des réformes, avec une!,
classe ouvrière puissamment garilMe
capable d'en exiger Papplic,atMn, d en
tirer le profit maximum, el/es constituent
une amélioration des conditions
de lutte du prolétariat, plus fort pour
mener à bien son combat pour la revendication
totale de la part qui lui
revient dans la production.
Toute réforme accomplie peut avoir
des effets heureux et m,omentanés ; la
!situation des travailleurs peut s'en
trouver provisoirement meilleure et la
génération qui en profite est mieux outillée
pour poursuivre son effort opi-
M'âtre en vue de la libération.
Un Prolétariat qui voit diminuer les
heures de travail, une paysannerie qui
verrait atténuer les charges qui l'écrasent,
ayant plus de loisir et moins de
tracas, peuvent se consacrer davantage
à la bataille sociale.
Ensuite, lorsque par répercussion,
crise de cherté de la vie, augmentation
de l'intensité des efforts dans un
temps limité, la bourgeoisie a récupéré
les !sacrifices qu'elle a consentis, le
monde du travail revendique encore
plus impérieusement et il a l'intuition
puis la nette perception qu'il ne sera
véritablement le maître de son sort que
le jour où si se gouvernera lui-même
et sera le maître de ses,instruments de
travail.
C'est pour cela que nous sommes les
socialistes les partisans acharnée de
toutes les réformes. C'est pour cela que
nous les réclamons, c'est pour cela que
nous les exigeons, c'est pour cela que
nous les votons.
Nous sommes les partisans du tout,
mais en attendant d'être assez fort
pour obtenir ce tout nous ne refus°50
rien, et prenons toutes les !parcelles
d'amélioration que nous pouvons obtenir.
La class!e ouvrière et paysanne peut
donc batailler avec ardeur pour la conquête
des réformes, mais à la condition
absolue qu'elM ne se fasse aucune,
illusion sur elle, à la condition qu'elle
n'attende d'Mlés que ce qu'elles peuvent
donner, et en n'oubliant jamais
que la seule la grande réforme qui leur
apportera bien-être et liberté sera la
suppression du capitalisme.
C'est pour cela que le socialisme ne
veut pas lui laisser croire qu'au bout
d'une série de réformes, qu'au sommet
d'une accumulation de réformes,
elle trouvera réalisée la grande uvre
de transformation.
Réformistes pour le développement
des libertés conquises, réformistes pour
l'allégement du surtravail ouvrier et
des charges paysannes, réformistes
un mot pose augmenter les forces de,
résistance à l'exploitation capitaliste,
pour avoir un prolétariat sain et vigoureux,
une paysannerie instruit,.
oui. Mais réformistes capables de
tramforrner par des réformes l'ordre
social actuel. Non !
Si le monde du travail n'était pas
mbs. en garde contre la s dangereuse
illusion » s'il croyait à la réformefrondeuse
il ne ferait que perpétuer la
domination économique qui pèse sur
lui, en renonçant n en renvoyant
l'échéance la détruire.
En s'hypnotisant Sur l'importance
exagérée de la résforme, en perdant de
Tue le but fina/ prne de possession
du poai oie publique par l'expropriation
économique de la classe capitaliste
il perd tout idéal, il bataille as
jour le jour sans être animé par la
grande idée salvatrice, et les meilleurs
militants en perdant toute pensée d'avenir
finissent par ne plus s'intéresser
qu aux petites satisfactions immédiates
; pu à peu ils sont tentés de
croire à la vertu souveraine de la réforme,
necoyant que les petits ,effets
ils ne s'aperçoivent plus que la classe
ouvriere et paysanne reste durit l'etit
de sujétion où elle sent toujours trou-
vée jusqu'ici.
La elle, ne trouvant pas dans
ces réalisa masse' tions immédiates toutes les
satiSfactions attendues, se laisse aller
au decouragement, à la désespérance
ou au je Men Rallie,. Elle n a plus.
aucun ressort pour poursuivre son action
qui ne doit cesser que le jour où
elle sera maîtresse du produit de 50,0
travail. -
Si att contraire, tout en ne cessant
d'exiger .haraiment de nouvelles rttrOM
mes elle n'oublie pas qu'elle ne sera
affranchie qs.e le jour .où le salariat
sera abon, ou la spéculaation et. l'accaparement
capitalm.teS auront cessé,
elle peul, sans inconvénient mais ail
contraire pour son plus grand profil,
proclaMer soif inapaiSée d'un réformisme
bienfaiteur, 1
Hubert ROUGES
Député du Gard
VISITE D'HONORABLES
Dans la Mansarde
de Jenlly l'Ouvrière
CE QU'ON VOIT, LE LENT SUPPLICE DE
BRAVES FILLES. DES GOUTTES DSAU
SUR UN OCEAN D'AMERTUME.
La pauvre mansarde de Jenny l'ouvriè»e
a reçu hier la vreite de no, honorables eollduits
par M. Jean Lérot,. st notre cernas-a&
Ils se sont enquis des causes de su mese:
il ont, compté les maux auxquels laierrent
sa défense ses maigres salaire, lis ont emparé
Le chiffre de oes mtaiiri, au compte des
heures de travail sone joie qu exige delle
l'employeur SquA,missénitorde. Ils ont catedé
que l'ouvrière t domile rauvrière habile
aux naias agiles s'entend. gagne aux
fins travaux que fun lui confie 511,Vir011
seize cenSimse par heure, soit un fruur soixante
pour sa journée.
Et, voici gudimies-un.es des constatations
qu'in ont faites
« lino jeunes fins tramailluit aux vêle-
Innen d'hammes de six heures du matin à
sept heures du mi, arrive, aym beaucoup
de peine, â. gagner 1 fr. 2.0 par jour. Pu,
une douzaine de mouchoirs de batisSe, une
antre gagne le eelatimes ripoar toute sa
journée I fr. Mt Pour des eols brodés une
ouorière est payé. 1 fr. 40 de food, pour
une piler qui demande trente-sept heures de
travail. Plus totn. ou muse citte mention:
chap.., de filienes, da douzaine 3 fr. 50
peur ltrenre-sept heures de travail Violettes
artificielles noue chapea.ux, petits bort
quel.. 4 centimes la grosse de douze douzaines.
»
Enfin, tout Sien compté, la plupart des
victimes de nuire barbare de luxe' ...Mye.
dune .laute tannas., pas plias de quatre
cents fraie, pour prix de Leur misérable labeur.
au long dm jours interrninables et des
épuisante, veille,. C'est relu qui pane leurs
travaux forcés, leur :réclusion perpétuelle,
leurs furces perd., l'usure de leurs pale
yr, yeuis le flétris:errera monotone de /Gut
man, etre; le lm supplier qu'elles endurent
C'est avec cela qu'elles vivent, si tan peut
appeler vivre cette petite .arort
cette ierminaüle agonie.
Sont elleo nurnOneUe055 celées gui subisseld
cet affroyelre sort réservé aux femmes
aux Merles, par les civilisa! ions do la
chrétienté ? line seule indu:rie spiale
n'en accupo pas moins de esieblea. Our, effes
eout plusieurs millions à subir: us sert gm.
ne eouniment en autan len/Cs les ebbléve4
des cités Bluta.s.
Cl Ion se plaint des grand Hee:aux qui menacent
la cité moderne croissante dépil,
pulsa ion, l'anormale mortalité .joiate à !a pénurie
-des naissances. Os reproche aux Issunos
de refuser la maternité, alors gnimpituyablemeot
l'esprit de lucre, ln cupidité do't
marchands. t'égal:me La thypoerisie sociale,
avant de tuer les enfants, tuent par milliers
Ii, mères On. parle de crise du mariage. sans
se douter que bon mari chaque jour tout un
peuple d'ouvrières en chaimbee avec
monstres tapis snobons des taudis sans lumière.
u Or eancer, le turberculeee...
Parfois, da solidarité violés par tant diemucieuce
agoienes se venge une banni
élégante meurt. d s'erre erée riu manteau
que broda Ibeivriége phtisique. Dr les do,
surs qui s'agnoralent, l'une enut rieur
l'autre pauvre, vont es rejoindre darse la
tombe. Alors cela tait réfléchir. On fait do"
statistiques. On prépare des lois.
Caille gus« l'on vota hier â la Chaud/ira sauvera-Melle
queques exinenees. repartant-el-lie
un pends masque fuit lent d'inconscience
coupable ei de eniminelle injustice?
Les lu s, mem, l'enfer, sont pave. des
intentions 1.en ,maibleures. 1191, tont leur effet
sur les murs Pulsiono:i â celui dee. gesttos
d'eau douce tombant sur !a nier. Lee IL.,
du ciel parlemegaire mit beau en. asperger
les vagues sociales. Mes ne les rendent pas
moi, amères.
Paul Richard.
T r%
LuS La ri
SELECT ION NATURELLE
Comment l'homme descend-il du sage
Par le rnenton, répond un savant anglaE Le
menton séduisit tomes les quadrumanes femelles,
et les amoureux à menton furent tellement recherchés
nue l'espèce se selentiemna très vite.
Mais cela ne nous dit pas comment ies singes
perdirent leur queue.
LE CHIFFRE 4
On a, de tom temps, artribi à certains non,
Are, pq 5501 symbolique Tout le monde sait
se'sZZerile'Che= sga'af,-t
KngeeitTra
de nos jours une sidafication particulière.
Le nombre 4, retenerge, mesdames, muait dans
l'esthétique féminine une importance particulière.
En effet, un dicton arabe veut, lotir mi une
femme soit belle, qu'elle ait guafre choses noires;
les cheveux, les sourcils, les eus et /es prunelles;
quatre blmises peau, le blanc des neaa.
: les dents et les mains; quatre rouges la langue,
les gencives, les lèvres et les joues; quatre longues
le dos, les bras, les doigts, les jambes ;
quatre rondes : la tête, /c cou, le coude cri, poi-
gnet; quatre Erges le front, fts poitGre, les
iszrxesetirs12,a,rresàiii,, atreoim oins. ce s : le nez, Iza
LES MOTS ANGLAIS.
kf. Georges Montorgued, dans rEdair, vient
de protester avec raison, contre l'envahissement
du Engage frannais par les mots anglaià Il
montre mime gide certains mots d'origile tr,Is
française et que les Anglais ont adoptes nous
sont revenus, mais gardent maintenant der
nous, de leur emsge Onde-Manche, remprengc
anglaise qu'ils 1000 reçue. .
Exemple
Nous disons flirt nom avions fleuret, conter
fleurette qui se disait d'abord compter fleureges.
Les flerrettes éraiert des pièces de monnaie
qu'en désignait ainsi à cause dle la fleur
dont elles étaEm marquées. Compter fleurettes,
corner fleurette, flereter, 00115 00 Angleterre et
devin: étet, 01 0001 revire Rimons rayons repris
oubliant notre joli mot français, qui 1r 'était
démonétisé que pour sentir bon le miasme:
A ce noies, notre confrère nous conte l'anecdote
suivante dont Mrs Panthurst, la famense suffragette
anglaise, fut rhéroine
à Un de nos confrelres demandait, récemment,
à Mrs Pankhurat ieteràiew
_ f000050011 ban le français, /ni ditelle,
pourquoi employez-vous Le mot interview ?
entmtien ?
Bien.
e La leçon était excellente. En profiteronsnous
? n
Oui, n, probterommons
COURONNEMENT DE POETE
Le Triomphe indien
de Rabindranath
CE QU'EST LE PORTE COURONNE. UN
INDIEN DE BONNE RACE.
Le plia Noldn de Materatme vient datre
décerné au puote et romancer intim Rabindrainer.
Tàgore, que voue ne conamme pas.
CeS messieurs ne eackhoLre Tont couronné
parce glhe se, uvres uni, Me presque toutes
toaduites en anglais Sans quoi, ils eussent
été bien ennbarnesée; /es indiarages ne
courent pas encore les rura ni meule tee
corridors des Académies':
Le public fra.neais .ne mil rien de la
littérature Melo., IL a entente. parler et
quelques-une font da « Kama-Soutra
« qui ast .bien la se, inepte et la mei.
propre chose da monde. 'Mais es n'est point
La littérature, et. Vaitsys, ineled p. poète.
Pouah 1 Revenons à des &IONE, plus mises
On a yaguertrear eatendu pealer. au millage,
do « no cacaos, el da « Mâlethharata
mais la popularité de ces mots Jc ne
parle pas des épopées elle,nrnes. eau»,
dieux I conimence qu'avec « te Monde
oh fon ffennu , de Paillerarnt et la faeon
dont il en est parlé Nad bien faite pour
détourner à jamais les mieux didemeds d'errante
nous. Pourtant. Michelet en a dit du
bien, et cela saillirait à eompemer quelques
môme spirituelles,
Tout ais, c'est la vieille littérature rie
fia.; celle qui mail cmnencé avec les.
Vedas set qui utignadt, son apogée au temps
où les pooles getire balbutiaient lieur, permima
hexamètres. L'énumération des titres
el ides soit,, d'affleure res une r101'eei:1,1X
mois, 'e piaLA veux qui n ouvrent. pas assez
la bouche. et je.pe,e qu'un professeur de
chant s'en servira quelque joue « Bileest.,Oreula.
Côrrtee, Amara.., ttest-ce pm
sonore majest ueux ? «
Le poète couronné n'écrit pas la mer, la,
0 gue, que Vdieriki. auteur duo Ramayana «,
no Fiyarm, auteur du « .Marhâbharata. Le
SanSerit, 1/As1,5 lise longues indoseuropéennes,
est La plus monte de tus n' les langues.
Sur le sok de flki, remplace d'abord par le
prurit, w sanscrit a mainte., pour ..-
.seras. Yn,sbom1050 et Le :bengali. C'est P.
nuit-il, en bengali que compose M. Rabindra.th
Tagone Cuis050 veules étudier cette
langue difficile sachez qu'il es existe des
gram/narres et des dielionnaires, es aigle is.
el, que vote ne perdrs a pas PeAre 10111 Ceta
voue permettra aussi de faire cossa :easee
avec une Littérature qui. pour Meer su renais:ma,
du quinzième Mare mutement
In en esa pas moins abonda/ne, et qui a pris,
depuis », siècle dernier., Un, grande extension.
Vous lirez. heureux italianises. les
centres de Kriehriadilm et de 'dressé...Ad.,
les hymnes immortels en l'honneur de in
déesse liametà, et les vers « am glana igues »
rie evehancura, super:mura esperuns-le.
eaux qui firent notre joie, sur le carré de
rhyperthénum.
Vous arriverez enfin aux jeunes uvres
de M. Rambindranallt Tage, Ce sults, qui
n'est :le que dé 32 a., a écrit den chants
où palpite, ddr-on., toute liardeur mystique,
mensuelle. toure la vaste ot grandiose poésie
de Mid, Il SAM Merl, ddri-meare. 11
a trete lesee. vingt ans à peine, publie sen
pttimier roman. IL a voyagé en Amante.,
amis la mgr ilBuie du Cenge et des none,, e"'
du Népal l'a mni. Et il est: retourna
Elnde. Pou/pose toutes ms 0,1:.
Nous mirs., sans doute parler da M: b
tôt osa cosuaissa.nee de rause car il obet
pas vraisemblabie qu'on. ne I000dre:0i pas en
français Ms uvres durs écrivain qui a Me
juge t'Abat Or Sally-Pardhomme. de Maetereinek
viole Kipling
Kipling, Tagore? 1.0tel des deux aura
mie. vu 1.1.,idt ri déerg iu ve de là-bas ?
La ...paraison sera curieuse
Robert Kemp.
LA POLITIQUE
NOS ELLIS
LA DERNIERE REUNION DU GROUPE SO-
CIALISTE PARLEMENTAIRE. SEANCE
DU VENDREDI 14 NOVEMBRE 1953
Présidons de la sennee, 00 .000.
Mut prés«, Aber'. 0. 005, .ylbert Thomas,
Aubriot, sans r, ilegy, serdere, Boum-
Routimediromem, Saumur, marche. me
'Ln'arre's.'''iatzrlri.i'dt's-i'e:.Pre:7ir.21:u'r,
(lad, oocoas,sr, iluaert Rouges Jaurès, Lamentin,
Laar., La Porte ec,. Lava. Lecomte,
muas 'Jose.). Manus. Morietion, Merger, me,
In. motter. Mlle noirs-al Myrem, Necteug,
Prêtait Itanin-Dugene, Reboul.
Ringater, Raie, Rognon, Remue, Rozier, Sa
bon, Senna. Sete-otapin, Tarder, Vaillaar., 05-
/Jet, Suais Walter,
Sont également présentu. les citoyens Couenne
nubreuilh et Dunois.
tue cernmuniemirin rentre O l'armée es/ seneoyae
à la sorecomuffssion.
proposirrom diverses. Golden déposera au
nom du groupe une proposition tendant à la méade
dengues ouvriers adjoinn àrinspecuee
du travail. et Sully une proposition rendant
rua...lande la journée de trams de /mit herr-
, dam les tunnel» du métro; Bounson posera
ane queshon sa men.es sur l'embarquemen, des
us. me les bateaux de navigationc
Cul émarge de vues a lieu entre les citoyens
Veillant es Fti10111iet Sa SUjet de l'interpellation
de ee dernier sur le régime des bile.
Mollement des soldes, Lee sous-commasom
des Ilnerwes et de l'armée entrât convoquées
nom leu.0,0 novembre, a 5 a. 00
-Le bene, 1911 et ta politique financière.
Le groupe s'entretient de la résistance I Opposer
prujet de budget du gouverner., qui constitue
nn manquement à la parole donnée. Prem
rent part à la diseuse, : dames vaillanr. de
La Porte. Rommel, berioure, erackeVeber, male
ger. ...hal
atainnit e. donné à a sous-mmmissIon des 01-
4rueZet ,In iitvie oex'inoplesnt de la diacumion
000X 00 manifeste qui sera soumis au
groupe a politique anomiere que le groupe opposera
à eene.r gonverniubelff
Menem, érectoralei ffraelre fait commas au
groupe r smentlerneet Celà et constate raccord
manif,10 pour voler contre. Le séc.:glaire
Aubert Rouge, .
LISEZ ET FAITES LIRE
LE MIDI SOCIALISTE »
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
Lino dépêche de Pékin a annoncé que le
président TuaneChi-Kati a failli être asmse
sio.é. La smumelle n'étonnera guère et le
.rdentilema pas davantage.« Celui gui ee sert
deI'dpée, Wird par l'épée o diser déjà
Jésus, il y a deux mille ans, pour rustiquer
que la violence appela le violence. Num-
Gni-Kat a déjà été accusé d'avoir fait disparaître
par le fer et la prison amez 5050
ememis peur qu'un attentat contre sa vie
noua apparaisse romme no evernement presque
farad,
Encore faudrait-il saoule s'il ne s'agit pas
MI dise ...met simule. te se serait pas la
première Mis que olea dictateurs et. des
chefs CES. se -servent de ce moyen pude
pouvoir .procéder â dec arrestation, à dee
massacres et raffermir par .1», tome et ne
tecreur, Leur autorité :ébranlée. Mifionseurms
done.
Nous nava,ms pas besoin de dire que la
personnalité de Yuarrette-Kai noue est profondément
adlipaghiqee. Cet ansiea chiant.
de La dyna.stle numulchoue ne s'est rallié
II Reprffilique que pour Cales le nouveau
régime comme nanan trahi le premier es se
poser an dictateur. Et Pore ne comprend par
ressuent il ail jamais pu inspirer confia.°
aux reteint:étai.
S. Mertion â »a présides, de .1a République
fut :une ridicule remédie.
La .plurert des député..n:avaient elé aegais
à la eau5e que par corruption la plus
éhontée, Rua autres étaient IMbjeS de menaces
de to. eues, Le jour de l'atout ion, le
Prisl.nent était entouré de soldate ei les
sant.. de Yuan. Chi KM, d. individus
su, auc. inasalol. emiseehurent les députée
de merlr mémo prour Mer pr.adre leurs cepas.
.Malgré tout, une forte opposition con,
nmet In se manifeetter, tarit au Sénat- qu'à
Chambre par les parlementaires aimante
riant ail parti vraiment consritutionffel et
réplattlicain. le Hue-Mine-Tang.
Pour en avoir raison. YuerisChi-Kai a
banni d. Pékin. par simple déc.:. 130,ena-
1e155 et 2Ntaleputas. Il ne reste plue au Parler..
que ses puM an,,
Ce sast pas eu,. am,. Yuan n'ignore
pas. que les parkosentaires qui peuvent montinuer
à damer, ne sont. pas d'uns fidélité à
Mute d:Preuve
Il eampas ein eux utte. confiance illimitée.
Arme: ,urère-Mon l'intention suppri-
Ell lligurol
LE CERCLE POPOLACUE D'ENSEIGNEMENT
LA/QUE bUpcinulbndadinioanosElie
Tandis que nl. Barthou &literait. ayee son
merrordosse, nl. rinereeteur d'Académie de
Langres. nomme Blarquersou lequel estime
queux ...morales de Délerot n'est pas
meut :talque, présidee per M. PaiMeye, membre
do rtm-tir ut dêputé de P0, ib, erSletssit
une feta es l'honneur de l'auleur dou « Neveu
de Hans. 0.
5005.101 fele le bruit ffen fut répand. ni.
.Barthou demanda qu'on youipl bleu l'admet-
Ir e parmi le, invites et 11.1irryinond Puisa.
liti-nenre, SOM. nesinalOnno faites, lit émets
que si un leu priait, il serait aussi de
fore.
Voila comment le président de la Répnbliq.
et le président. da conseil se retrouvèrent
màle à côte, hier soir. sur Idemrutle
As grand ampitillillic de kt "tordons,
DISCOURS
L'orateur qui effetime Diderot, au nont dng
ejtpaetz5; celui qui Yeanne au mei dee
rens de Lettres, et M. Barthou qui parte dr
mitointimmaire Diderot. au 510/11 du gouoir.
retirent de M. Barthou, met siourpromi el lime
des desertatio. empesé.. Aucun ébat auoune
pagaies. Ils puileril de Diderot, ennune
feu nen professeur d gni parlait de Thneydile.
gls en font une iffplication « mot à
mot a Ils moraines+, Céerivain si, vivant', celai
deo hes préfMence, étaient pareil:. aux
Mets.; l'homme à le pensée Susses 000.
dont La pare était libre, ardente, car, disait-il
« Dans ies pion petites ehosegla sottise est
si commune et si puissante qu ou ne ta refera.
pas sans charivari. 0
1.e :engage de M. Painlevé a paru siingu-
Remmené différent de cetni des autres sraleurs
n tandis que Von oppraudreait ceuxe0
par déférence, on acclama eebnu.i,h d'enthousiasme.
C'est que le député des Parie..
se sentait gêné pur rien et qu'il- étaut. moine
préoccupé des Présidente qui éleiret là que
Rail pas.
" nCetet"L
Iat ?reser gu,, M. Pau,
loIS tint. hier. à honneur d'honorer.
Taus d'abord, S a fait de lui ce .porisart
« C'est auprès da Saint-Ciermern-des-prés,
sous les toits, quo pendant un denum racle
cet. intrépide ancirier dc le pensee.0 poire-
Ils-si son labeur forcené. 1.1, vierges moisera
d la rue Saint-Séverin, de la rue de
l'Hirondelle, de la rus Monsieun-le-Prince.
III . vu passer « sa. redinge peluche grise «
gni:a ralliée/ai-môme dans un de ses di,
loess, cette redingote de pauvre « éreintée
par onde ses mâtés. L 5555m d bine noire
recouseon par derrière avec du t blanc
Années de misère, pendard :lesquelles rise
consola à flâner au LUXentbotne le long de
l'allée des soupirs. dr ...bavarder », avec 51111
Babriti, ta jolie 'libraire du quai des Oratids-
Augustine, qui &tait plus reed époueer son
ami Orense, ou emore seule distraction
du, soir qui, suit à Se portée de sa bourse
San aller jusqu'au eaM de la Régence jouer
aux échecs, sa, rien en porhe que Les six
suue. que lui a donnés la ellnelma Dire-
-of pour payer café.«
eirirrit ilet himines que Diderot
01--'. yl. Pan,:néljod I
A ....int oj 0 cosemporains, Diderot
rillar ÉDITIOS RÉGIOliALES len
1 GA., GARAZaft..../. e ..:
.,
1111 unntninus-onunairsans,
noti,...r.,cAnTAA
Lee-sz-Glabzeszne,
--) ........,.......,e.,.
asssesoursokséce.
-ein le.les, Xe...-er-Oalion
Attlre, APLÈGE,
11111111 . TA.. 11A048-GAtesetre,
i'll'
LUNDI 17 NOVEMBRE 1913
1.0171.0.11
ri;',:e:
JaAmr./6
LA LIBERTÉ DANS LE MONDE
Pourquoi le Dictateur hanChihaï
a failli etre assassiné?
La violence appelle la violence - Les crimes du. dictateur
La situation en Chine - La Révolution couve toujours
mer le Parlnent tii-inerue et de le nempl.,
par une sorte de conseil de national
qui serait comme de deux délégués par
province. Qui sait ? Peut-etre me, ré:rot-il
de 'se mueras/ter enlise...et de 0.niscer
une ileuvale dyla-1 in.
La puissance d. Yuan dote surtout de ss,
veto, ana' les republicaMs du Sud kt
juillet dentier. et cette victoire, i, ire le' Out
quliux fonds quo lui fournirent
quelque imprudence t tes banques étranger:es.
Cest ee qui fait marne que le pouvoir
du dicrateur est si préinanre 55 50t1 avenir si
plein d'aléas_
La revolle du Sud. est réanimée, mais les
pl. provin,. Medi/55 ai let pas renencé â
l'espoir d'une mn anehe. Aussi estmort
d'y maintenir l'état de siège J'une façon per -
rament, Yuan est à la mer. de l'airubsc
qu'il a coreentree, sur Le. VnsgtTsc 50 dom
ru chefs pourraient tiercer pour detatour,
fleA efinlpeilollea fort dangereux, sone
compter que g.lques-uns d'entre eux mut
restés d. ainci/Res .r.i.publicains en narre,
dent qu'une oecasion pour se débarrasser
du sinistre. tyran.
D'autre part. la :situation financière du
gornernessibs chinois est Ir, précaire.
Yuan sAIn, KM a lémure u-wreemt., de beaucoup
d'argent pour faire face à ses einegeensiles,
L'agenee itExtrôme-Orient, gui a son
siège à Bruxelles el. qui est tout à la- dévotion
Midi:tatous noue apprend que lipu-far/
en ce moment des démarches auprès des
finaneiers américain. et 7nglais. L'agence
affin, sérieusement que la firme Morgan
et d'autres re9eta:4M. des Etraeatris, mat
« désireux solo laieu100 /clin eardilaflIX a ia
disposition. du gouvernement chinois Cela
dépendra du prix que Yuan pourra y mettre
et myrte001 des garanties gut sons minces
Lm emprunte que laart pourrait coreratter
seraient absolument illégaux. sursque,
MM après Io coup d'a. le Parienrat n'en
zigite plus eS le gouvernement qui lui eur.
roderait. pourrait fort bien. refuser do les
recousait,.
511F règne de Yuan n'est nuddessent 0a5005
La revoludion couve tourjouds. Lee républicains
du Sud, qui eonr parvenus à abatte
Os monarchie séculaire deffliandebous, n'auront
sena dsode pas grontepeine à ee défaire
Coin vulgaire usurpateur. C'est ce que no,
émir souhairorts du. pl010 profanai du Mue.
separaft eux critiques modernes couine un
trordirge. Auguste 'len, le lient pour la glus
iivd philos-phe 01mo d i x-bui lame. s affile si
abbesse,. rent ale Rousseau. de Diderot
tallit Danton. Pour Michelet, le torrent rérebitiounaire.
!a revuturiou trente ion âme,
mn génie eraierd en lui. Taine en, far. arec
Montesquieu, Voltaire et Rousseem un des
annoneialeurs Oen. de 59. Mars l'ironique
Voltait-Le mais l'impriceshe Monteequieu
oint dos gentilshommes de dartres. su-d,m,
des misères qu'il, déplorent. Diderot, con,me
Rousseau, est file dantimni Strus deux
onS le môme amour de réel, et de la justice
s
. Sil était né 10 ans plus tord. Diderot
eut entre tous les philosophes, aurait eu
I audace. vouloir la reptation. da oressent;
il rérame 1M:ducales kill/ perme quand
IL en est temps encore: il veut green le prépare
à se gousernm lur-neng ear if faut
terrier les idées avent de mirriger Ire instituteurs.
Il aborde en fernmis deeielnes et
comme prophétiques tonere le pouvoir ab_
solu.
. . . . . . . . . . ,
0 Et. ce s'est pas surine, sa rd /Cane.
c'est gon marre entière gre es^. se-Mistra.-
de Men,
Vé7IMei,
servi au
errera.
ce,ale
recheri
font dr,
les souri
quetquo
suintent,
lurette
en geai
reboute,
jamais
yréférni
BAVARDAGES
Diafoirus dans 1Tanbarras
qui sait 1
Deureusemenn
rassis est entne,
de-In on 5 Cab
1...u0au pour le,
résolu

EN VOYAGE A TOULOUSE
.'3 La Cullidrence-Rdgionale
dus Agnis dus P. T. T.
(gueula»
/L PROFANE UNE FOIS DE PLUS
LE VRAI PATRIOTISME
Lunévil., 10 novembre.
Il
été donné à ceux qui ont du patrio-
tisme une claire e saine notion de subir
aujourd'hui une de oes parodies grossières
du patriotisme prof.simmol dont M. Ellen-
ne est devenu le Chef et le protecteur. -
Le ministre dos omnibus est venu Mau-
:ramer, aujourd'hui, r langui d'aviation
de la garnison et remettre solennellement
le drapeau au 100 bataillon de chasseurs 'à
med.
Les réactionnaire, dont renthousMsme a
gen, humilie et écuré les républiCains,
ont fêté c °monsieur. Ils avaient donné le
signal des pavoisements et toutes les M-
ottes demeures étaient décorées.
A 10 heures, le ministre des tréfileurs et
des finanMers a assMté h la revue des trou.-
pro et b000re0000io de /a remise du dra-
peau, il prononce cette allocution qui est
Mun grotesque poinpiérisme » et qui est
bien leuvre de celui qui n'a d'autre com
Motion que colle de servir les MM.le fg
nanciers. Le vrai patriotisme s'exprime sim-
plement.. Jugez de ce chef-dbuvre
Glorieux drapeau des 31 bataillons de
chasseurs h pied. qui renferme da. tes
Mis rimmortei fait d'arme de Sidi-Brahim
et qui l'illustre en ro moment. au Maroc,
par les le et fée bataillons, je te conf0 à
loi val lance du 10e haat on
Offiger, sous-officiers et soldats du Me
bataillen, vos aînés out parcouru la plupart
des °hanaps do bataille, aussi bien en Afri-
ime qu'en lturepe et en Asie; vous étiez et
ils Muent a tely, gut mIt fin
pumsance
redoutable de l'émir Abd-e/-Kader; il
étaient et vous étiez à Solferino, où leur
inavOuromalut h leur drapeau la croix de
chevalier de la Légion d'honneur; vous
étiez Cilla étaient au Tonkin, à Madagasear.
Partout où ils ont combattu ils ont affir-
mé leur vaillance et M grandeur de la Fran-
ce; vos cinés ont vaincu; vous, soldats du
Ide bataillon, vous fer., h l'avenir, ne qu'Ils
se si bien fait dans le p... a
Aprbu ce morceau de mauvaise Titi tesla-
se, le ministre des Omnibus et de, Tréfile-
ries du Havre pousse le cynisme au plus
haut point il va embrasser le drapeau!
Ceux qui connaissent la vie de M. Etienne
ne pouvaient contenir leur indignation.
Armes la remise du drapeau, on inaugure
Io champ d'aviation où des discours sont
prononee par b sénateur Reymond - :e
sopa', ...hist, de Gemenceau - par le
maire de Lunéville et par le minuter
Etienne.
Puis décore des officiers et un han-
tract est servi après 1..1 le cortège offi-
ciel s'embarque pour Pues.
fg. Barthou indisposé
PerG, 16 novembre.
thon, preident du eouseil, ayant Prié
froid Iner sotr, à la sortes de /a cérémonie Dide-
rot, ne pourra présider ri-sur te banquet de
l'Union des Sociétés de ,gronastique; il sera re-
maisentA par le gkérat Sajou i. gemverneur mi-
litaire de Paris.
Un Tournoi. inierndonal
Gyeinastee
SPORT ET POLITIQUE
Paola, 16 nos marbre.
Le sixième tournoi de gym...igue des
Fédérai.. européennes a commencé au
Gymnase Japy, ne matin. b 8 h. I.
Lee paya étrangers ont envoyé leurs meil-
leurs ellairmiusso par groupe de huit dont Mx
sont officiellement désignes et deus sont là
2-arira sapée/or h «Mx qui Miraient des de.
iiiiiraMes ou. des accidents.
La Bedgiquu a envoya les atbratm de la
F4cléeatiOrl, belge du gymnaritiq.; la Ro._
use, ceux de ta Gee& Ober-Sokoiska; l'Italie,
ceux de la Fédération natimala italienne; is
Luxembourg est représenté pair Les meilleurs
suris de IL Mon des 000 10405 d/uxembouggeoi-
ses; la S.v.., par ceux de la Slomensha
Scolera S'onze.
La Fransie a choisi parmi les lauréats de
rtiudon des Smala,ds de gymnastique de
France.
Dau.n les tribunos maternagenu tout autour
du Gymnase st que l'on paveisees pour la
circonstance, une foule énorme se pies..
qui .clame les ehampionst dont lac cyan-
aieotode souplesse ou de farce sont remar-
quables.
A ce tournoi, le r Granit touriste 5 qu'est
le premier baladeur de France, 01. Poincaré,
a a..té cet apresemidi et le mindere de
/rIgtérieur, m. Nets a prOnencié Un discours
qui aérait pas olat meilleur a-propos.
Drus une réunion in,ternatiOnale, dans la-
quelle de noneforeim étrangers &aient pré-
seuls, es ministre a prononcé en discours
nationaltste, ne se ,preacoupant que de son
x département »et limitant au militarisme
français la perlée d'une grande matrifehta-
tion sportive de toutes les mations.
C'.t ainsi qu'il ,déclare
A notre époque, l'alcoolisme etlia tuber-
eulose font partent de si terribles raivagûs,
qu'ils constituant dans certains de anos dé-
partements do véritables Iléaux. Il est indis-
pensable d'employer, pour Ses combattre,
tous les troyens eta notre pouvoir et, parmi
ceux-ci, rie faut-il pas alter au nombne dm
meilleurs la .1ture physique ? Elle pormet,
porta vie eu grand am, de Ltinainuer les dan-
gers qu'offrent trop sauvent, hafiàs ! Ies fau-
bourgs. malsain., tes Logements. insalubres,
d'échapper à certaines promiscuités, de, Inf-
liger les membres et de les assouplit. de fai-
r de La génération qui mont une génération
saine, robuste et vigourn., par it'a
Plos disposée à l'aohon, plus apte a.si,
mieux entrain., b supporter tes uMigations
dus servies argue' et à se plier h toutes ses
xigences.
« Je dois, dit en mutinant, le ministre de
ilateri.n, associer dans Je mime senti-
ment de gratitude les, sociétés de gymnasti-
ques qui, elles aussi, concourent au même
Mut Gee également chez elles que ir sont
formés des /80.000 jeunes gens dont se com-
pose la ela.e de 20 anis, qui sauront, Xb
faut, défendre les lote.la et la grandeur du
pays.
Et il termine par ces mots du gitnéral
Champ r s Nous vous douta/ms dm hommes;
faites-nous des soldats.
APRES SAVERNE
Quoi de Vrai ?
hes journaux m./1.es fu,u,
au sujet de l'in, dent de Saverne. Ils pabbet,t
Osa propos qui auraient éte tenus par des nef/-
rien allemands. D aprèa enx, le tenatecant sua
.Mmotner eurnat dit hier a aes rennes Ia en ce
soi ule 00reairte, je vous permets de en_ na,
lO drapeau tuncais E Un général aurats Mt que
los Franenia &aient &as fripeuEles, ale,
d.vey a-t-it cia neai d,arra lent noie
Mea.. Quoique en ead, ei noua farad ri m
carme,s dag lieds cet& tke Os Prongere valent
''asprasanqoe be aube. et qu, vernt
bal touvailasers est ale oefeer mua ces Se.,
Samcetomscan espar areape.
UNE BELLE REUNION
A PocCaSiOn de la conférence ntgionate,
qui a eu lieu aujourd'hui, et a réuni les dé-
légués de Toulouse, Montauban, Carcasson-
ne, Harbome. Perpignan, Cahors Rodez,
Foix, Auch, l'A. G. des Agents des P. T. T.
avait organisé, cet après-midi, au Conser-
vatoire, une réunion publique. Les ques-
tions, gui avaient ele étudiésu par la con-
Térence elle mémo 1, la crise éte.s effectifs;
Z. la situation de la femme dans l'admin.
tration; 3, le reivernent des traitemnelS;
4. les mutations ont été également à For-
d. du jour du meeting. Und large part y
Cela faite aux e.eignstnenG de la volas tri-
p ouhete dela
Melun yin a plongé dans le Ami/
t famille postale..
Le camarade Mail ira, de Montauban, prê-
radait entouré des représentants des dames-
employées, ouvriers des lignes et sous-
agents.
Lo président excuse tout .d'abord Mme
Pivettes, délégué de Paris retenue par la
maladie. Il donne ensuite In parole au ca-
marade Chausseur°. de Rodez, qui traie de
ra crise des effectifs et démontre quo l'Ad-
ministration n'a. pas Su Mendie 1mo mit-
res pour répondre à l'augmentation du Ira-
liard donner r repos hebdomadaire à son
personnel.
Sabra, dans un expose bourré de faits et
d'arguments, vient eaposer la situation de
la femme /Mins l'administration et revendi-
quer pour elle rédalite de salaire. Il énu-
mère neanmoins les mesures Danser.ne
par lesquelles FA. 0. veut aider la femme à
s'elever b une situation meilleur, Elle a,
notamment obtenu pour ell, devant !a
commismon extra -parlementaire, l'égalité
des salaires da début des elamemomployées
et des surnuméraires.
Le relèvement dos traitements et l'obten-
tien en 1914 de la totalité de l'augn.ntation
promitsu k toutes les catégories du -person-
nel postal, doit être e but mmedial pour-
SUivi par les organisations professionnelles
qui n'oublieront pas. eependant, les réfor-
me, ruralnn tell. que la publication de ta-
bleaux pour les changements de résidence.
Gela aura pour effet de redursr
favori-
tisme cette plaie embattu,
js. G et
telilo les groupements de Panelalre, A
l'appui de sa thèse, Sabra rate je exotnfiles
de M. eguppi, député de M Elaute-Garonne,
do M, tthaumié, sénateur du Lot-e-Garonne,
de M. Louis Dreyfus, député blackboulé de
la Lezere, qui fsuaient établir, par un co-
mité pMÙique, un tableau de créatures 'a
caser dano lette département et bnposaient
ces nominations aux bureauX des différen-
tes administrations.
La péroraison, qui est un appel vibrant à
l'union, est rouverte d'applaudissements.
Au nom do se, camarades ambulants. Cap-
dopent parle des conséquences de la catas-
trophes de Melun.
.
Dégageant la responsabilité du mécanicien
Dan aine, il démontre :incurie de radmi-
lustration des postes et des nornpagnies de
chemins de fer qui n'ont pas su prendre 1's
mesures. depuis /engem.; réclamées, pour
élit. une catastrophe depuis longtemps
prévue.
Il demande la suppression hi/médiate de
l'éclairage au gaz, cense permanente ein-
cendie et. la Gonstruction de wagonseposto
métal! igues.
Après une nouvelle intervention de Su-
bm sur la seidarite à organiser entre pos-
tiers et eheminots, et quelques mots de
Marfa.. au nom de blé. G. des indirecte,
les ordres du jour suivants sonl. adopés à
l'unanimité
LES ORDRES DU JOUR
1. Le Groupe toulousain e les délégués
des groupas de la région envoient un salut
ému aux camarades ambulant% victimes de
la catastrophe de Meun, adressent toutes
leurs condoléances aux familles et leurs
ymitx de prompt rétablissement aux bles-
sés et leur vive reconnaissance aux sauve-
teur,.
e, 2. Le Groupe toulousain, convaincu que
les causes prinCipaies de La catastrophe sont
plus imputables a l'imprévoyance et à ri.
curie de la compagnie eau défaut d'atten-
tion d'un travailleur surmené, derilerent
qu'on veuille concentrer toutes les respon-
sabilités sue ce camarade et engagent les
cheminots h poursuivre leur campagne de
vraie justice.
« Donnent meule impératif au conseil
d'organiser une vive campagne en faveur
des cheminots et de les aider moralement
et pecuniaireruent à obtenir justice.
« 3. tes postiers réunis donnent mandat
ferme au conseil d'administration de FA. G.
de poursuivre par tous les moyens qui se-
ront jugés utiles la suppression dans le plus
bof dé ai de l'éclairage au gaz ds les
convois.
« Réclamant des pouvoirs publics une in-
tervention in-médiate auprès dos compa-
gnie, pour qu'elles prennent toutes mesu-
res propres d. assurer la sauvegarde des
voya,gours el du personnel.
S'engagent b veiller â ee que les règles
de droit commun soient appliquées nomme
par le passé pour l'indemnisation des -M-
ME..
«I. Les agents et sous-agents et ouvriers
des P. T. T.. réunis le 16 novembre 1913,
dans la salle du Conservatoire,
« Considérant que malgré les nombreuses
concessions faitrs par le personnel devant
la oodunission extreparlemetneire, d'abord,
devant le ministre des finances ensuite le
Sénat n'a pas voulu s'esse.. aux promes-
ses failes par le gouvernement ot la Chem
Sire des députés. ni s'engager a nous acoor-
der le minimum d'amélioration jugé indis-
pensable.
« Déclarent reprendre leur complète IS
becte eaction et revendiquer la réalisation
totale et immédiat, pour la prochaine an-
ruilé, de tout e programme fixé par la com-
mission extraparlementaire. if
La séance est levée à six he,uras et de-
mie.
IVIaroc
ENCORE DES COUPS DE FUSILS
Rabat, 16 novembre,
On mande d'Agadir, b 14, Mune recon-
naissance est sortie, dirigéu pid le comman-
dant Auroux. Elle a été attaquée à un en-
droit dit Taisent-FI-Roumi.
lino contreatteram exécutée par les trou-
pes restées nu bInckaus dipersa
qui eut de nombreux tués.
De notre cesS, nous avons eu cinq indigè-
nes blessés.
Quand dono cela finireral ?
En Hongrie
LE CHABOT PARLEMENTAIRE
Budapest, 16 nosembre.
La Cour d'appel a tendu hier son juge-
ment dans radante des députés qui, é la
Ou de la dernière session parlementame,
avaient lance des carriers et des Godes vesr
le banc ministériel, blessant le président du
et le ministre de rague...se.
L'ancien députe Hobart., a été condam-
né h un mon, de pusou et tond. couronnes
d'amende et MM. Julius Mardi, et Ott0 liof-
mem, à quinze jouis de prison.
Len bais autres aneUeeS, M. Zonln Reck
et 1es simiens députés Joseph Mutare. et
Louis egoa, tant été Aregailtée.
Dans les Balkans
La Paix s'affermit
EDMOND ROSTA.N1), CHAMPION
DES MUSULMANS
Janin, le 16 novendore
Le tel5gramme suivant vien traire adressé Par
les représentants des nabitants de Koritta à M.
Edmond Rostand
Edmaaal Agstand, Amende Française, Parts
Les vingt mille ha*ante do Keit., que la
rOnfUrrn. de .Londees veut hvrer à la barbarie
albanaiee, s'adressent au plus généreux des poè-
tes. traie supplient d'élever sa voix éloquente en
leur faveur. Ils ne se croient pas moins dipnes
pitié que Murs compatriotes défendus autrefois
par 00ran et Victor Huée. Es sont t bout de for-
ces, car lm. calvaire a duré un siècle de Plus.
UNE CROISIERE FlIANEAS.
Beyrouth, is novembre.
L'eseadre franoaise a appareHMmIe Gain pour
Vourlah.
Le croiseur itnien-dega-Gragiare appareilla
pour Adalia et Voletai,
Pendant. le séjour de rescadre française
Vomi., l'amiral Boue de Lapevrare Se rendrait
en visileoffleible n Constantinople, accompagné
dun certain nombre d'officiers de in.e.'elre.
UNE GRAVE ACCUSAnON
Vienne, 46 novembre.
Irapràs sas télégramme privé .de Sofia, au j
corda Midi, le général gayns aurait déclaré que
l'ordre de commencer la seconde grimes contre
la Serbie et M Grecs lui fut dieLement .donné
par 0001 Ferdin.d.
LA .LIBERTE DES EAUX
Constantineple, 16 novembre.
Au coure de Feimtre,. idiote entre /e grand-
vizir et M. Ldvidis, 11 a lie comv.0 que le, na-
odes tant grecs que turcs peuvent naviguer li-
brement dans le, eaux Oe'noOl de l'autre pays.
Lm légations et les consulats grern moi tfitil,'
le drape. national.
L'ACCORD GREGO-TURG 05 ALLEMAGNE
Berlin. 16 novembre.
La Gaaetle oie g4Itenlagaa da Nard novPrime
ainsi deus sa revue de ta semaine
Leu pui.ances out maereste Men 11,1h
iorri qDelles avaient à ce que les udgesialeons
gréco-turqUes se terminassent paerfamernen, et
eekt rame 0 cette attitude. grage aussi î
vend,nn diacrête, mais nette, de la Roumanie,
que la paix entre la Grèce .1a Turquie est main-
tenant une réalise.
a Quant aux diffleultés qui subsistent en ce
qui concerne l'attribution des lieu et la délimita-
tion de l'Albanie, rues perdront sage doue alleel
être résolues pacitImiement. La diplomatie euro-
péenne dispose, pour ce travail en commun, de
moyens éminemment propres s donner aux pe-
sa.. le sentiment le plus vif de Mur .lidarite.
A ce point de,oue. il convient de se féliciter
de ce min dl gokovsoff aille â Berlin 5 Pi.ou de
ms séjour SF5005. Ses entretiens avec l'empereur
Guil/aunie et avec ses conseillers confirmeront
encore l'excellente impr.sion qu'a faite à Ber-
lin /a récente sis 5e de M. Sasonoff et. prouverant
nonne. la bonne intelligence qui préside ara.
lion commune des Aandes puissances rauchant
les yumtions non encore rdsolues de la politique
orientale.
LE TRAITE DE BUCAREST AGGEPTE
Sega 16 novembre,
tie matin a eu lieu une ranale SëanCe publique
Sa murs di laquelle 01. Hadoslavott a lu in dé-
claration ministérielle. La déclaration rappelle /a
gravite du moment où le, cabinet fut .netitue,
les sacrifieos douloureux imposés par les citron,
'ancre 05 ta conolusion des trait. de Bu.rest el
de Constantinople.
La gouvernement, a-s-ii dit., accepte re trot,
de Bucarest sous résieraea dun Piste équilibre
dans us Balkans. Ces rdsinves ont été formulées
à la sulle de la déclaraitof de deungrande,pui.
saines, en sue de la resislon des traité par tomes
ms grandes puissances. En ce moment, comme
a./ors, le gouvernement considère ces réserves
comme inséparables du traité de paix et em-
p/oiera tousses efforts, en suivant une voie pa-
cifique et en usant des moyens dc ta diplomatie
pour la Os apparier au traitê de Bucarest des re-
vendications qui, tont en étant compatibles atee
les intérete de h paix en Europe, assureraient la
trempante dans la péninsule balkanique et le
.progres aux peuples qui l'habitent. .
A
SOMBIFuEORIZON
L'ATTITUDE DES YANKEE
Meyzieu, 16 novembre.
Les miliMIX bien informés ont pendu bout
espoir de voir les choses o ramniner b fa-
miable.
Lalique; dee Etats-Gris est co.idérine
Palais national, de Medioo ciumno
une intention de lutter centre la volonté du
peuple mexicain do repousser toute inter-
volition d'une puissance étrangère dans ses
affaires intérieures.
LA GUERRE CIVILE
La joie tegm parmi lru eointitutionnali,
tes, b la sutra de La prise de Cuneo; c'est
pue SOU,. SUS que les aune peuv.t être
importée dûs Eres-UniS.
li parait quo la récente attaque dirigée
contre Chihuahua, par le général Bancha
Villa, n'était qu une feinte dans le but da-
tmner Isa fédéra.? dégarnir la position de
Juared. -
Banche Vikla s'était empressé de faire
monter lo igrOS de son arme e, ,cians un t.in,
qui fit route la toute vapeur vers. Suarez.
Arrivae à la tombée do la ntut, les o.-
titutionnslistes mirèrent dans na ville, et M
garnison qui y était restée e'enfuit dene
L'ANGLETERRE SE PREOCCUPE DES siErrs
Londres. 16 novembre.
StliNau ni teégramme do Mexico, M. Car-
d., ironie d'Ang,teterre, a notifié g tous
ses nationaux, par l'Intermédiaire des con-
suis, 10 communiqué adressé au général
Fluente par M. Lied.
Il les a en inéme temps prévenus de se
tenir mets h partir mi premier avertisse-
ment pour des résitioneee plus mires; ceux
dentra eux qui trabitent des potes éloignés
sont priés de se tenir réunis dans les grands
centres, d'ou ils pourraient plus facilmnent
mettre à l'abri.
UNE GRAVE MESURE
Mexico, 16 nover...
Toua leu attaehes inifilaines dis leg.ations
mexicaini'a à lelnanger ont été rappelés té-
légraphiquement au Mexique,.
HUERTA S'ENTETE
Le général Huerta a fait hier soir la dé,
claratem suivante
- JO [ne m'eu irai pas; je suivrai la même
Irgnede conduite que par le passe atm:em-
ploies:us de tous mes efforts a amener la pa-
cification, du pays I j tiendrai ainsi la pro-
messe que j'ai faite en prenant le poovoir.
Le général a reconnu que 'la sjtuation
pourrait devenir .ralite que los étrangers fus-
sent en press.t dangor; dams ce cas astbil
ajoute je ferai toué, ce qui sena en miss pou-
voir pour assurer leur protection.
« Il est vrai, asteii ajouté que eertaines
claseas
ia population pourraient .
tevor; ehésiterai pas alors a appliquer
Les méthodes les plus sévère dont Je dis'',
serai pour rétablir' l'ordre st unir liele oOle-
ables; en tout vas, je suis néselm à poursoi_
ore mes tentatives pour l'exécution do mon
.progrenune de paratioartion.
Gest dullo comme. tous oes gens Ta parlent
tronjours de sévir et de fusiller en pinne._
nen le mot de 50 pacification
DANS L'ORIENT TROUBLE
Ktamil Pacha est kart
CE QU'IL FUT
t'ancien: eénd viane ottoman, vient de mourir
dams rale de Chypre,
quatrng
son pays natal, A rage de
t
On . rappelle encore .es tronque, evene-
men. qui, le 23 janvier 1911, Oct mie fin an
grand vizirat. de Brama.
En Coup da main jeunerauro, organise pax En,
ver bey et Talau bey et au cours duquel
tue le ministre de la guerre. NaSItil pacha amena
In deniers°, du grand ogle.
On Man à la vedle de la sono/estoc de la pua
turon-balkainque. Manin avait accepté de Calier
Andrinople mn Bulgares, avent que resta forte-
resse eut .00 prise. tiette attitude du cabaret sus-
cita lo coup de main er eu assura .re repaie suc_
cês.
Du reste, depuis le début du nouveau regime,
/es rapports entre tisamil pacha et Je confite
Emon et Progrès Stem ouvertement hosti-
les. Aven Mem meurt un éminent ropresentant
O e la haute politque turque ce qu anode
e homme d Etai itoM ébranle entra tous,
dans un pals gal aile s affaiblissant an dedans
et ...ors! Et il faut remuaits que dans sa
longue carrière politime - 11 fut grand
vizir peur ia premlere fou en 0500 - mared
a montré un véritable talent d'adinmieratere
de diplomate.
La révotiltion de 1008 devait sans -doute dés,
merder le vieillard quo avad passa sa vie 5005
le Me% hal/dieu. Et à la fin de ses toms, le
sort Pa mis une fois de lelns alu tee du iras-
serrement dars une situation critique m plus
embue 'sa ail Amers* lemme ottoman..
.apreS ea Mme, il se cours defirutiveinent d,
111 00 politique.
Dans sa terete fore., il aura sans douta par-
tage ea joie de es.nipandires, amis et ennems
du revirement de fortune cosi a rendu d. La Tur.
que AndrinOple et la Thrate orientale.
Notre Marine
Toulon 15 nvoembre.
Les nouveaux cuirassés « Courbet s et
Jean-Bart ir ont quitté Inc Selins-Allyines
et sont arrivés en rade de Toulon, ce ma-
tin, h neuf heures at demie. Es étaient
partis de Brest, il y a hait jours
La commission des essais, qui s'est te-
nue sur les doux navires pendant le trajel.
déclare rairas se sont, fort bien comportés
en mer, même par tempête, et qu'ils ont
donné d'excelents résultats de vÙesse diffé-
rentielles.
Le rontre-anairal Serres, président de la
commission. dont le pavillon flotte sur lo
« Jean-Bart a, est descendu è terre et a eu
une enracine avec 'es vice-amiraux Marin-
Darbel, conunandant Oescadre, et Bollue,
préfet maritime
Dans les Airs
-a
DQUELE ET TERRIBLE. EHUTE
Vienne, 16 novembre.
Le correspondant viennois du R OWC9I.C310,'
Tara de Moscou une eppj., disant que deux
aviatelare militaires autriohlens kgent tembes
près de la station de Beibiech; rua deux, nom-
mé Palmait est mort: le deuxièmes. nom de
ramer, est b grièvement blessé qu'Il a. reine à
se fere comprendre.
LES AGROBATES
Bogey, 16 novembre.
Envia.. Chevillard a renouvelé ers "ras-
midi d. Juvisy la série de ses expériences aérien-
nes. Devant une foule Are ton peut Ovalisera
MODO personnes, Il a de mairie. bourra /a bau.
me sur son nem..
A 2 h. 55 eue bond. éclata annonenkled,
pet de l'aviateur: l'hélice est mise es mouve-
ment et Chevillard décolle, s'ego° et de suite
comm.. sera elierei.v, se balançans d'une ails
mir Vautre, il évolue avee une adresse ("croyable,
bien lote ego par les rayons du soleil.
L'aviateur ceets soudain de monler. Il
menée à desSmer un sinise .sur une aile puisas
laisse glimer et se retourne A ce moment où il
O la fie en bas. la foule ohatchreusern.t
Mame
Cher/Rami a achevé son vol tourbillon per
kami. the 1.p conbfim; deux fais do suite il
réédité cet. expérience.
Les M.es partent de tous rotée; on erre
Vivo Cheverd.
Mond il a repris mollement ocra,. avec 18
ml CMAIIIiard vines sioPiler ex..nmet à cou
point de départ.
Samna l'accueille et le tai.lr, mais le pilote
se dérobe aux tende:mas. estintant que son
lit tire insuffisamment, il en réclame une autre
qu'en lui atusts.
A
h. JO Ohevinned repart mm rayera, On
signale s rack.s dans jes Leibun.
O lofes- motu es Dumont et du reprasentant
inirtistre d, /a mem,
L'aviateur allume une oigeefie, tait mettre
Phlice en mouvemeut, et toute la série do ses
exhibitions fant.tiqu. recommence.
Bue 16 ...Mme.
L'aviateur anglais Mets, sminuant am Expé-
rience:, a extecuLd aujourd'hui la tète en has,
deux vols de 35 et 50 necondes.
Haneuille, de son côté, a également volé la
Mle en bas,
ex.obi malgré Io vent et la braie qu dre
Pionne consécutifs.
LISEZ ET FAITES LIRE
LE si MIDI SOCIALISTE
L'Affaire Deperdussin
Pars, 16 novembre.
M. Hirson, bige draastinelien a ionguement
te.rroge, eger soily 01. Depordusen, on presence
41.1 début de l'interrogatoire 05. Hasch
le qualithut de.ro, 05. Deperduss.
ai sous continuez, je men Na.: te casse pas
un escroc.
Et joignant ie geste 5 a paroi, n mit son
chapeau sir ja téte et se dirigea omis la Portel
mats un garfle republiebn Fureta, lm ramant
comprendre qu'une telle attitude netall pan per-
mise à lm mculpd.
Ale, I interrogatuire reprit.
Il roule tout d'abord sur ras 28 muions du
Mn.. industriel M colonie.
H SInisai .time yu une grosse partie de celte
emnine a dû rester mitre les mai. de M. Do-
pe rduesin.
Je serai imuare miand je partirai dei repen-
dit n luouilpé sait Ms faudra poutetre tendre la
main ou avOle reeOurs 5 la Anima de nra tem..
A Ca sillet lm Al remuai., 51. kirs., JI est
,transe que votre femme que vous avez épousée
it y a douze en, .us lte régi. ,de la eépulatial
blaun an pu acneter o Bernier oui ...eau
do 11.0.0aiu fr.es et y faire pour 100.000 fraum
de reparations.
- On ne me sus mmaas occupe des affaires de
ma femme qui alun ses speculations Ois a000.
no deilleurs, j al agi mima un feu.
M. Me00 examina ensuite les alVele beide-
ge veste émanent dm tie.du
tors ces bordereaux som écrde et signes par des
mains étranger., le juge voit là une complicité
certaine.
- Je nm aucune compbette, a déolare M. D,
perdus.; j'ai fait remplir les bonder.. par
pronuar eraplioyi que paves sous la main; je
n'admettais pas de derrende dexpleations.
-lai fait faxe ces memorandaune en janvier
1000 à un peul imprrillenr qui se tonivart dans
une latraque sur les boulevards; le /endemetu
rai pro lomaison de ta commende sata aavrer à
qum me serviraient ces pamees.
M. limées va nommen des experts pour tâcher
de retrouver l'impreassur et les employas qui ont
rempli los Oc/germes.
Une Région sous l'Eau
MM., 15 nov,agly a,
lov,s réglons du Doubs. de la 2a,tio
Seille sent ensables par la Ame peraystrous de
.s nviersis. Toute la mem chaeme. antre
Fireuauusaa, sermease ;;; Gnareite est indue..
A mraon, la Satine aRemt T m II au-dc-sds
cle I étage et reeouvre la plaine sue une étendue
Or .quadre knornOtres. Les villages de Mensiot,
iteplonges, ortgres, SainLament, sa,
0es-11., Oaan, Fei.. baignent sous l'es?. Ir'
teeenee sont emportée, et l'ensemencement des
Inee Oellapeen11,.
Les habstante, bloqués dans leurs Inmsdes ra-
çoivent leur pourriture par bateaux. L'Incralendo
est générale.
Le ligne ferrée est coupée en rave. etelrfits.
La plue .ranum a Pinder.
L'AUBE DEBORDE
sar-sur_Selne, 16 novernIce.
L'Aube, grossie par les pluies a Inondé /es
prairies. 0e uruselles 001108 ace, anneliCree.
En amont die la perré, .a Jaucourt, one aelerie
a ete envahie par les eaux, qui contraient à
Perdu sur les Flots
Londres, lé novembre.
Lc Capital. Elle, de Liverpool, se trouve
seul h bord de son remorqueur, M « Nana a
qui vogue dans la Manche.
Les autres membres de l'équipage, pen-
dant la tempête, avaient été recueillis .par
le paquebot China n, à quelques kilomù-
tres du Limai
Le Nana v avait quitte Falmoutb
vendredi, pour se fondre à Rio-Jalijos, dans
l'Amérique du Sud. Mais la tempéte avait
éte si volonté que les vagues balayaent
pont et te mettaent dans line situation dan-
gereuse. C'est More que o capitaine Ede
ordonna- b. se, hommes de descendre h bord
d un canot, Mars les amarre, du canot se
rompirent, isolant ainsi l'équipage du na.
vire el, depuis lors, M remorqueur, avec
son capi.ine, esl à la merci des flots.
La Cambriole
100.000 FRANCS DE BIJOUX DISPARUS
o Forts. 56 novembre
vo,? important a été ammlis, la .nuit
dernière par 011e 'bande de p.a.rs de mu-
railles, qui opérèrent aveu uno audace
inouie, eu plein Paris, A proximile des
grands boulevards el de la pieoa do l'Opéta.
Io magasin do M. Aldcbert,
bijoutier, établi, 20, rue. d. Capucines, qui
a été cambriola. Esa arrivant, ce matin, dans
5015 magasin, AI. Alevil.rt a consiate avec
Stuepur que sa vilenie avait die ait:garnie do
prequo tout sen contenu et que les nom-
brens écrins qui. renfermaient Les bijoux vo-
tés gisaient, sur le sel do if Mater., pèle-
mêle, av. des pièces d'argenterie plun lour-
des tele que couverts, bourses, bougeoirs,
te, dom lm eambrieteure n'avaient pas vou-
lu se charger.
J.Lement effrayé, 'dl. Aidebert, alla nus,
:kola vers ara -deux coffres-forts dans les-
quels i? avait .place. la vrille au soir, pour
plusieurs millions de pierres pmdcious.
Aa joyau.,
lieureusement, ceux-ci as aient été épar-
gnés par Ms siteurs qui- craigntrent probe-
biomesl de ne pas pouvoir les ouvrir assez
rapidement.
Informe M. ifisinie, corirMimaire de po-
lice, se transporta sur les liens et prOcOda
inix constatation, Le magistrat refit le che-
min iparcourts par le mmenercant, qui était
eees ches lui par i'arriéretboutique el rés
marqua que la, porte d'entrée donnant sur
la pue aiea Ca.puernro ne portait aucune trace
d'effraetion. Mats sur le mur mitoyen d'uni
magasin de fourrures enfuie dans te mémo
lamie -male, le commissaire coustaka, sur une
partie des la muraille dépourvue do glace et
de vitrine, SOl trou pettmefiank rte passage
d'un heaume que avait été percé à envuen
Un tara,. Mi sol et donnant dans un cabinet
d'essayage du fourre., doni, a. cloisons ni-
trées avalent été tendues de pième «étoffe
Ces1 par cralce ouverture que la mal/ai-
r.. s'introduisirent chez le joallier.
y passant à lent., M. Bleinie retrouva
dans- lo nmg.in du louer 0m la trace ettes
voieurs. Ceux-ci avaient en eget abandon-
né, au milieu. d'éclaantibions d, pièces de
aime et de fourrures pris,mu dans les rayons
et dont ils avaient Ob connu'ir pour étouffer
le bruit de leurs coups druaarteau, une par-
tie de loura autilx - pas needern..cra rese
té - contprenant, un Vieusit ValeterellitlilD, une
petite casserole en. fer Mana st plusieurs
inéch. h perforer.
La pente d'entrée du magasin du 10150000r
Ma pas &lé (rut:urée, les cambriolents's ont
ouvert un palmas de bois clôturant la de-
venture et 5e fern.nt de UMM/rieur, sous le
ride., de fer qui da pas été. relevé
Sm le loquet de la rra d'entrée on re-
marquait des ernpreto es de dates enduits
cl plâtre-, empreintra qui ont Me relevées par
.1 brasice anthropométrique.
Atzlebert, esti.° que les objets voles,
bagues. bracelets, sautons, montres, broches,
nomses en or, etc., représentent une manne
de plue do loomoo fronce,
Les cambrioleurs. qui para ieseut étre très
eu eau.. des Houx sont activement ré-
clame-hes.
Ce sont les Microbes!
Angers, 46 novembre.
On sait que l'analyse de la créma reyele
qui avait causé les empoisonnements ele
Cholet avait démontré l'existence du mi-
mobei paratyphique.
La Pr
cher.ec dam lo sang des malades Là peu'
senor du morne paratyphique rencontre dans
M over.. Or, le professeur Papin, Par une
méthode absolument précise. appelée séro-
diagnostic, a démontré le présence du mê-
me paratyphique découvert drag dans les
ufs L la neige.
La Inséraer est doue maintenant complète.
Les gens de la no. ne furent pas enspoi-
sonnés. ils fuient victimes d'une infection
microbienne qui num la mort de neuf per'
Tl Aimait trop sa Femme
Silurlavilm 5, noy
Le baron Cam En.on Boude presidenl de la
seconde Chambre, es. ,déorall subitement stte
mot, 0 age de soutins-mis nus, na rhateau
d'erisberg, en appronent 15 01005 de sa femme,
dopus Amirale temps scaMrante.
Sur la Voie Ferrée
,Nowacherlia., in uovembee.
pres de la âme de Cula/tale., par sexe crue
a.,. u aglallaoc, m train a pris eu richexpe
taran mixte. Lieux verseau* .1 ale sufies et
douze plue ou moins Mea...
Deus Vaisseaux ce heurtest
tome. ta nuvembee.
Lee vapea. Beagrephou, aniclase ri ,Cranabcr-
gcn, bu liodils, .nt entres en earasion dans le
mnal de Sues. Ira Gramabarge 5450 sérieusement
endommagé.
CONTES ET NOTEVELLEE------.
La Révoltée
Mme Gripperons, anorme, en
Zcle.g.erearl' ertrga''",?br,.._ sina0b04
p Il 51
m, /:9Sas
1:o,i'nprbesruig '-"1?seoe PZ'
Odette sa fil
et prof.d. S. for ' ace
devinent sous u
renseloppe de ses
Dans sa chambre
jour entre leea,
ouverte aux verdures
écrit sir' la tablette
quand sa mère Mein la
g
e
rossai
.en l'et3r (r.e u
socs
--AhGui. Ton Ir/. se marie
- Ah! Aveo Mme Br000ta50-1e
La mère (.1ennelle). Aveo Mme
eh(T.'"dn. silenee plane, pesant. Odette rosé-
nd:t. jeo rf,..
fille se croise
per:1
;lue
ge eepPn.:e47
III de la fennec e t oise 'm
le ventre.)
dv tionchanter, ce que je 4 apprends 1.A, .55
Odette'.
- Robert. est libre de ses
naêret. Dl° connuence pas fee
enrobe à dire contre eeouggi5qa
ça vaudra beaucoup mieux...
n
"1!.
..111111reiri' uPertfo'litdiline toujours
ne croie pats si bien dire Tout te etimmei
beaseooep
'"1 ne 'andr Les ro'unea'n
tu n'éc.outes pas los parente; tu g,,Yo
journa. à lire, 01 dee nuits à m.
lu regmeslit, la solitude et l'ara
tu firds pan te monter la tète,
de parti pris. En jour viendra ard
ha concevras Imeux ?a réal., do
Anse
q
emstr'lera'elc?:i
eeqPrki
te parait ainsi Afin,
mals Ou en reviendra. Tai
loi, oraL ,jadis J'ai caressé mon idéal,
jeune fille; j'ai attendu mon Prince Ge,,j.
mant.., 01 d.o. no m'a pas empéolel
ton péré.. Que veux-111, Mure Rtouctumi,
ben quelques années d, plias q. Bulge_
Odette, taosilgur, - De quarante ce mais
vinglesim reste quinze, ai je compte blet.
beauem.... 01010 01i5e Broncher-d est meg
banne perSonne... elle aime tmst notre Be
bort. si delmaloment si tendrement, ai,
Oder.. -Si maternellement
La mère (agacée). - RI pure, enthe
est lm. riche..
Odette, avec degotit. - Toul ad là, eta
sais bien, allez. SI cette feinssa aappatalt
pas à Rebord um naulliio do fortune en soli,
des valeurs dite., un château. en Tourte.
pl us ieure métairies vit rhètel, habget4
laassy, il y a longtemps que, vous, la 9as-
nugre, voue aunra haussé les épandes dormi
ses prétentions matrimoniale... Quai d
Robert, il a console.° de te quit est,
lui aimait ri au ne- Ahl le pauvre frit
q.e je la [nains... II .ne trouve pas ça is
drôle, dairaeurn. et il serait tuut prèt k 4e.
missinnator, once, h présent. d il n:antra.
ça dedà do leen fortes anances.
La mère, se.daltsée. - Comment, ta.
Guo 11aim Brouchaird était 0
maitre. ? EY quelle hi donnait de llt.
geai? Mers, 005 '0 maman, j'ai clue-peud
et ry vois clair, e j'eatenàs biens Et pi
Retbert ne m'a jamais rien caché de ce"
vous appel.. ses fredaines. /1 était huai
c.. de sa honte, et il croyait ormoie
mon Wh-Ibsen. par lu réait de ses «zoo"
(Elle e un geste de colère). Craramenegovii
maintenant potanquei mont Imacréteté se S.
volrf,e b Eldde de ce mariage, de cd, «dem
marebé dont vous paraissez encore al film?
Gemprenosevous mon mépris al rnes raa-
dm'd'ocrosntfraDt4'et. gare iirar'7In'oriafs bffnoegibeleEntiedemtsfr
fatalité, je suis condamnée à lei eue.,
la ...mite de mon silemee I
La mer, - Qu.el esprit exaltela afis
s.1' apu, 11
je t_mpanTi.t,r,sotie,,rnesmeau.tèr:
pas ce que je per. en ce moment Je peq,
0000 555 5305
que vous el. aussi firconerie rite data alte
rôle de irdre, que RObertenuE SOn rale
Inari ou d'amant. (Ge demier mot arlei
vu grole pudique à Mme Uri ppeMag
Odette passe outre). L'explication
venons d'avoir en appelle me arire.
quenserous draw tout à fait. Vous seiétt
Macouser d'avoir des idées subversives ét,é,
mreL:morreefité,,friéEh bien, vo
rva.y.otte).co._retrem
On -votre ste té.
. toreer
folle Odette, tâche de sep..r ta remet:,
Odette. - J'aurais pit vo. raPPraiii'lr..;;
au respect de votre fill
comment eiù yijr,
venins justifier devante, elle t'asti. de
fils par MUS vieifle fernine P0m1110???
jtjlere
s'daiui 'el; sri mer.r1
m4no-Lt.r:
i;s:O firmiieas piite mettre. dans la tete ?? Mir?'
Odr'lo, - 01h ma mèir or aber
tandis que vous vouliez nle liOsbtWm0eii
un bout, je tai Pri. Per lettre. s
'fa'tjeundetin'e''., Evrmtnid'e,fielohnlhlrslireatné'ee.r..'e
dur ej el' Pei:Ler:1. da'Inseir l'unolti'Ir:eds1,?r1r,;";
rtLit,ep,Sitarerac,orelle2tç'O'
Mot
assister au milieu davonsn ta mi
en -ci.
vs'''Uft.i erdoed 5.,.,gaujirtnas'ons,d.nt
tùtnriea. 150500 0505e
quae't
feeppo Moivmême Oui jai son
sto 4caus vos grands prinoine,
nètele n'est que nvjgattese. EN,''un se min
de tout,. les matavalses tons
p. visées par le code_ EstenequQ pa'1;1,14
Se croyait pas h.néne
quelque marchandi. avariiée
mamies de ses. clients?... Votre
b..rujan;tess a.svou,rr int itiszduao
ninïn.141not,14ad.50%xsic-74,yiedi,I0aupeou.r
trente ans de né mon et, que
tr,ue,init 11. vous tendre la main
tdR1ieou
nette Mail mollo oue dcolmer
horri
frj "Fde e:u«
rable scene
OCISMS. - os venx qu'où ne Me J,d,
de colle abomination q0000
1.
souteo'r le cur. Je me veux nle
iri
La mare, arables.
dot
Ii rr
- A d'homme qui
sans le coneentement de lee,P?
La mère.
Z
Odo
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dit, malheureuse! Tu seras le
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L.a Journée Sportive
FOOTBALL RUGBY
A BAPONNG
L'LvilOO Bay,00loaia bot te SOuda TonlouzaoO
par 8 paIata zéro
p84540 1001 40e 00 Cr100 021r00192,9j00 ces'
MmoI001 k un marécage 4212 à ura plaine. Pou-
1800e cOl au Ooluplll; 0a1'oeee 0100 toua 11m-
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La paIlle tut O I'anaOtaee 0e 0111000e P00040241
la première 041 510,90, 02840 T000flUte dOmina
Pa00a0000 oal2 peObObIhlOeOd 02480go 84 81012000
avait 810 202 meme.
ou iru ma200U1u4400, de degage0000i
au 20052 0004021 212 f001o'02U 4020 01 m r000000
O trilla U 0 2221 Ire r oct ore In
L'OPe 'iI000ll'mo'dO 14,0 eut In aIl
L02000b0 005001 lIen 0 000 0000101! 1404 e.
50000140014 98051, 1201)000. 021920 - encore t
fat rempIarl par 014120010101.
14,0 somme p01r0 0020.200 01! les O0AUX prou-
vérIns 4205, 010 14maI égaie, chacun 100024 ga-
gner 02240 lOi.
LE TOEC BAT SIAROTTZ PARtI POINTS A O
(Seau casais lra0000l028110
1,14 1014094E
Le alpha! 024 ope2,Lrro. e,! 0,2221 41
25h. 10
F par IL 102000, 0024010 alt040! dro P14102000
0500 0, pIlule 40 cli 08225 120114212, 0,-ne le
000p P0000!.
51,20e. Le Os 100 00'?! fa TIU!rose 4222 n'en 900-
01e pao par cuite dusse mauvaise panne colla leu
200m-42248005 0000055, Mais leu unIfia bécuas 0008'
51000 2', 22002011f 210,00' 204 mOle Le 501100 lori
900e T',2"1220' 5420,42, 000 roIde 10 papou plor
T0010u-e Quotrltme,. sooguènIe. 0010000. 0094W'
me, tuili me mIlle 0,0 bsitO2O nor! 100 cure pour
'reu'i02200 mu, les 22 0es areièlOa rae011I 00029220'
-111800 e! 105122012iI
tanlot pue an ntaO!eaiS
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Muets du Sérail
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LIOTO. - DES COUPS DE o353 AIlE
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LA FIN 01101E GAMINERIE
Les Caporaux coaIas
saut 1res
LEI CAPBB1O0UX BASE1SE ET SIARQUIE ONT
QUITTE LA POISON 0110 VONT ALLER
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des naotoeaux de Oturbp2lOal.
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Nus Iro!eolo lrou,rreul. eu deuxième 90.
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NOUVELLES MESICIPALES
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dn't, déuormais, 00 0012000 ld000iOr et'a'oo
Notre Couppier
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SeaU 0000000010000112 'lIe-ou' , 5000 '01-
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P0210 4021 0e doIxe 0000 ,.r.' rsrrf 0004,5 obi,
01111 001010125 dn ilS f0,10 1,0100105.
Stoonirur le IOiIujorIe!2r en chef
JIC2OiOo 0O.ilrObOT l'hrlpota.lilé 0e vus 10-
loueen 1101114 , 00042e i OboOlitalmon 112' 1.01-
10h11, 'p0opriétolreo à O iriOO'f erlonlO de 00014
unI la na000lrtouoel
ISa vo0 soutIent 0851 Iro 11110 In, pliso 010,
qurea800n 0,'o eai100r 00 lOin -000.' roil't'orp:e
4200 leu rlao'oe Oéve000nl. O04r le lhauosaér,
ta n'ent no propre ni oolerse,
Ai000 liard f0 1142' 20102 elaev lia. lmmot,iOe
1415901)500 .11 pa 2l1 ia,esIIlee'eg)1 eheetlen
VItts'romprnee dano 420401 480ot 10 010tuu'anI
le nrsil lie 100000910010 01, cela malrC quo
Il prupri0002re 020 001411 11,0 OverlI00000enO,
Je 1001m prIer f'aOnl200llraiIOfl muoln'etahe
de foire reopreler mon ar'0152 0514 4e bannes
eo,ners0000f 10m- 100000 ra.a la 141091016 aI 1101
qu'il 000m 010! rI, I'lus'gtoer .ttovu.
000e 'copule qoo oOse'eultde.ua bien Inné.
cor ma mIam qui 0m r20019'er danse 12110291
pOtolI, r00001e, mnu,i000 300v eltSilleUeeu
00.00011000.
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0010 00 u'ommuo' don 5m 00101m1
La muuhrlpo'.hleur»000,, doprès le es.
hill des eharegen 420C I e0001ttlut.esboo Fols
n'ovs2l 1400 'le' ateolt oie '111091404m la .104020,
tu'do'u b 1102.110, animIle .. Coprtnlr-Acaidoo.
u1121s0F.mbfpe101,ro ., 1,0 perler relso doue
o 'adrataloteat lots fou rramnrayn,
f000o vuladet005 10014 ole eevseas rmmblor ton.
f.oe000 noie In pOIiIiov lieu huàllaetn elle
borudion.eo's ce, pou enentltnmu01m; ularleog an
po'ut de vue de. ouo'eiero.
11.11 ftOliorQe.t'e voua sono du soir 1400 O'liIlS
Prunneeia'nh Ipr000Ivet te 015,Ielll 21e M. Foin.
roe8l Let arr dl Sriompheo élOiltsS ont Pn'lt
28mo 2100l510mniom, eonalornon.etl fait Osa ovo-
00110 In 0mo hrao dam. les dix '100v ItudIOn,
l.eIon du qsaeaIsr 1 Oetelal000rv noSlfule.oeo'r_
rirs. briques, méea101qOe. lerIIlloeIe, aièçv..
pafonlerie Ie2erOsge, 10011100fb, lunslnlos, 10'
l,un, fot-pon. «1111601, Oboelirlrlld, bRoc, rIe,
Go,. hlivnrens is,dOlollioo 0100190.01. Pl12,0 416010
012v11'ors, dont la plupart se dlregeoS vers le
rrelre 20e' la Villa rI qrti, pooudooe f'toioor
tnIIguézsdIs star hsbente' 00'OrOvpli 1001108 mUf
00100. loi. rleaaavseeeo, ne dor.naet à fa bols.
von, dos100rrelaoot bien droit 00fb 11201 lorro,
dec ta guimbarde 4209 uuuo as'ietun knout.
15525e (1095e-401e d'aloendrr l,t réponse do
°'admtmlsl ralion sien tea000'ar,-,, oou'lloo
enrOee', Mnouirel,r le Oodor 201 èn 2h01, 1000
cou eemelviroonnl,
Pour 05000090 O'ilOOuOuule I
lOonli 100,510,1
On nous répond:
LE COUPON BU PR,UFET
Lu hl,iroui,udu8i!taoo,sdn Pediot et de
11210e 54401.3000 rveoees 10,0040mb o lad.
fltlni'.IeOSIutU noonteipa.fO. pur f'osllrmdodlu,m
Ou 02130es Moorl'e- P01401 '1er aoaotropof ocr
p40 110v Ire005nO b ce qime 18 boUebo d'arec.
00g' Ou rhervita lu PePOrs toit ddufoe.ée ri
'If 00e h 'o'uogfo nul dit ehemlta 05081' 10110e
tIn ' '00. 14540e.
CriIm ItiSilion u 008 eeuaeotse è I asaInIn
dv. 502-lices rosop0100is 42110 1001 rOrOn000
101v 10040e, 0,0 bouche d'eau 1055002e, 42000
0110 0e I'époquc do eedrrenem001 81001111
du rloem2o, 0252011 102110 s Ioaoqir de la
rigOir don! lu porlr 50 diri5se orro le Boom.
000" 00 dr.suorh oa levsvrhr, US O eoutee.
00110 opuaoae. ires l'aller Sainlo'Agesa qn'ot'
00 0010aelar de 000250000 de lb 00, 513,
Orofue'oodmeol en 01000 irè,o junssflo dus p.O.
tt0000alre., lU bou'for d orr000,al 401,2 0011e
2502011Cr s h'stoglo du ohneabt do Préfet et
do l'offre Ooiosle'.àgvns dnnorrusot amet 1,0.
eu 0cm-ut et lu rtpoie Or '5 eorféee.aohoe
In canine-ut qui tong,' 000 mu000lu Ou
00,0010 du PrIOrI,
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la plaro Scna.0010is, L'osmalsptlspeaeesosa
14005 GtIuo,',e .2110401.
bus, oS 1014201 la 1114411$ et 0000lero' 00. Mal
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.t. fie Cet, je Cr," appearaa
ameleniustlic.
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os .0 cousin de Prabed attendait.
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'01 aile,: une dem:lutina de respect ai-
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d veules-vous nie pormettre quelqtas
gltilr ?...
flt . geste ennuyé.
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-Soit interrempit madernoiseale de
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J'mug/ne, n'est-ce lais, que ce pas. //1//le
ce Gest niriaanent pour m'exposer M sucéefion
de 000 états Came cite voua m'avez del:Lande
tire maires-ne 00001F
Aurtemo eut ume cdepsimoo netaeuse,
ma,k il cendab 00 cuak.a. avec 000 sout-
e., Cense. d> /a voix tangumsenbe
avait
au début
'Noa assurément de me Suis déclare trop
Mao-d. Ce sena la deseseolr de ma vie. N'on
pan,. pont Mais vous me rendrez cette
justice, 004 000000:', que depuis mitre engagement
avec M. Dormakid, je ne vous ai
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Votd 050noinouat.10. 00mPTis que
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4¢, [prétendant nepousee Elle ayas, t. loura mite fuît /e dévorer dés yedd. Cola eom-
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avait été viotisse, Sers dix 5004 dle O 00 15505 ode Me ...els de ta deertee 100075010 Puis
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male oorlernes exhortations de sou fianee 004001,00on ma archives Seerefest Le coupa-
avaielY 4ve0105 dans cou âme de estimâtes inble ? Sée. offielere... Et je. 0o50 010-0
qiideleaL Allreen mentsib Elle le sontatt, imprimé en bides lettres. Puis r .0.05010 or.
elle en anait la convictIon ehealue.
taie 90 terminait par rues Mots
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010m inépnismete 00001 qu'il eût exposé ett ,eght,, g amenât la découverte do documents
but de sa flouse, saiqu'e:,le appréhendait rem
4,0, importance oapilde ayant
deurdaMe.
Leatg. ju fabrication de ta poudre Pans fu-
Marguerite ne releva pas Ma dent 0000 pamée. Ralurà4 eu ministère, Phil,ippe Dorme].
roles d'Aurélien et elle attendit.
bu a Olé Mue davour son crime. Mis en
Mais. .ndireun itypOerdeme-ni Auré- eeree4lon. e lia été écroué dans ia soi
lien, j'avaiS codervi un peu d'espoir au rIS à d pris. duChedlie-51.idi m
de3
fond dtt delle, Cette faible étincelle quit nt e-ce vrai 0 ceci. dit ia jeune fille en
meute pas. Ils falrnit en manele pour que ntotadatiq kinn geete J'entiche ies dm/Mr aes
votre marine av. M. Drennt.ing n'eût pas 000010 de i ara.
lieu, me ooluelne.
- Absolument arat!.-
- Lb bien ? icterragea Marguerite, in- .-1,00/ misérebbee!.., tnisérableel cria Marquiéta.guerite
eu jetant d la taxe d'And... le
- Eh bien 110 mir-amie eest fo,'
jettennl rapidement froissé. Avez-ve. donc
(leacul Dieu I que 000,1100-00
p04 penser un seul Matant que je norois du-
Medcanoiselle de Bride, le Vitt ,bu pe de vos inferna'es maehinatians ? Que
bonne Franerdi., ne peut plus époux.. le
Capi,aine Dommelles.
- PoulquOi ? 0012-1-01.5 imparietmonaeat,
Pinte pile.
l'une que Cet «fileter est un traitre, aujoundhai
d:émue/lue.
Oh! tieSterompit la jeune ;Mie dons une
e4C0e0on trhorreca, connue voue Iliqifie.
- Lie?, flt Or jenr.e ItelOne in: DIA tend
nt 05 0001000 eu. v,u1,,.!
L'ardele étai/ en prem ES/ e page et lira'
ilmil pan ses titres 50 40110:0 ca..aieS. par
je
me CritiVielifiril 7011000 quel torii Ceci eut votre
oeuvre, celée de 750000e oncle Danielt
ios'rot Pus.
que vous davex P010 0001 attaquer 0100X1..,C'est. Ishi- 001-010 jdjeclIe: r"i 'etn''0c.1 '00 ' d'Obis em
lippe en fun étant fâches 90 u10
ecla, e leiRfg.roieclesPur. allfent-li,,i12;eta
que Anus axez .4.1 en piège dana. ornlors,
loragoemerita honteusement. Gemment
avez-vous agi, quels moyens avez-veus mndoyen
Je le sabbat 01.001 Et je vous dé- voue stm-je. La venté 04,00 accents
masquerai ilmpiloyabkemend Ea je le von'
gerai mon PMU /pool
E.40 étatit superbe de et dindignation,
el,
001110,VOUS
Aurélien offrait de rire ironiquement 40550000 essaya de s'approcher et de
Chère Rob-sise, comme Anus yens mé-
pren,dro la 50010 110 la jeune filin.
prenez I 6avez-vOuy bien que cette farouche
eE es' ur4e7111- ms'diM0110 adlour vous sied d ravir et que jamais je rie
voue ai vue si lebel _
un regard _0e, geraeaut mépois.
- Chai, cent/nue-tanne mi-voix, ce sont
SUS qui oint orgertisé calté trahisOn odieuse,
depuciequYllque ternyd ita' 'enferment onsem-
IRC ehaque soir... Ponde, la mère 000m fi
Les bornoies rie parleront pas, ee sont de
trop habilm gredine, mais la msre, incidente
et faible; parlera peul-âtre C'est de ce mité
qu'if fout
Que ditea-voue? ré-ria Ausékien que
ces réflexions eLarmaient.
douterais de, mon [Mué ?... Que te soulte.
qui Vrille uâteresse. Et treenienant
pourran germer dans Mue âme contre thon. que jr sale rertroyemo n.velle, votre pré-
neur, La droiture rolmes?... Plliappe Dos'. sence n'est pl.., ne0001700010000017000100Alle-vous-en.
Mel0, un traided... Qui done pourrait le Jr ne veux plus Nous voir.
croum?
Comme VOUS vuus méprenez sur mes in-
- Mea Dieu! interrompit le jeune de Pententions, Mmgotrits! Gomme vous niacenhert,
je vous terai remarquer, 000 noce 000sire
qu'ou y a Mot
bien ers au 011011 :0e porte, je veux tout 011 et n souffne
puisque Tarrestution du coupable a été or-
-En bie! n 0hr.. .te ion n'y eroa m par
to.cm up .ps. S2-01:9 Z,9.
Cd. mon MM-
mc:11yea ainet' erst.'p'Peela d'Iton
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- 9010. Aléez-vons-en, Votre preserma
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