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184 LA SUHGiKHE DE I-A DÉCADENCE, ETC.
lies d'un couveuL du Uhiii, de ces tiers couvents germa-
niques où Ton n'entrait qu'avec quatre cents ans de no-
blesse, firent à Sprenyer ce triste aveu : « Nous l'avons vue
ensorceler trois de nos abbés toui' à tour, tuer le quatrième,
disant avec effronterie : « Je l'ai fait et le ferai, et ils ne
i< i)Ourront se tirer de là, parce qu'ils ont mangé, » etc.
[Comederunl meam..., etc. Sprenger, Maliens maleficarum
quxstio VII, p. 84.) Le pis pour Sprenger, et ce qui fait son
désespoir, c'est qu'elle est tellement protégée, sans doute par
ces fous, qu'il n'a pu la brûler. « Fateor quia nobis non
aderat ulciscendi aut inquirendi super eam facuUas; ideo
adhuc superest. »