Dossier de presse - FTA

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26.06.2013 Views

ÉCHOS DES MÉDIAS « Le phrasé chorégraphique d’Estelle Clareton pour S’envoler est inspiré du mouvement des oiseaux. Un phrasé clair, facilement lisible. Danseurs en position d’envol ou agglutinés en tas comme des pigeons, la tête sur l’épaule d’un voisin ou d’une compagne. Le spectateur comprend tout avec aisance. L’œuvre a été construite en faisant appel à toutes les permutations rendues possibles par le grand nombre de danseurs ; mouvements d’ensemble synchros ou en actions multiples, duos simultanés, six à la fois, deux, un seul, solos pendant que le groupe se déplace… Le regard du spectateur est constamment sollicité par toutes ces actions, par tant de détails dans la trame de cette proposition. » François Dufort, dfdanse.com, 17/09/2010 « Du côté des danseurs, l’interprétation est sûrement l’une des plus réussies de cette dernière année à l’Agora de la Danse. La plupart des danseurs se connaissent. On peut ressentir cette complicité, cette habitude du travail en groupe qui les unit. La dynamique de la chorégraphie les amène à former un groupe soudé, parfois séparé en duos ou trios électrisants. En effet, Estelle Clareton a identifié la mimique des oiseaux et a demandé aux danseurs de la recopier. Le résultat est époustouflant, autant pour ce pigeon déchainé que pour les petits pas d’oiseaux qui bougent en groupe. Tantôt langoureux et sensuels, tantôt maladroits et saccadés, les mouvements sont réalisés avec précision pour laisser place à l’expression de duos et trios parfaitement synchronisés. En bref, une superbe interprétation! » Thomas Bastien, Patwhite.com, 18/09/2010 « Présenté par la compagnie Création Caféine, le spectacle propose un agréable moment de fraîcheur et de ludisme qui rejoint à la fois l’amateur de danse contemporaine et le néophyte. Ici, pas de prétendue danse "avant-gardiste" très sombre ou hermétique. Au contraire, la créatrice décrit sa pièce comme l’une des plus joyeuses à son actif. Et probablement l’une des plus accessibles. […] Puisant sa source d’inspiration dans la migration des oiseaux, S’envoler se veut, pour l’artiste originaire de France, l’occasion de montrer la force et le courage nécessaires au changement de patrie. Le spectacle donne également à voir des thématiques telles que la peur qu’entraînent les nouveaux défis, l’inconnu qui peuple le quotidien de tout "oiseau" migrateur, le besoin d’être toujours en mouvement, et ainsi de suite. Mi-humains, mi-oiseaux, les douze interprètes sur scène sont eux-mêmes constamment en mouvement. Ils adoptent un style quasi théâtral, non seulement par leurs gestes qui traduisent presque leurs états d’âme, mais en arborant également une physionomie très communicative. Poétique et lumineuse, la pièce S’envoler propose un univers parfois déstabilisant, juxtaposant des scènes légères et gaies à d’autres segments empreints de peur et de doute. Toutes les étapes d’un cheminement normal sont abordées dans cette chorégraphie également teintée d’humour. » Émilie Plante, Pieuvre.ca, 23/09/2010 DOSSIER DE PRESSE S’ENVOLER 1

« De grands bleus, brillants. Des paupières relevées, un iris prêt à s’émerveiller, voilà tout ce qu’il faut posséder pour apprécier à sa juste valeur S’envoler (…) S’envoler est […] une pièce évocatrice, rempli de poésie, où les danseurs se situant entre humains et oiseaux, interprètent la difficulté du premier envol, et toute la douleur, la joie, l’incompréhension et le courage qu’il implique. Avec une bande sonore composée par Éric Forget entièrement constituée de piaillement d’oiseaux, ainsi qu’un éclairage toujours juste, quasi féerique, mis au point par Martin Labrecque, l’entrée dans ce monde métaphorique est chose fort aisée. » Joëlle Turcotte, Le mur mitoyen, 18/09/2010 DOSSIER DE PRESSE S’ENVOLER 2

ÉCHOS DES MÉDIAS<br />

« Le phrasé chorégraphique d’Estelle Clareton pour S’envoler est inspiré du<br />

mouvement <strong>de</strong>s oiseaux. Un phrasé clair, facilement lisible. Danseurs en position<br />

d’envol ou agglutinés en tas comme <strong>de</strong>s pigeons, la tête sur l’épaule d’un voisin<br />

ou d’une compagne. Le spectateur comprend tout avec aisance. L’œuvre a été<br />

construite en faisant appel à toutes les permutations rendues possibles par le<br />

grand nombre <strong>de</strong> danseurs ; mouvements d’ensemble synchros ou en actions<br />

multiples, duos simultanés, six à la fois, <strong>de</strong>ux, un seul, solos pendant que le<br />

groupe se déplace… Le regard du spectateur est constamment sollicité par toutes<br />

ces actions, par tant <strong>de</strong> détails dans la trame <strong>de</strong> cette proposition. »<br />

François Dufort, dfdanse.com, 17/09/2010<br />

« Du côté <strong>de</strong>s danseurs, l’interprétation est sûrement l’une <strong>de</strong>s plus réussies <strong>de</strong><br />

cette <strong>de</strong>rnière année à l’Agora <strong>de</strong> la Danse. La plupart <strong>de</strong>s danseurs se<br />

connaissent. On peut ressentir cette complicité, cette habitu<strong>de</strong> du travail en<br />

groupe qui les unit. La dynamique <strong>de</strong> la chorégraphie les amène à former un<br />

groupe soudé, parfois séparé en duos ou trios électrisants. En effet, Estelle<br />

Clareton a i<strong>de</strong>ntifié la mimique <strong>de</strong>s oiseaux et a <strong>de</strong>mandé aux danseurs <strong>de</strong> la<br />

recopier. Le résultat est époustouflant, autant pour ce pigeon déchainé que pour<br />

les petits pas d’oiseaux qui bougent en groupe. Tantôt langoureux et sensuels,<br />

tantôt maladroits et saccadés, les mouvements sont réalisés avec précision pour<br />

laisser place à l’expression <strong>de</strong> duos et trios parfaitement synchronisés. En bref,<br />

une superbe interprétation! »<br />

Thomas Bastien, Patwhite.com, 18/09/2010<br />

« Présenté par la compagnie Création Caféine, le spectacle propose un agréable<br />

moment <strong>de</strong> fraîcheur et <strong>de</strong> ludisme qui rejoint à la fois l’amateur <strong>de</strong> danse<br />

contemporaine et le néophyte. Ici, pas <strong>de</strong> prétendue danse "avant-gardiste" très<br />

sombre ou hermétique. Au contraire, la créatrice décrit sa pièce comme l’une <strong>de</strong>s<br />

plus joyeuses à son actif. Et probablement l’une <strong>de</strong>s plus accessibles. […] Puisant<br />

sa source d’inspiration dans la migration <strong>de</strong>s oiseaux, S’envoler se veut, pour<br />

l’artiste originaire <strong>de</strong> France, l’occasion <strong>de</strong> montrer la force et le courage<br />

nécessaires au changement <strong>de</strong> patrie. Le spectacle donne également à voir <strong>de</strong>s<br />

thématiques telles que la peur qu’entraînent les nouveaux défis, l’inconnu qui<br />

peuple le quotidien <strong>de</strong> tout "oiseau" migrateur, le besoin d’être toujours en<br />

mouvement, et ainsi <strong>de</strong> suite. Mi-humains, mi-oiseaux, les douze interprètes sur<br />

scène sont eux-mêmes constamment en mouvement. Ils adoptent un style quasi<br />

théâtral, non seulement par leurs gestes qui traduisent presque leurs états d’âme,<br />

mais en arborant également une physionomie très communicative. Poétique et<br />

lumineuse, la pièce S’envoler propose un univers parfois déstabilisant, juxtaposant<br />

<strong>de</strong>s scènes légères et gaies à d’autres segments empreints <strong>de</strong> peur et <strong>de</strong> doute.<br />

Toutes les étapes d’un cheminement normal sont abordées dans cette<br />

chorégraphie également teintée d’humour. »<br />

Émilie Plante, Pieuvre.ca, 23/09/2010<br />

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