LIVRE 2005 - page rieuse - Free

dans l’opposition pendant la seconde
guerre, avaient activement milité en
faveur de l’Allemagne nazie. Certains étant
ouvertement antisémites.” [22] » [23] [Voir
« Terror is Real », p. 603] On n'en est pas
à une « contradiction » près [Voir « Les
capitalistes et leurs ennemis », p. 557].
Plus récemment, advint un « virage dans
les mutations du lobby militaro-industriel,
[virage] sous-jacent au grand déballage
de scandales des années quatrevingt-dix
: fracturé par la dialectique
complexe des alliances américano-israélienne
et américano-saoudienne [Voir
« L'ami Ben Laden », p. 563] , ce lobby a
alimenté les médias du fiel de ses contradictions.
» [24] [Voir « Tambour battant
», p. 638] Tuez-vous « tous, Dieu
reconnaîtra les siens » [25] !
[1] : (Voir les travaux du CADTM, www.cadtm.org)
[2] : (SIPRI, « SIPRI Yearbook 2004. Armaments,
Disarmament and International Secutity », Oxford
University Press, 6/2004)
[3] : (« Dette ou développement », Billets d’Afrique,
7-8/2005, p. 7, http://www.survie-france.org/article.php
3?id_article=490, d’après Le Soir, 7/6/2005)
[4] : (« Contrôle des Armes : A portée de main »,
Altermondes, n° 13, 3-5/2008, p. 13, d’après Plateforme
Contrôlez les armes, www.controlarms.org)
[5] : (Léo Strauss, « Pensées sur Machiavel », 1958, trad.
Michel-Pierre Edmond et Thomas Stern, Payot, 1982,
p. 322)
[6] : (George Orwell, « 1984 », trad. fr. Gallimard, 1950,
réed. folio, 11/1972, p. 274)
[7] : (François Rabelais, « Gargantua », 46 (1542))
[8] : (Eric Lemasson, « Marchiani, l’agent politique », Seuil,
3/2000, p. 18)
[9] : (Nicolas Lambert, « Elf, la pompe Afrique », préface de
François-Xavier Verschave, Tribord, Bruxelles, 1/2006,
p. 83, d’après François-Xavier Verschave, « Noir Chirac »,
les Arènes, 3/2002, p. 102)
[10] : (François-Xavier Verschave, op. cit., p. 134)
[11] : (Hervé Martin, « Un magistrat torpille les frégates de
Taïwan », Le Canard enchaîné, 16/3/2005, p. 3)
[12] : (Eva Joly, « Est-ce dans ce monde que nous voulons
vivre ? », les Arènes, 2003, réed. folio, 2004, cité par
Philippe Doray, « Edito », Zapito, n° 33 spécial ed.
Annuelle 2004, p. 3 (10 euros, c/o Association de Mots,
4 rue de la République, F-76350 Oissel))
[13] : (Le Canard enchaîné, 6/7/2005, p. 2, d’après Le
Monde, 1/7/2005)
[14] : (Le Canard enchaîné, 18/9/2002, p. 2, reprenant Le
Canard enchaîné, 21/8/2002, p. 2, d’après La Tribune,
16/8/2002)
[15] : (George Orwell, op. cit., pp. 15, 30, 43, 149 et 283)
[16] : (Le Canard enchaîné, 20/11/2002, p. 2, d’après Le
Figaro, 15/11/2002)
Lutte finale 652
[17] : (Polemix et la Voix Off, http://polemixetlavoixoff.com,
« La bande à Dédé. 30 minutes sur l'histoire », 2/11/2006)
[18] : (Claude Wauthier, « Quatre présidents et l’Afrique »,
Seuil, 1995, cité par Dominique Lorentz, « Affaires atomiques
», les Arènes, 2/2001, p. 196).
[19] : (François-Xavier Verschave, op.cit., p. 26)
[20] : (Pierre Péan, « Les deux bombes », Fayard, 1991,
cité par Dominique Lorentz, « Affaires atomiques », les
Arènes, 2001, p. 136)
[21] : (Dominique Lorentz, op.cit., pp. 194-195)
[22] : (Dominique Lorentz, op. cit., pp. 194-195, 198)
[23] : (François-Xavier Verschave, op.cit., pp. 25-26)
[24] : (François-Xavier Verschave, op.cit., p. 221)
[25] : (Attribué à Arnaud Amalric, abbé de Citeaux, légat
du Pape, lors de la prise de Béziers au cours de la croisade
contre les Albigeois, 22/7/1209)
Le « faucon » Edward Luttwak le précisait
il y a un tiers de siècle : « Le personnage
qui contrôle les baïonnettes
peut être considéré dans le pays
comme inacceptable en tant qu’homme
d’Etat par l’opinion publique ;
cela ne l’empêchera pas de gouverner
indirectement et de faire obéir à ses
ordres les dirigeants officiels, qu’il
domine par la force qu’il détient. » [1]
Cependant, il ne devra pas déserrer
l'étau. « On peut tout faire avec les
baïonnettes, excepté s'asseoir
dessus ! » [2] Alors, l'état de guerre
devrait être permanent. C'est la
colonne vertébrale de la société
moderne.
Les « systèmes économiques des États
développés, et principalement des États-
Unis, se sont construits en fonction de
leurs budgets militaires, particulièrement
[disproportionnés] dans les dernières
années de » [3] la Guerre froide, « plus