LIVRE 2005 - page rieuse - Free

cain [7] [..., comme dans les publications,
on pointe] la destruction de
preuves, la rétention d'informations et le
rejet de pistes d'investigation par les
autorités [8] » [2].
« Michael Meacher, ministre de l'environnement
dans le gouvernement
d'Anthony Blair de 1997 à 2003, suggère
[..., lui,] que les attentats ont été facilités
pour atteindre des objectifs pétroliers
en Asie [9] » [2].
« Outre-Rhin, [...] Andreas von Bülow,
docteur en droit [... puis] avocat, [qui]
fut, de 1969 à 1994, député, ministre de
la recherche et de la technologie et
secrétaire d'État à la défense chargé des
services secrets [..., mena une] enquête
minutieuse [10] [..., notamment sur] le
mystère du bâtiment 7 du World Trade
Center qui hébergeait des services de la
CIA et qui s'effondra ["tout seul"] plus de
sept heures après les tours jumelles. » [2]
On se pose beaucoup de questions physico-chimiques,
notamment sur des problèmes
de résistance des matériaux.
« Différents experts [11] ont en effet estimé
que les chocs, provoqués par les
avions, et les incendies n'auraient pas
[pu] faire tomber [les deux tours]. Les
pompiers, reporters et passants ayant
fait état d'explosions dans les tours, [on]
analyse […] après les deux impacts [12]
[…] l'apparition d'une longue bande
horizontale de fumée blanche, révélatrice
d'un type d'explosions qui ne peut
s'expliquer par la combustion du kérosène
[13]. » [2]
Tout cela pose évidemment le problème
du complot [14].
« En France, le journaliste Thierry
Meyssan est parmi les rares auteurs à
avoir développé ce doute [15]. Mais [son
premier ouvrage était pour le moins maladroit
(un musulman ne peut se suicider,
Bush ne peut pas mentir, etc.) et]
A l’Ouest rien... 628
ses pratiques journalistiques contestées
ont jeté de l'ombre sur son propos [16].
Or, peut-on abandonner l'élucidation
d'une action criminelle aussi retentissante
au motif qu'un enquêteur [serait] discrédité
? » [2]
Les médias « [le] présentent comme une
sorte d'illuminé qui cherche à tout prix à
attirer l'attention sur lui [...]. Ils glissent
régulièrement des remarques sarcastiques
à [son sujet, par] exemple, s'ils
parlent d'une histoire qui paraît invraisemblable
[... Ils] veulent [le] faire passer
pour quelqu'un qu'il ne faut surtout pas
croire. [...] Ils veulent [... qu'on le] considère
comme un personnage ridicule et
stupide qui raconte des contes à dormir
debout pour entretenir sa célébrité. [...
Et] bien entendu, ils n'ont pas dit un mot
des [... réels problèmes abordés]. Ils
n'ont même pas signalé » [17] l'incohérence
de la version officielle. Par
exemple, Daniel Leconte invite sur Arte
le pitre Philippe Val pour déblatérer à
cette fin [18].
Pourrait s'appliquer ici ce qui était dicible
pour l’Italie, à propos de l’assassinat
d'Aldo Moro [Voir « 1978 : Moro mort »,
p. 76] : « La version des autorités italiennes,
aggravée plutôt qu'améliorée
par cent retouches successives, et que
tous les commentateurs se sont fait un
devoir d'admettre en public, n'a pas été
un seul instant croyable. Son intention
n'était pas d'être crue, mais d'être la seule
en vitrine ; et après d'être oubliée, exactement
comme un mauvais livre. » [19]
Il faut combattre ce qui n’est pas la version
officielle. On essaie de démonter la
présentation que Meyssan fait de l'histoire
[20]. On tranche en faveur du canular
[21] ou on ne tranche pas réellement
[22]. On parle de « rumeur » [23].
Précédant l'Introduction du premier livre
de Meyssan sur le sujet, figure pourtant