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d’après « Osama-Berlusconi ? "Trappola giornalistica"<br />

», Corriere della Sera, 30/11/2007, http://www.corriere.it/politica/07_novembre_30/osama_berlusconi_cossiga_27f4ccee-9f55-11dc-8807-0003ba99c53b.shtml)<br />

« 10h05 :<br />

les assaillantsjoignent<br />

par<br />

téléphone<br />

le Secret<br />

Service (chargé<br />

de la<br />

protection<br />

du président)<br />

et lui<br />

délivrent<br />

un message dont la teneur n’est pas<br />

connue. Pour créditer leur appel, ils<br />

donnent les codes de transmission et<br />

d’authentification d’Air Force One et<br />

de la Maison-Blanche.<br />

Considérant que la sécurité de l’avion<br />

présidentiel et de la Maison-Blanche<br />

n’est plus assurée, le Secret Service fait<br />

évacuer l’immeuble présidentiel et déploie<br />

des tireurs d’élite aux alentours et<br />

des roquettes sol-air. Il entend ainsi prévenir<br />

un éventuel assaut par des<br />

commandos aéroportés. » [1]<br />

« L'information relative à la communication<br />

téléphonique entre le<br />

Secret Service et les auteurs des<br />

attentats avait été successivement<br />

publiée par le Washington Post et<br />

le New York Times. Elle a été confirmée<br />

par Ary Fleischer, porte-parole<br />

de la Maison-Blanche, et longuement<br />

développée par Karl Rove<br />

(Senior Counsellor de la Maison-<br />

Blanche) [2] et par James Woolsey<br />

(ancien directeur de la CIA).<br />

Selon ce dernier, les auteurs des attentats<br />

disposaient non seulement des<br />

codes présidentiels d'Air Force One<br />

[l'avion présidentiel] et de la Maison-<br />

Blanche, mais aussi des codes de la Drug<br />

A l’Ouest rien... 616<br />

Enforcement Administration, du<br />

National Reconnaissance Office, de l'Air<br />

Force Intelligence, de l'Army Intelligence,<br />

du Naval Intelligence, du Marine<br />

Corps Intelligence, et des bureaux de<br />

renseignement du Département d'État<br />

et du Département de l'Énergie [ce qui<br />

donne un blanc-seing général].<br />

[... Au] New Yorker, Karl Rove a révélé<br />

que lorsque Air Force One avait changé<br />

de cap, le président décidant de se<br />

rendre personnellement au Strategic<br />

Command, plutôt que de rentrer à<br />

Washington, [sa présence physique<br />

sécurisant le commandement,] il avait<br />

été informé qu'un missile se dirigeait<br />

vers l'avion présidentiel. Air Force One<br />

avait alors été contraint de changer d'altitude<br />

et d'évoluer en zig-zag. Cette procédure<br />

brûlant trop de carburant, il avait<br />

été décidé d'une escale en Louisiane<br />

pour faire le plein.<br />

L'ensemble de ces informations provoquant<br />

des remous dans les chancelleries,<br />

une source officielle anonyme a délivré<br />

un démenti en bloc [3] [...]. Puis Ary<br />

Fleischer, revenant sur ses propres asser-<br />

tions, l'a démenti à son tour, assurant<br />

que tout cela avait été dit par erreur sous<br />

le coup de l'émotion. [...] M. Fleischer est<br />

incapable d'expliquer le périple du président<br />

le 11 septembre [...].

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