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19/3/2003, http://www.voltairenet.org/article9340.html)
[16] : (Jean-Luc Porquet, « Petit creux d’après réveillon »,
Le Canard enchaîné, 8/1/2003, p. 5)
[17] : (« Un risque tout générique », La Tribune Desfossés,
28/11/2001)
[18] : (Natasha Saulnier, « Un an après les attentats
Anthrax : le FBI sous pression », L’Humanité, 10/9/2002,
http://www.humanite.presse.fr/journal/2002-09-
10/2002-09-10-39748)
[19] : (« Les [joujoux] bactériologiques de l'extrême droite
états-unienne », Voltaire, n° 62, 24/2/2004,
http://www.voltairenet.org/article12531.html)
« La
poudre envoyée
dans
les différentes
lettres
proviendrait
de la souche
Ames,
développée
principalement
dans le cadre [...] de Fort
Detrick [… Un] "officiel" confie au New
York Times que le bacille dissimulé dans
les lettres a "moins de deux ans". » [1]
« C'est du laboratoire militaire de Fort
Detrick [apprit-on] que sont sorties,
selon les expertises scientifiques, les
spores d'anthrax » [2]. A moins que ce
ne soit de son jumeau dans l’Utah,
Dugway. Car « le gouvernement américain
avait été forcé d’admettre que son
centre militaire d’essais de Dugway avait
produit de la poudre d’anthrax militarisé
quasiment identique au charbon utilisé
dans les attaques postales contre des
médias et les sénateurs (la poudre
blanche utilisée [...] était tellement
concentrée que deux grammes correctement
diffusés peuvent infecter des millions
de personnes). Cette production
viole le traité d’interdiction des armes
biologiques de 1972 et encourage de
fait la prolifération des armes biologiques
dans d’autres pays. » [3] C’était
encore une « arme
de destruction
massive "made
in USA". » [2]
[Voir « Serre m’en
cinq ! », p. 329]
Mais il y a depuis
des années un
marché, une demande populaire, pour ce
genre de produits. « Le 24 février 1998, le
tribunal de Las Vegas [relâche] le lieutenant
colonel Larry Wayne Harris ainsi que
William Leavitt, tous deux membres de
l'organisation paramilitaire néo-nazie
Aryan Nations. Les deux militants d'extrême
droite avaient été [arrêtés] trois jours
auparavant en possession de fioles contenant
de la poudre d'anthrax. » [4] Ça ira
pour cette fois.
[1] : (Fabrice Rousselot, « Etats-Unis : black-out sur le charbon
», Libération 11/7/2002)
[2] : (Robert Realley, « Anthrax : l'étrange affaire du Dr
Hatfill et de Mister Mueller », Les Enquêtes interdites –
amnistia.net, n° 22, 20/8/2002)
[3] : (Natasha Saulnier, « Un an après les attentats
Anthrax : le FBI sous pression », L’Humanité, 10/9/2002,
http://www.humanite.presse.fr/journal/2002-09-
10/2002-09-10-39748)
[4] : (« Les [joujoux] bactériologiques de l'extrême droite
états-unienne », Voltaire, n° 62, 24/2/2004,
http://www.voltairenet.org/article12531.html)
La
« Fédération
des scientifiquesaméricains,
un
groupe de
recherche sur
le bioterrorisme
» [1]
« croit pouvoir identifier le chercheur
qui aurait volé les souches du
bacille dans un laboratoire officiel.
Mais [...] l'opinion publique est absorbée
par la guerre en Afghanistan. » [2]
Penchons nous sur le cas de ce docteur
Steven Hatfill.
« De 1975 à 1978, [...] Hatfill était au
595 A l’Ouest rien...