LIVRE 2005 - page rieuse - Free

à signal radio sont injectées à l'aide
d'une seringue dans le bras des patients.
[... Le] personnel médical utilise un scanner
[RFID et] lit les données dans la base
[de données] grâce au numéro de série
unique dont chaque puce dispose.
Avec [...] Verichip, la société Applied
Digital [7] indique cibler, par exemple,
les personnes atteintes de la malades
d'Alzheimer, de diabète, de troubles cardiovasculaires
ou autres nécessitant des
traitements lourds. [...]
Pour [...] inciter [les hôpitaux américains]
à les adopter, [Applied Digital] compte
tout bonnement faire don de scanners
[RFID], coûtant 650 dollars l'unité, à 200
centres de traumatologie. [...]
Au Mexique, plus de 1.000 patients se
sont fait implanter une puce Verichip. Et le
ministère italien de la Santé les teste [dès
2004] dans plusieurs hôpitaux. » [2]
« D'ici à 2010, l'usage de ces puces devrait
être généralisé. [... Un] gigantesque marché
de plusieurs milliards de dollars » [5]
[1] : (www.fda.gov)
[2] : (Alorie Gilbert, « États-Unis : l’implantation de puces
sous-cutanée autorisée sur des individus », CNET
News.com, 15/10/2004, http://www.zdnet.fr/actualites/telecoms/0,39040748,39177951,00.htm)
[3] : (Laëtitia Bardoul, « 2005 sera l'année des tests et des
pilotes pour la RFID en Europe », JDN Solutions, 15/1/2005,
http://solutions.journaldunet.com/0501/050119_rfid.shtml)
[4] : (Marc Rees, « VeriChip : des puces RFID dans le bras
des immigrés ? Le saut de puce de trop ? », 2/6/2006,
http://www.pcinpact.com/actu/news/29179-VeriChipdes-puces-RFID-dans-le-bras-des-imm.htm,
d'après Bill
Christensen, « Proposal to Implant Tracking Chips in
Immigrants », LiveScience, 31/5/2006, http://www.livescience.com/scienceoffiction/060531_rfid_chips.html)
[5] : (Véronique Brocard, « Ces puces qui nous espionnent
», Télérama, n° 2883, 14/4/2005, reprod. in
http://groups.google.com/group/guerrelec/browse_thre
ad/thread/f056aa2b92763448)
[6] : (www.verimedinfo.com)
[7] : (http://www.appdig.com)
« La collecte
en continud'informationssensibles
est
[...] une
des composantesstratégiques
des systèmes spatiaux [...]
(stratégie américaine de monitoring
de la planète).
Les [...] satellites d'observation de la
Terre ne s'intéressent pas seulement au
temps qu'il fait ou à la biodiversité. » [1]
En « 1990 [...,] le président américain
George Bush montre à François Mitterrand
des photos satellites pour le
convaincre de la nécessité d’intervenir
dans la guerre du Golfe [Voir « Gulf’s
War One », p. 602]. L’année suivante,
les militaires français, ne disposant d’aucun
satellite [militaire] d’observation, doivent
se contenter des documents fournis
par les États-Unis. » [2]
En « Europe, la télédétection militaire
était jusqu'à une date récente très
dépendante de l'armée américaine. Ce
sont ces derniers qui fournissaient à
leurs principaux alliés en Europe les
images satellites à haute résolution mais
que d'une façon sélective. Le premier
programme militaire [européen]
dénommé Hélios [3] n'a été mis en
œuvre qu'en 1995 [...]. Des pays émer-
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