LIVRE 2005 - page rieuse - Free

[11] : (Marc Rees, « Le gouvernement ouvre la bande
865-868 MHz aux RFID », PC inpact.com, 15/9/2006,
http://www.pcinpact.com/actu/news/31386-Le-gouvernement-ouvre-la-bande-865868-MHz-au.htm)
« Onéreux à
mettre en
place, intégrant
des
normes de
communication hétérogènes, soumis
aux normes législatives, le matériel
RFID [avait] encore du mal à séduire.
EPC Generation 2 a pour but de mettre
un terme à ces problèmes. Son système
de communication sans fil a été validé
par les autorités de régulation des Etats-
Unis, de l'Europe et du Japon. » [1]
La « création, [fin 2004, de ce] nouveau
standard de communication RFID, EPC
Generation 2 » [2] « (pour Electronic
Product Code Generation 2) [..., donnant]
naissance à une nouvelle génération
de produits » [1] en « unifiant les différentes
technologies existantes [1] [...,
devait] favoriser la production de gros
volumes de marqueurs RFID à partir [de
début] 2005. » [2]
« Il a été décidé [...] de ne pas imposer
de royalties sur cette nouvelle norme qui
fait pourtant l'objet de développements
de la part de la société Intermec
Technologies [3], et ce afin d'en faciliter
l'appropriation par les industriels. [...]
"[...] Nous croyons que les entreprises
qui offrent des produits RFID à haute fréquence
auront toujours besoin d'une
licence pour exploiter notre technologie.
En plus des droits de propriété intellectuelle
relatifs à l'EPC Generation 2,
Intermec détient plus de 125 brevets en
RFID haute fréquence.", déclarait la
société » [1].
« "La ratification de la norme [a permis]
aux fabricants de sortir des produits et
de lancer des phases de tests pour évaluer
l'interopérabilité entre les différents
constructeurs. Le standard [a permis]
une harmonisation des produits pour
l'environnement logistique" [4], explique
[... le] responsable marketing et communication
chez Intermec » [2]. Il a pemis
ainsi de « favoriser l'adoption de l'outil
par les éditeurs de progiciels. D'autant
plus que les nouvelles puces [...] stockent
également tous les contenus du système
d'information ce qui rend possible
l'utilisation de données en provenance
des lecteurs, puis un mélange de ces
données avec d'autres éléments du
[système d'information]…", affirmait [...]
l'EPCglobal [..., une organisation à but
non lucratif chargée de promouvoir
l'usage de la technologie RFID]. [...]
[Avec les] premières puces EPC
Generation 2 [...], le processus de lecture
est désormais capable d'atteindre des
vitesses de 1 500 puces lues par seconde,
contre 100 pour les premiers systèmes
RFID.
Mais en Europe la vitesse [plafonne] à
600 puces par seconde, les autorités de
régulation interdisant [encore en 2004]
l'usage de certaines fréquences
[Voir « RFID, désarmée ? », p. 407].
Plusieurs industriels se sont déjà lancés
dans la production de matériels compatibles
avec la deuxième génération de la
RFID [...,] notamment Texas Instrument,
Philips Semiconductors, Intermec,
Applied Wireless Identification et Impinj.
La production de produits en masse
[était] annoncée pour [... fin] 2005. » [1]
Ensuite...
[1] : (Yves Drothier, « La RFID passe à la vitesse supérieure
», JDN Solutions, 21/12/2004, http://solutions.journaldunet.com/0412/041221_rfid_epc_standard.shtml)
[2] : (Laëtitia Bardoul, « 2005 sera l'année des tests et
des pilotes pour la RFID en Europe », JDN Solutions,
15/1/2005, http://solutions.journaldunet.com/0501/050
119_rfid.shtml)
[3] : (www.intermec.com)
[4] : (Eric Delaneau)
409 Survie surveillée