LIVRE 2005 - page rieuse - Free

FNSEA, lui, a toujours bien voté.
Par contre, désormais, on aura à l’œil les
mauvais éléments [Voir « Rétifs = futurs
génicidaires », p. 468].
[1] : (Henri Laborit, « La Colombe assassinée », Grasset,
1983, p. 156)
[2] : (Salluste, « Conjuration de Catilina », XXXI, réed. GF-
Flammarion, 1968, p. 49, trad. François Richard)
[3] : (Ricardo Petrella, « Violences à Gênes, Criminaliser la
contestation », Le Monde diplomatique, 8/2001, p. 6,
http://www.monde-diplomatique.fr/2001/08/PETREL-
LA/15513)
[4] : (Max Clos, « Bloc-Notes », Le Figaro, 14/09/2001,
p. 20, cité par Acrimed, « Le terrorisme vient de tout, le
terrorisme est partout », 24/11/2001 modif. 2/1/2002,
http://acrimed.samizdat.net/article.php3?id_article=637)
[5] : (Alain-Gérard Slama, Le Figaro Magazine, 15/9/2001,
p.7, cité par Acrimed, op. cit.)
[6] : (Alain-Gérard Slama, « Le pari de la modernité », Le
Figaro, 19/11/2001, p. 14, cité par Acrimed, op. cit.)
[7] : (Guy Sorman, « Bloc-notes », Figaro entreprises (Cahier
Enquêtes) 17/9/2001, p. 3, cité par Acrimed, op. cit.)
[8] : (Ivan Roufiol, « La loi du plus faible », Le Figaro
16/11/2001, p. 12, cité par Acrimed, op. cit.)
[9] : (« Correction d’agenda », Le Canard enchaîné,
29/10/2003, p. 2)
[10] : (« Tremblez, opposants à la mondialisation »,
Editorial du Wall Street Europe, trad. in Courrier international,
cité par Régis Boussières, Groupe Kronstadt, FA
Lyon, « Anti-mondialisation et islamistes même combat ? »,
18/10/2001, http://federation-anarchiste.org/ml/article.p
hp3?id_article=911)
[11] : (http://www.aclu.org)
[12] : (Natasha Saulnier, « Le nouveau maccarthysme »,
L'Humanité, 4/1/2002, http://www.humanite.presse.fr/jo
urnal/2002-01-04/2002-01-04-26657)
[13] : (Cf. le Rapport de l'International Pen,
« Antiterrorisme, écrivains et liberté d'expression »,
Londres, 11/2003, http://internationalpen.org.uk/dev/U
pload/informe-fra.pdf, 1,2 Mo)
[14] : (Ignacio Ramonet, « Antiterrorisme », Le Monde
diplomatique, 3/2004, p. 1, http://www.monde-diplomatique.fr/2004/03/RAMONET/10722)
[15] : (Xavier Bekaert, « Un Air de déjà-vu », Le Monde
libertaire, 16/1/2003, http://www.cybertaria.net/ml/articl
e.php3?id_article=1358)
[16] : (Jérôme Canard, « Perben invite la justice à manier
le bâton contre les mécontents », Le Canard enchaîné,
28/7/2004, p. 4, reprod. in http://listes.rezo.net/archives/
cip-idf/2004-08/msg00000.html)
[17] : (« Arrêté du 24 juillet 2003 relatif à la protection du
secret de la défense nationale dans le domaine de la protection
et du contrôle des matières nucléaires », Journal
Officiel, n° 183, 9/8/2003, p. 13859, reprod. in
http://www.sortirdunucleaire.org/index.php?menu=actu
alites&page=secret2)
[18] : (« Secret défense : le nouveau scandale du nucléaire
: Arrêté “Secret défense” du 24/7/2003 », Sortir du
Nucléaire, n° 23, 12/2003, p. 2, http://www.sortirdunucleaire.org/index.php?menu=sinformer&sousmenu=trimestriel&soussousmenu=info23&page=index)
Sécurisons un peu 360
Le 20
octobre
1 9 8 5 ,
Broussard
passe à
l'action. Vers trois heures du matin, avec
quelques fidèles, il explore le Paris by
night. But de la manœuvre : passer au
petit trot et en se montrant bien, devant
les possibles objectifs d'attentats : édifices
publics, ambassades, etc. Histoire
de voir si, de ces endroits en principe
surveillés, l'alerte est rapidement donnée.
[… Le] préfet de police Guy Fougier
et le directeur de la PJ parisienne Pierre
Touraine n'ont pas trouvé désopilante
les facéties de Broussard. […] "Une bavure
est si vite arrivée, ont ils dit. Un de nos
hommes, énervé, aurait pu ne pas
reconnaître Broussard et lui tirer dessus".
» [1] Les chefs de la police savent
en effet très bien, eux, quelles sont les
conséquences pratiques pour les
citoyens de la belle lutte contre le terrorisme
; et les risques encourus par les
simples passants.
Quelques mois plus tard, en juillet 1986,
il y eu relance « de la polémique sur la
politique sécuritaire du gouvernement à
la suite de deux "bavures" policières
ayant entraîné la mort de Loïc Lefèvre
(le 5) et de [William] Normand
(le 31). » [2] En particulier, dans la « Nuit
du 4 au 5 juillet 1986, [à] Paris, rue
Mogador […, le] CRS Burgos abat Loïc
Lefevre, dans le dos. Le 7 juillet il est
remis en liberté. Le 8 et 9 mai, de nombreux
témoins affirment que le CRS n'a
pas tiré en état de légitime défense. La
reconstitution des faits se passe cependant
selon la version de Burgos (sans
témoins à charge). Son avocat est Maître
[Henri René] Garaud » [3]. « Vice prési-