LIVRE 2005 - page rieuse - Free

ord d’un charter ». [4]
Et le lendemain de la libération « de
deux étages français détenus au Liban
[..., apparût, le 12 novembre 1986, le]
Projet de loi réformant le code de la
nationalité : les enfants nés en France de
parents étrangers ne seraient plus automatiquement
français à dix-huit
ans. ». [4] Car tous les malheurs viennent
de cette mauvaise graine...
[1] : (Didier Daeninckx, « Les ateliers d’écriture de la DST »,
amnistia.net – les Enquêtes interdites, 20/6/2000)
[2] : (Didier Daeninckx, « Le goût de la vérité. Réponse à
Gilles Perrault », Verdier, 10/1997, p. 102, 102 n)
[3] : (Erwan Jourand et Frédéric Ploquin, « Terrorisme :
Pasqua à côté de la plaque. La piste Abdallah a du plomb
dans l’aile », L’Evénement du jeudi, 2-8/10/1986, pp. 10-11)
[4] : (Le Débat, « Histoire des Idées en France 1945-1988.
Une chronologie », Gallimard, folio histoire, 10/1989,
pp. 431-432)
[5] : (Olivier Weber et Constance Rondet, « 30 dates »,
Le Point, 13/09/2002, n° 1565, p. 375)
Franco de porc 206
Le « fils de Guy Dauvé, qui a pris le
pseudonyme de Jean Barrot pour
[dit-il] ne pas être identifié par son
père [Voir « Dauvé daubé », p. 198],
milite à l’ultra-gauche.
D’une curieuse manière, puisque c’est
essentiellement par son canal que sera
assurée la promotion des écrits négationnistes
de Paul Rassinier et les textes
de banalisation du génocide comme
Auschwitz ou le Grand Alibi. A l’insu de
son père, [pense-t-on,] Gilles Dauvé animera
un groupe de solidarité avec Puig
Antich, un anarchiste espagnol assassiné
par Franco, et des réunions auront pour
cadre le domicile du commissaire des
RG... Beau comme de l’antique !
Au moment de l’affaire Faurisson, Gilles
Dauvé écrira ou participera à la rédaction
de multiples textes négationnistes
qui seront publiés dans La Guerre
Sociale ou Le Frondeur . » [1]
Gilles Dauvé était « un des principaux
supporters du négationniste Faurisson
en 1978 » [2] et « l’un des principaux
producteurs de textes négationnistes de
l’offensive faurissonnienne, qui pense
toujours que : “les chambres à gaz sont
un gigantesque détail de l’histoire de la
Seconde Guerre mondiale” ! » [3] Aussi,
le « dédouanement de ce personnage
par une organisation [antifasciste
comme ReflexES] est pour le moins surprenant.
» [4]
« Il poursuivra, sur un mode mineur
[... son action négationniste] dans La
Banquise de Serge Quadruppani [Voir
« Quadruple ami », p. 208]. » [1]