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[1] : (Réseau Voltaire, « Les protagonistes français du<br />

génocide rwandais : Grossouvre (François de) »,<br />

15/12/1998, (RV 98/0365), http://www.voltairenet.org/<br />

article1285.html)<br />

[2] : (Thierry Meyssan, « L’énigme Pasqua », Golias, 2000,<br />

p. 8)<br />

[3] : (Réseau Voltaire, « L’OTAN restructure le réseau<br />

Gladio face aux immigrés, qualifiés de “menace clandestine<br />

à caractère permanent” », Notes d’Information du<br />

Réseau Voltaire, 9/9/1996, http://www.voltairenet.org/ar<br />

ticle2675.html)<br />

[4] : (Serge Raffy, « Les étranges confessions de François<br />

de Grossouvre », Le Nouvel observateur, 14/4/1994,<br />

pp. 40-42)<br />

[5] : (Pierre Péan, « L’homme de l’ombre », Fayard, 1990,<br />

p. 475)<br />

[6] : (Le Monde 9/4/1994 p. 11)<br />

[7] : Pascal Krop, « L’ami qui en savait trop », L’Evénement<br />

du jeudi, 14-20/4/1994, pp. 28-31)<br />

[8] : (Michel Sitbon, « Un dernier mot sur le génocide<br />

rwandais... », Maintenant n° 20, 3/1996, p. 3,<br />

http://www.voltairenet.org/article6859.html)<br />

[9] : (Cf. capitaine Paul Barril, « Guerres secrètes à<br />

l’Elysée », Albin Michel, 8/1996)<br />

[10] : (Réseau Voltaire, « Écrans de fumée », 15/12/1998,<br />

http://www.voltairenet.org/article1313.html)<br />

[11] : (Edwy Plenel, « François de Grossouvre, l’ami blessé<br />

», Le Monde, 9/4/1994, pp. 1, 11)<br />

[12] : (Christophe Deloire, Le Point, 5/4/2002, p. 15)<br />

Juste avant<br />

mai 1981, à<br />

propos de<br />

l’attentat du<br />

16 avril 1981<br />

« contre<br />

VGE » à<br />

Ajaccio, « Le<br />

Quotidien de Paris, le Matin, [... puis]<br />

TF1 [...] ont ouvertement avancé<br />

l’hypothèse d’une provocation.<br />

Même France-Soir, le 20 avril, écrivait,<br />

dubitatif : “Tout est possible”. De leur<br />

côté, des chefs policiers s’étonnent de<br />

l’absence des habituelles mesures de<br />

protection [c’est l’étonnement habituel<br />

dans ce genre de cas]. Quand aux responsables<br />

politiques non giscardiens, en<br />

Corse comme sur le continent, ils ne<br />

croient pas, eux non plus, à la thèse offi-<br />

cielle. Mieux, pour l’état-major chiraquien,<br />

l’affaire est entendue : cet attentat<br />

est un “coup tordu” destiné à faire<br />

monter la côte du candidat Giscard par<br />

une adéquate injection de trouille. […]<br />

La veille de l’attentat d’Ajaccio, un inconnu<br />

appelle le bureau de Marseille de<br />

l’Agence France Presse. Lundi matin, le<br />

Quotidien de Paris relate cette conversation,<br />

qui date du 15 avril, le jour où<br />

deux grenades fumigènes ont fusé lors<br />

d’un meeting tenu par Giscard dans<br />

cette ville. […] “[L’homme dit :] ‘’Ici, le<br />

groupe Pascal Paoli’’, et non Pasquale<br />

[…]”. Prononcer “Pascal Paoli”, alors qu’il<br />

s’agit du héros national de l’île, quand<br />

on se dit Corse et “combattant” clandestin,<br />

c’est du plus haut comique [… ;] “la<br />

voix du correspondant était parfaitement<br />

distincte. Il n’avait pas d’accent<br />

corse, ni méridional. Troublant !” conclut<br />

le Quotidien de Paris. […]<br />

Cinq minutes avant l’attentat, […] un<br />

correspondant anonyme annonce au<br />

nom du Front de libération nationale<br />

de la Corse (FLNC), l’explosion imminente<br />

d’une bombe. Or, jamais le<br />

FLNC n’a revendiqué un attentat<br />

avant qu’il n’ait eu lieu. Et jamais ces<br />

clandestins n’ont pris le risque de tuer<br />

des Corses, en déposant une bombe<br />

dans un lieu public. De plus, le FLNC<br />

a officiellement annoncé “une trêve<br />

des attentats” jusqu’au lendemain de<br />

l’élection présidentielle. […]<br />

Aussitôt après l’attentat, [...] quelques<br />

[...] membres de l’état-major giscardien<br />

ont bondi sur le téléphone et appelé les<br />

rédactions des journaux, des radios et<br />

des chaînes de télévision pour leur affirmer<br />

que la bombe était destinée à<br />

Giscard. Certaines radios [...] ayant<br />

quand même précisé que l’engin avait<br />

explosé dans la salle des consignes que<br />

le candidat-citoyen ne devait, en aucun<br />

cas, traverser, Lecat [haut responsable<br />

193 Franco de porc

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