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Suisse et au Canada ont déterminé que quarante personnes avaient été assassinées, mais [...] il semblerait que la plupart des victimes de Salvan (Suisse) aient été volontaires et qu'elles acceptaient la "mort physique" en vue de leur "transit" sur la planète Sirius. » [5] S’il « écarte définitivement la piste de l'assassinat perpétré par des survivants agissant au nom d'obscures organisations mafieuses ou barbouzardes, le tribunal n'a plus à trancher que cette question : Michel Tabachnik est-il un véritable manipulateur, maître secret de l'OTS, ou bien un parfait imbécile ? » [13] Car lors « du procès du Temple Solaire, qui fut habilement centré sur la seule personnalité du chef d'orchestre Michel Tabachnik » [3], « poursuivi pour "participation à une association de malfaiteurs" » [14], « une partie importante de la personnalité du fondateur et principal animateur de la secte criminelle, Luc Jouret, resta à l'abri des [... regards]. » [3] « Le procès de Michel Tabachnik, hypothétique "n°3" de l'Ordre du Temple Solaire, se déroulant dans le contexte du va-et-vient entre l'Assemblée nationale et le Sénat de la proposition de loi sur les "groupements à caractère sectaire" [...,] il importe peu que Michel Tabachnik ait joué [... le] simple d'esprit, qui [...] a écrit des textes ésotériques que Joseph Di Mambro, grand gourou de l'OTS, aurait utilisé [...] et que des adeptes auraient pris au sens réel et non au sens symbolique. [... Les] circonstances de la mort des seize personnes du Vercors, même s'il apparaît avec certitude que quatorze ont été tuées, n'ont pas été totalement éclaircies, encore moins celles des cinquante-huit autres morts. » [5] Et finalement, « Michel Tabachnik, seul poursuivi dans cette affaire, [...] a été [...] relaxé au bénéfice du doute en avril 2001 à Franc du Collier 166 Grenoble. Le parquet a fait appel et il doit être rejugé. » [15] Finalement, la « Cour d'appel de Grenoble a décidé [...], de repousser au 13 juin 2005 le procès en appel » [16]. Dans « un procès verbal [..., le Dr] Jean- Marie Abgrall, [psychiatre] spécialiste des sectes mis en examen pour violation du secret de l'instruction [...,] affirme, comme [...] au Point ou à Nice-Matin, que l'Ordre rénové du temple (ORT), ancêtre de l'OTS, avait des relations avec le réseau Gladio [Voir « Un réseau secret », p. 38] [...]. Jean-Marie Abgrall ferait aussi état de relations entre l'Amorc [Ancien et mystique ordre de la Rose-Croix], dont il a lui-même fait partie [...], et les réseaux français en Afrique, dits "réseaux Foccart" [Voir « Foccart t’a joué », p. 129]. "C'est une vérité qui nous dépasse, qui va jusqu'au secret d'Etat [...]. Je m'exprimerai un jour [...]. Il y a trop d'enjeux, d'intérêts en jeu." [17] Jean-Marie Abgrall "révèle [...] que l'Ordre du Temple solaire, comme l'Amorc et l'ORT, étaient créés et contrôlées par des réseaux de services secrets français et étrangers", explique M e Leclerc [avocat de familles de victimes] - des informations [...] dont le psychiatre n'avait pas fait bénéficier l'instruction. » [14] Qui instruira les instructeurs ? On apprend qu’une « "note blanche" des renseignements généraux sur le procès [... de] Tabachnik [...], qui multiplie les remarques visant à discréditer les parties civiles, a été [transmise] par son auteur le 28 mai 2001 au juge d'instruction Luc Fontaine, qui l'a lui-même fait parvenir pendant le délibéré au vice-président du tribunal de grande instance de Grenoble, Gérard Dubois, chargé de prononcer le jugement. M e Leclerc dénonce une intervention
"déloyale, irrégulière et illégale" visant à "influencer le magistrat". "Ces éléments nouveaux sont de nature à conforter l'idée selon laquelle l'instruction de M. le juge Fontaine n'a pu être menée à bien afin de rechercher et d'identifier l'ensemble des auteurs des crimes commis par la nébuleuse OTS avec ses mobiles financiers", conclut l'avocat. Les familles des victimes du massacre du Vercors reprochent à la justice de n'avoir pas pris en compte la piste du crime commis par des éléments extérieurs, confortée selon elles par des expertises réalisées sur les cadavres carbonisés. "Nous avons retrouvé du phosphore. S'il y a du phosphore, cela veut dire qu'il y a eu utilisation d'un lance-flamme pour tuer ces personnes", a ainsi expliqué Alain Vuarnet. "Pour neuf cadavres sur 16, la carbonisation est allée jusqu'à la fusion des os, ce qui veut dire une chaleur d'au moins 1.600 [°C] alors que dans une forêt, en plein hiver, avec de l'essence et du bois, on ne peut pas aller au-delà de 700 [°C]." C'est sur la base de [ce rapport] d'expertise et d'autres éléments que les parties civiles [les familles de victimes du Vercors] et leur avocat ont déposé le 21 octobre [2003] leur demande de réouverture de l'instruction. » [14] « Quatre experts, dont le docteur Eric Baccard, spécialiste des corps brûlés qui a longuement travaillé sur leurs identifications au Kosovo, et Claude Calisti, directeur du laboratoire central de la préfecture de police de Paris, ont étudié [… ce rapport]. Ils ont estimé qu'il "était entaché de grossières erreurs de méthode qui rendent ses conclusions inopérantes", a indiqué le procureur [de Grenoble, Jacques Fayen,] citant un rapport de 50 pages des experts. "Il y a des résultats mathématiques impossibles, les prélèvements ont été réalisés 5 ans après les faits alors que le terrain avait changé, nos experts ont fait des recherches sur des lance-flammes dopés au phosphore, ils sont remonté jusqu'en 1914. Ce type d'arme n'existe pas [...]. Les constatations scientifiques permettent d'expliquer ce qui s'est passé [suicide collectif et assassinat des enfants] sans une intervention extérieure" [... Il a donc confirmé] la non-réouverture de l'information judiciaire » [15]. [1] : (Patrice Chairoff, « Faux chevaliers et vrais gogos », Ed. Jean-Cyrille Godefroy, 1985, pp 203-207) [2] : (Commission d'enquête parlementaire belge sur les pratiques illégales des sectes, « Eléments d'information fournis lors des auditions à [huis clos] : Ordre du Temple Solaire (OTS) », http://www.voltairenet.org/article3224.ht ml, d’après Chambre des Représentants de Belgique, http://www.lachambre.be) [3] : (Didier Daeninckx, « Du Temple Solaire au réseau Gladio, en passant par Politica Hermetica... », Enquêtes interdites – amnistia.net, n° 13, 27/2/2002, http://www.a mnistia.net/librairi/amnistia/n13/tempsol.htm) [4] : Rapport de la Commission d'enquête parlementaire belge sur les pratiques illégales des sectes (15/4/1997), Cf. http://www.voltairenet.org/ecrire/rubrique103.html) [5] : (Jean-Luc Guilhem, « Ordre du Temple Solaire : trop de zones d'ombre », Combat face au sida, n° 24, 6/2001, d’après [4]) [6] : (Frédéric Laurent, « L’Orchestre noir », Stock, 4/1978, p. 101) [7] : (Bruno Fouchereau, « La mafia des sectes. Du rapport de l’Assemblée nationale aux implications des multinationales », Filipacchi, 10/1996 et divers articles du Monde diplomatique) [8] : (Acaccio Pereira, « La nébuleuse de l'Ordre du Temple solaire », Le Monde, 16/8/2000, cité in http://www.prevensectes.com/rev0008.htm#16b) [9] : (Entretien avec Jean-François Mayer, in Rosemarie Jaton, « Ordre du Temple Solaire, en quête de vérité »). [10] : (François Koch, « Questions pour cinq massacres », L'Express, 05/04/2001) [11] : (Le Point, 9/1/1999, p. 60) [12] : (Denis Duclos, « Quand la culture de la haine s'approprie les technologies de mort », Le Monde diplomatique, 8/1995, pp. 22-23) [13] : (Robert Marmoz, « Suicides ou assassinats ? OTS : le procès fou », Le nouvel Observateur, n° 1903, 26/4/2001) [14] : (« Les familles des victimes de l'OTS veulent rouvrir l'instruction », Libération, 22/3/2004, reproduit in http://www.prevensectes.com/rev0403.htm#22) [15] : (Jacques Guillon, « Le procureur justifie la non-réouverture de l'information sur le drame », AFP, 26/3/2004, reproduit in http://www.prevensectes.com/rev0403.htm#26a) [16] : (« Procès en appel de Michel Tabachnik en juin 2005 », AFP, 14/6/2004, reprod. in http://www.prevensectes.com/rev0406.htm#14. Cf. aussi http://www.prevensectes.com/rev0610.htm#31a) [17] : (Nice-Matin, 15/2/2003) 167 Franc du Collier
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Suisse et au Canada ont déterminé que<br />
quarante personnes avaient été assassinées,<br />
mais [...] il semblerait que la plupart<br />
des victimes de Salvan (Suisse) aient<br />
été volontaires et qu'elles acceptaient la<br />
"mort physique" en vue de leur "transit"<br />
sur la planète Sirius. » [5]<br />
S’il « écarte définitivement la piste de l'assassinat<br />
perpétré par des survivants agissant<br />
au nom d'obscures organisations<br />
mafieuses ou barbouzardes, le tribunal<br />
n'a plus à trancher que cette question :<br />
Michel Tabachnik est-il un véritable manipulateur,<br />
maître secret de l'OTS, ou bien<br />
un parfait imbécile ? » [13] Car lors « du<br />
procès du Temple Solaire, qui fut habilement<br />
centré sur la seule personnalité du<br />
chef d'orchestre Michel Tabachnik » [3],<br />
« poursuivi pour "participation à une<br />
association de malfaiteurs" » [14], « une<br />
partie importante de la personnalité du<br />
fondateur et principal animateur de la<br />
secte criminelle, Luc Jouret, resta à l'abri<br />
des [... regards]. » [3]<br />
« Le procès de Michel Tabachnik, hypothétique<br />
"n°3" de l'Ordre du Temple<br />
Solaire, se déroulant dans le contexte du<br />
va-et-vient entre l'Assemblée nationale et<br />
le Sénat de la proposition de loi sur les<br />
"groupements à caractère sectaire" [...,]<br />
il importe peu que Michel Tabachnik ait<br />
joué [... le] simple d'esprit, qui [...] a écrit<br />
des textes ésotériques que Joseph Di<br />
Mambro, grand gourou de l'OTS, aurait<br />
utilisé [...] et que des adeptes auraient pris<br />
au sens réel et non au sens symbolique.<br />
[... Les] circonstances de la mort des<br />
seize personnes du Vercors, même s'il<br />
apparaît avec certitude que quatorze ont<br />
été tuées, n'ont pas été totalement<br />
éclaircies, encore moins celles des cinquante-huit<br />
autres morts. » [5] Et finalement,<br />
« Michel Tabachnik, seul poursuivi<br />
dans cette affaire, [...] a été [...] relaxé au<br />
bénéfice du doute en avril 2001 à<br />
Franc du Collier 166<br />
Grenoble. Le parquet a fait appel et il<br />
doit être rejugé. » [15] Finalement, la<br />
« Cour d'appel de Grenoble a décidé<br />
[...], de repousser au 13 juin <strong>2005</strong> le<br />
procès en appel » [16].<br />
Dans « un procès verbal [..., le Dr] Jean-<br />
Marie Abgrall, [psychiatre] spécialiste des<br />
sectes mis en examen pour violation du<br />
secret de l'instruction [...,] affirme,<br />
comme [...] au Point ou à Nice-Matin,<br />
que l'Ordre rénové du temple (ORT),<br />
ancêtre de l'OTS, avait des relations avec<br />
le réseau Gladio [Voir « Un réseau<br />
secret », p. 38] [...]. Jean-Marie Abgrall<br />
ferait aussi état de relations entre<br />
l'Amorc [Ancien et mystique ordre de la<br />
Rose-Croix], dont il a lui-même fait partie<br />
[...], et les réseaux français en Afrique,<br />
dits "réseaux Foccart" [Voir « Foccart t’a<br />
joué », p. 129].<br />
"C'est une vérité qui nous dépasse, qui<br />
va jusqu'au secret d'Etat [...]. Je m'exprimerai<br />
un jour [...]. Il y a trop d'enjeux,<br />
d'intérêts en jeu." [17] Jean-Marie<br />
Abgrall "révèle [...] que l'Ordre du<br />
Temple solaire, comme l'Amorc et l'ORT,<br />
étaient créés et contrôlées par des<br />
réseaux de services secrets français et<br />
étrangers", explique M e Leclerc [avocat<br />
de familles de victimes] - des informations<br />
[...] dont le psychiatre n'avait pas<br />
fait bénéficier l'instruction. » [14] Qui instruira<br />
les instructeurs ?<br />
On apprend qu’une « "note blanche"<br />
des renseignements généraux sur le procès<br />
[... de] Tabachnik [...], qui multiplie<br />
les remarques visant à discréditer les parties<br />
civiles, a été [transmise] par son<br />
auteur le 28 mai 2001 au juge d'instruction<br />
Luc Fontaine, qui l'a lui-même fait<br />
parvenir pendant le délibéré au vice-président<br />
du tribunal de grande instance de<br />
Grenoble, Gérard Dubois, chargé de<br />
prononcer le jugement.<br />
M e Leclerc dénonce une intervention