LIVRE 2005 - page rieuse - Free

[3] : (Frédéric Laurent, « L'Orchestre noir », Stock, 4/1978,
p. 73, cité partiellement in Jean-François Brozzu-Gentile,
op. cit., pp. 220-221)
[4] : (« Guerre d'Algérie : les colis piégés des services
secrets », Les Enquêtes interdites - amnistia.net, 6/6/2001,
http://www.amnistia.net/news/enquetes/mainroug/mai
nroug.htm, d’après, entre autres, Douglas Porch,
« Histoire des services secrets français », Albin Michel,
1997)
[5] : (Thierry Meyssan, « Le putsch des généraux du 21
avril 1961. Quand le stay-behind voulait remplacer De
Gaulle », Notes d’information du Réseau Voltaire,
10/9/2001, http://www.voltairenet.org/article8701.html)
[6] : (Nicolas Fournier et Edmond Legrand, « Dossier E…
comme Espionnage. Qui espionne qui ? Pourquoi ?
Comment ? Espions, minables et Cie… », Alain Moreau,
1978, pp. 64-65)
[7] : (« Guerre d'Algérie : les colis piégés des services
secrets », op. cit., d’après Nils Andersson, Libération,
24/5/2001)
[8] : (Nicolas Fournier et Edmond Legrand, op. cit., pp.
65-66, 69)
[9] : (Cf. Jacques Kermoal, « L'Onorata Societa », La Table
ronde, 1971 ; Time, 4/9/1972 ; Julien Caumer, « Les
Requins, un réseau au cœur des affaires », Flammarion,
10/1999)
[10] : (Cf. François-Xavier Verschave, « Noir silence. Qui
arrêtera la Françafrique ? », Les Arènes, 2000, pp. 432-434)
[11] : (Julien Caumer, op. cit., pp. 236-237)
[12] : (François-Xavier Verschave, « Noir Chirac », les
Arènes, 3/2002, p. 142)
[13] : (Julien Caumer, op. cit., p. 60)
[14] : (Constantin Melnik, « Un espion dans le siècle. La
diagonale du double », Plon, 1994)
[15] : (« Guerre d'Algérie : les colis piégés des services
secrets », op. cit.)
[16] : (Nicolas Fournier et Edmond Legrand, op. cit., p. 71)
[17] : (Voir, par exemple, Anne Tristan, « Le silence du
fleuve. Octobre 1961 », Syros, 1991, Au nom de la
mémoire, BP 82, F-95873 Bezons Cedex)
francs de l'époque] » [1].
Suite au « Casse du siècle » puis à l'évasion
de son auteur, l'image « de gentleman-cambrioleur
colle [... à cet] activiste
d'extrême droite. [...]
Ancien d'Indochine, il s'engage dans
l'OAS (Organisation armée secrète), ce
réseau terroriste qui voulait, par des
attentats criminels, bloquer le processus
qui menait l'Algérie à son indépendance.
[...] Il devient photographe au service
du maire de Nice. Ce dernier, Jacques
Médecin, avait constitué autour de sa
personne un véritable système mafieux
« Le 27 octobre 1976, la Catena régional et il ne cachait pas ses pen-
[Chaîne en italien], que l’on croyait chants pour l'extrême droite. Pourtant, à
officiellement dissoute en 1960 repa- l'époque, aucun lien n'a été recherché
raît au grand jour. Cette irruption de la entre le casse de Nice et le système
centrale subversive européenne fait suite médeciniste.
à l’arrestation du français Albert
Si Spaggiari n'a perçu qu'une modeste
Spaggiari, le cerveau du "casse du siècle",
part du butin du casse de la Société
survenu durant le week-end du 17 au 18
générale, c'est uniquement parce qu'il
novembre [1976] à la Société Générale
n'en était que l'exécutant.
de Nice, et qui rapportera à ses opérateurs
un butin dépassant [60 millions de [... Spaggiari] présente son groupe [...] :
137 Franc du Collier