LIVRE 2005 - page rieuse - Free

lien qui fut à l’origine de la stratégie de
la tension. » [21] [Voir « Parco dei
Principi », p. 52]
[1] : (5/3/1959, rapporté in Alain Peyrefitte, « C'était de
Gaulle », t. 1, Fallois éd., 1994, réed. livre de poche)
[2] : (Süddeutsche Zeitung, 18/1/1958)
[3] : (Thierry Meyssan, « Le putsch des généraux du 21
avril 1961. Quand le stay-behind voulait remplacer [de]
Gaulle », Notes d’information du Réseau Voltaire,
10/9/2001, http://www.voltairenet.org/article8701.html)
[4] : (Lev Davidovitch Bronstein (Trotski), cité par Edward
Luttwak, « Le coup d’Etat. Manuel pratique », Robert
Laffont, 2/1969, p. 151)
[5] : (Thierry Meyssan, « Antisémitisme et anti-maçonnisme.
Histoire secrète de L'Oréal », Voltaire, 3/3/2004,
http://www.voltairenet.org/article12751.html)
[6] : (Cf. Réseau Voltaire, « La croisade de l'Opus Dei. Jean-
Paul II canonise le directeur de conscience des époux
Franco et du général Pinochet », 4/10/2002, reprod. in
http://users.skynet.be/roger.romain/JeanPaul2canonise.htm)
[7] : (The Daily Mail, 2/5/1961)
[8] : (« La France autorise l'action des services US sur son
territoire », Voltaire, 9/3/2004, p. 3, http://www.voltairenet.org/article12786.html)
[9] : (Edward Luttwak, op. cit., pp. 151-152)
[10] : (Edward Luttwak, op. cit., p. 152)
[11] : (Edward Luttwak, op. cit., pp. 152-153)
[12] : (Frédéric Laurent, « L'orchestre noir », Stock,
4/1978, p. 104)
[13] : (Edward Luttwak, op. cit., p. 153)
Franc du Collier 128
[14] : (Capitaine Curutchet, cité par [12])
[15] : (Frédéric Laurent, op. cit., p. 99 n. 1)
[16] : (Cité par Anne Tristan, « Le silence du fleuve.
Octobre 1961 », Syros, 1991, p. 10)
[17] : (Le Monde, 12/2/1963)
[18] : (Frédéric Laurent, op. cit., pp. 108-109, 112)
[19] : (Eric Lemasson, « Marchiani, l’agent politique »,
Seuil, 3/2000, p. 181 n. 3)
[20] : (Alain Jaubert, « Dossier D… comme drogue. Le
Milieu et le Politique… les Gros Bonnets… les Financiers et
les Filières… En France », Alain Moreau, 1973, p. 345)
[21] : (Frédéric Laurent, op. cit., pp. 98-99)
« Il y a beaucoup de bluff dans un certain
anti-américanisme "gaulliste" des
Pasqua et consorts. » [1] De « Gaulle ne
remet [jamais] en cause les accords du
Plan Marshall selon lesquels les
Américains doivent pouvoir accéder
aux matières premières de l'Empire [...
colonial français. Et] c'est avec des
sociétés à capitaux mixtes franco-américains
qu'il exploitera le "domaine
réservé" [...].
De Gaulle [... utilise] des méthodes
expéditives [...] partout dès lors qu'il
s'agit de son "domaine réservé" [2] et
que l'équilibre Est-Ouest en fournit une
justification. » [3]
« Il place le pétrole et l'atome au centre
de sa politique étrangère [..., faisant]
fusionner l'ensemble des sociétés et
agences publiques du secteur pétrolier
[..., aidé d’un] habile technicien de l'économie,
Raymond Barre. [... En] 1962, le
secteur est restructuré autour d'une puissante
société, Elf. Pour la diriger, Pierre
Guillaumat, fondateur historique de la
Direction générale des services spéciaux
[...] abandonne [... le ministère] de la
Défense. Elf devient à la fois la tirelire et
le bras armé du "domaine réservé". Les
gêneurs sont éliminés, comme Enrico