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Mémoires historiques, tome premier - Investigaciones Históricas ...

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SE-MA TS’IEN — <strong>Mémoires</strong> Historiques, <strong>tome</strong> <strong>premier</strong> 94<br />

00. (168) La montagne Hiong-eul, « oreilles d’ours », est située dans la sous-préfecture de<br />

Lou-che, préfecture secondaire de Chàn, province de Ho-nan ; c’est de la montagne Hiong-eul<br />

que sort la rivière I, qui se jette dans la rivière Lo, affluent du Hoang-ho.<br />

— Quant à la montagne Long-men, « porte du dragon », elle est située entre les rivières I et<br />

Lo, non loin de leur confluent.<br />

Il ne peut être question ici de la montagne de même nom qui se trouve sur la rive droite du<br />

Hoang-ho, dans la province de Chàn-si.<br />

00. (169) Proprement : neuf têtes. Le commentateur fait remarquer que le mot « tête » joue ici<br />

le rôle d’un classificateur ; c’est ainsi qu’on dit tant et tant de têtes, de bétail. Il ne faut donc<br />

pas entendre, comme l’a fait M. Edkins (Chinese Recorder, t. XV, p. 337, note), que le souverain<br />

de l’homme était une espèce de monstre à neuf têtes, mais bien qu’il y eut neuf<br />

souverains de l’homme.<br />

00. (170) Mot à mot : montant sur des chars de nuages, attelant six ailes.<br />

00. (171) Kou-k’eou était le nom d’une gorge de montagnes qui se trouvait dans la<br />

sous-préfecture établie par les Han sous le nom de Yun-yang (ap. commentaire du Livre des<br />

Han postérieurs, cité par le Fei wen yun fou à l’expression Kou-k’eou). Cette sous-préfecture<br />

correspond à la sous-préfecture actuelle de Choen-hoa, préfecture secondaire de Pin, province<br />

de Chàn-si.<br />

00. (172) Les neuf provinces sont énumérées et décrites dans le Tribut de Yu (voyez plus loin :<br />

Annales principales des Hia).<br />

00. (173) C’étaient, dit le commentaire, cinq frères qui, montés sur des dragons, s’élevaient à<br />

leur gré dans les airs.<br />

00. (174) Cf. note 104.<br />

00. (175) Ta-t’ing est la leçon de l’édition de 1596. L’édition de Kien-long écrit Fou-t’ing.<br />

00. (176) Hoen-toen désigne proprement le chaos.<br />

00. (177) On sait que le Livre des Vers ou Che king, existait en trois recensions principales,<br />

celle du pays de Lou, celle du pays de Ts’i et celle du pays de Han. C’est à cette dernière que<br />

Se-ma Tcheng emprunte son renseignement.<br />

00. (178) Le mont Leang-fou est une petite hauteur au pied du Tai-chan. Cf. note 2 de la p. 9.<br />

00. (179) Tchong-ni est le surnom de Confucius.<br />

00. (180) Cf. note 124.<br />

00. (181) I-ou est le nom personnel de Koan-tse. Cette citation se retrouve plus complète dans<br />

le traité sur les sacrifices fong et chan de Se-ma Ts’ien ; elle est extraite du 50 e article des<br />

œuvres de Koan-tse.<br />

00. (182) C’est-à-dire comment ils faisaient les sacrifices fong et chan qui étaient la<br />

déclaration de la prise de possession du pouvoir.<br />

00. (183) Une citation semblable à celle qui va suivre se trouve dans le T’ong kien kang mou<br />

qui l’attribue au livré intitulé Yuen ming pao ; or le Yuen ming pao est indiqué par le Che<br />

t’ong t’ong che (chap. I, p. 4 r°) comme étant un des appendices ou wei (cf. note 165) du<br />

Tch’oen ts’ieou. C’est donc, selon toute vraisemblance, à ce livre que Se-ma Tcheng se<br />

référait.<br />

00. (184) La séparation du ciel d’avec la terre, c’est-à-dire le commencement du monde.<br />

00. (185) Le lin (cf. Mayers, Chin. Reader’s Manual, n° 389) est un animal fabuleux dont<br />

l’apparition est regardée comme un présage surnaturel ; un lin fut pris du temps de Confucius,

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