Mémoires historiques, tome premier - Investigaciones Históricas ...
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SE-MA TS’IEN — <strong>Mémoires</strong> Historiques, <strong>tome</strong> <strong>premier</strong> 202<br />
chronologie vulgaire repose sur l’autorité du Tch’oen ts’ieou, c’est elle que nous suivrons<br />
dans la pratique.<br />
04. (501) Nan n’est pas un nom posthume, mais un simple surnom : celui qui a honte, le<br />
timide.<br />
04. (502) On a vu (cf. note 497) que, lors du partage de la capitale entre les Tcheou<br />
occidentaux et les Tcheou orientaux, c’est ces derniers qui furent « chargés du roi ». Le roi<br />
Nan se remet maintenant entre les mains des Tcheou occidentaux.<br />
04. (503) Tchan kouo ts’é : chap. 1er.<br />
04. (504) Le se-ma était un haut fonctionnaire à la cour du roi de Tch’ou.<br />
— Tsien, dit le commentateur du Tchan k’ouo ts’é, avait probablement pour nom de famille<br />
Tchao.<br />
04. (505) Le roi Hoai (328-295 av. J.-C.).<br />
04. (506) [] désigne ici le généralissime Tsien.<br />
04. (507) Tchang Cheou-kié dit que le roi de Tch’ou ordonna à Tsien de se rendre auprès du<br />
duc de Tcheou pour tâcher d’apprendre qui il voulait nommer héritier présomptif ; le duc le<br />
lui dit à mots couverts en demandant que le roi de Tch’ou lui donnât une terre en guise de<br />
félicitations. Dans le Tchan kouo ts’é, ces deux phrases appartiennent encore au discours de<br />
Tso Tch’eng qui est plus long que dans les <strong>Mémoires</strong> <strong>historiques</strong>.<br />
04. (508) Aujourd’hui, sous-préfecture de I-yang, préfecture et province de Ho-nan.<br />
04. (509) Sou Tai était originaire de Lo yang ; comme son frère aîné, Sou Ts’in (cf. Mayers,<br />
Manual, n° 626), il fut un habile machinateur de combinaisons politiques au temps des<br />
royaumes combattants.<br />
04. (510) Se-ma Tcheng commente cette phrase en ces termes :<br />
Sou-Tai, parlant en faveur de Tcheou au roi de Tch’ou, lui dit :<br />
— O roi, pourquoi pensez-vous que Tcheou est du parti de Ts’in ? Tcheou n’est<br />
point en réalité du parti de Ts’in ; si maintenant Votre Majesté accuse Tcheou<br />
d’être du parti de Ts’in, Tcheou redoutera Tch’ou et ne manquera pas de<br />
s’incorporer à Ts’in, ce qui sera une calamité.<br />
04. (511) C’est-à-dire : ils réunissent dans le langage Tcheou et Ts’in, comme si ces deux États<br />
n’en faisaient déjà plus qu’un.<br />
04. (512) C’est-à-dire : à Tch’ou. Yng était la capitale du royaume de Tch’ou ; cette ville était à<br />
10 li au nord de la sous-préfecture de Kiang-ling qui fait partie de la ville préfecturale de King<br />
Tcheou, province de Hou-pe.<br />
04. (513) Tchan kouo ts’é : Tong Tcheou, § 6.<br />
04. (514) La ville de I-yang (cf. note 508), qui était la capitale de l’État de Han, était l’objet<br />
constant des attaques du roi de Ts’in ; Lo-yang, résidence des Tcheou occidentaux et des<br />
Tcheou orientaux se trouvait placée entre les deux rivaux.<br />
04. (515) Au duc Ou, des Tcheou occidentaux, d’après Se-ma Tcheng. Cependant le Tchan<br />
houo ts’é place ce discours dans le chapitre consacré aux Tcheou orientaux.<br />
04. (516) Tchan kouo ts’é : Si Tcheou, § 10.<br />
04. (517) Le Tchan kouo ts’é dit que ce discours fut adressé au roi de Wei ; en effet, la ville de<br />
Nan-yang se trouvait sur le territoire du royaume de Wei, et non dans le royaume de Han.<br />
Nan-yang correspondait à l’arrondissement de Hoai, au temps des T’ang (au sud-ouest de<br />
l’actuelle sous-préfecture de Ou-tché, préfecture de Hoai-k’ing, province de Ho-nan).