26.06.2013 Views

Mémoires historiques, tome premier - Investigaciones Históricas ...

Mémoires historiques, tome premier - Investigaciones Históricas ...

Mémoires historiques, tome premier - Investigaciones Históricas ...

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

SE-MA TS’IEN — <strong>Mémoires</strong> Historiques, <strong>tome</strong> <strong>premier</strong> 168<br />

— D’après le Loen heng de Wang Tch’ong, au moment où parlait Tsou-i, on avait consulté<br />

soixante-dix fois les sorts sans obtenir une seule réponse favorable ; c’est ce qui explique la<br />

phrase : nous n’osons rien prévoir d’heureux.<br />

03. (223) Kiang Cheng dit que la leçon du Chou king est une erreur et que le mot donné par<br />

Se-ma Ts’ien est correct.<br />

03. (224) En donnant à ces deux phrases le roi pour sujet, je suis l’interprétation de Kiang<br />

Cheng (H. T. K. K., ch. CCCXCIII, p. 43 v°).<br />

03. (225) C’est-à-dire : Pourquoi quelqu’un ne reçoit-il pas du Ciel le mandat de fonder une<br />

nouvelle dynastie ?<br />

03. (226) Cf. note 02.233.<br />

03. (227) Le vicomte de Wei n’est autre que Ki (cf. note 200). La ville de Wei-tse se trouve<br />

dans la sous-préfecture de Lou-té-h’eng, préfecture de Lou-ngan, province de Chān-si.<br />

03. (228) Le grand précepteur et le second précepteur sont mentionnés dans le chapitre du<br />

Chou king intitulé Wei tse et la plupart des commentateurs sont d’avis que le grand précepteur<br />

est le vicomte de Ki et que le second précepteur est Pi-kan. Mais il est évident que Se-ma<br />

Ts’ien ne l’entend pas ainsi puisqu’il dit qu’après que Pi-kan eût été mis à mort et après que le<br />

vicomte de Ki eût simulé la folie, le grand précepteur et le second précepteur s’enfuirent ; on<br />

verra au chapitre suivant que le grand précepteur s’appelait Ts’e et que 1e second précepteur<br />

s’appelait K’iang.<br />

03. (229) La ville de Ki se trouve dans la sous-préfecture de Yu, préfecture secondaire de Leao,<br />

province de Chān-si.<br />

03. (230) La campagne de Mou s’étendait au sud de la sous-préfecture de K’i, préfecture de<br />

Wei-hoei, province de Ho-nan. — Tous ces événements seront racontés plus en détail au<br />

chapitre suivant.<br />

03. (231) Cf. note 204.<br />

03. (232) Chou king : Ou tch’eng.<br />

03. (233) Cf. p. ╓ 203 .<br />

03. (234) Le T’ong kien tsi lan (ch. III, p. 1 v°) dit que Ou-keng est le nom personnel de ce<br />

personnage, mais il ne nous renseigne pas sur le rôle que jouent les deux caractères Lou-fou.<br />

Quoi qu’il en soit, le fils de Tcheou est appelé indifféremment par les historiens Ou-keng et<br />

Lou-fou, ou, comme ici, Ou-keng Lou-fou.<br />

03. (235) Cf. p. ╓ 193-194 .<br />

03. (236) Koan-chou et Ts’ai-chou étaient les frères cadets du roi Ou. Voyez sur ces<br />

événements le chapitre suivant et le chapitre XXXV des <strong>Mémoires</strong> <strong>historiques</strong>.<br />

03. (237) Song est aujourd’hui la sous-préfecture de Chang-k’ieou, préfecture de Koei-té,<br />

province de Ho-nan.<br />

03. (238) Cf. notes 103, 104 et 109.<br />

03. (239) A l’exception des princes de Song (cf. note 237), toutes les autres familles qui sont<br />

ici énumérées paraissent avoir été peu importantes et ne sont pas mentionnées dans le Tch’oen<br />

ts’ieou.<br />

03. (240) Se-ma Ts’ien réunit ici deux textes classiques différents. Dans le Loen yu, on lit :<br />

Montez le char des Yn ; — dans le Li ki : Au temps des Yn, on mit en honneur le blanc.

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!