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de celles qui ont pour but d'interdire la décapitation et
d'allouer une prime aux indigènes pour chaque prisonnier
qui vous sera amené vivant. De telles injonctions confor
mes aux instructions que je vous avais transmises honorent
les armes françaises et sont en même temps conseillées par
une saine politique, nos progrès en Afrique devant néces
sairement marcher de pair avec ceux de la civilisation.
Je vous recommande de tenir sévèrement la main à ce
que ces dispositions soient exécutées.
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Le général Trézel au Gouverneur Général
(Arch. Guerre)
Au camp de la Seybouse, 27 novembre 1836.
Vous aviez ordonné, dans la journée du 21, qu'une ten
tative fut exécutée sur la porte du pont de Constantine. Le
colonel du génie Lemercier avait à sa disposition les
compagnies des 5g0 et 63'
régiments commandés par divers
officiers de votre Etat-Major et le dernier devait être tenu
en réserve pour soutenir les compagnies et entrer avec elles
dans la ville. Ces dispositions furent exactement suivies,
mais le colonel du génie ayant reconnu sur les lieux qu'il
était impossible de prendre ou de forcer la porte du pont,
je ramenai les troupes au camp.