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La phosphatase alcaline en milieu marin: ses caractéristiques, son ...

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tel-00641975, version 1 - 17 Nov 2011<br />

Le dénombrem<strong>en</strong>t des organismes zooplanctoniques a été effectué de façon à compter 250<br />

individus au minimum. Ces organismes ont été id<strong>en</strong>tifiés au niveau taxonomique le plus<br />

précis et lorsque cela a été possible jusqu’au niveau de l’espèce.<br />

L’abondance zooplanctonique totale A, exprimée <strong>en</strong> nombre d’individus par mètres cube<br />

d’eau de mer, est telle que :<br />

A = (N * Vf) / (Vx * Vi)<br />

Avec : N = nombre d’organismes zooplanctoniques dénombrés dans les sous-échantillons.<br />

Vx = volume des sous échantillons, exprimé <strong>en</strong> litres.<br />

Vf = volume de l’échantillon d’eau de mer recueilli avec le filet et conc<strong>en</strong>tré <strong>en</strong><br />

zooplancton, exprimé <strong>en</strong> litres.<br />

Vi = volume d’eau de mer filtré avec le filet, exprimé <strong>en</strong> m 3<br />

<strong>La</strong> fréqu<strong>en</strong>ce d’une espèce zooplanctonique donnée, notée fi a égalem<strong>en</strong>t été calculée selon la<br />

formule :<br />

fi = Ai / At<br />

Avec : Ai = Abondance d’une espèce zooplanctonique, <strong>en</strong> nombre d’individus par m 3 d’eau<br />

de mer.<br />

At = Abondance zooplanctonique totale, <strong>en</strong> nombre d’individus par m 3 d’eau de mer.<br />

Comme pour le phytoplancton, nous avons caractérisé la diversité zooplanctonique par<br />

l’indice de Shannon et Weaver (voir partie 4.2).<br />

4.4 Estimation de la biomasse du matériel particulaire et planctonique<br />

De nombreu<strong>ses</strong> méthodes <strong>son</strong>t généralem<strong>en</strong>t proposées pour mesurer la biomasse du matériel<br />

particulaire et planctonique (Bonin et Travers, 1992). Aucune n’est <strong>en</strong>tièrem<strong>en</strong>t satisfaisante<br />

(Amblard, 1987). C’est la rai<strong>son</strong> pour laquelle plusieurs méthodes ont été ret<strong>en</strong>ues dans ce<br />

travail. Certaines <strong>son</strong>t spécifiques de la communauté planctonique, c’est le cas du dosage de<br />

la chlorophylle a ou du calcul de la biomasse à partir du biovolume phytoplanctonique<br />

(Bougis, 1974). D’autres ne <strong>son</strong>t pas spécifiques, et permett<strong>en</strong>t d’estimer la biomasse de<br />

l’<strong>en</strong>semble du matériel particulaire (planctonique et détritique). Il s’agit du dosage des<br />

protéines (Bonin et Travers, 1992).<br />

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