journée scientifique - Faculté de médecine dentaire de l'Université ...
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Cahier du participant 30 JOURNÉE SCIENTIFIQUE LA RESTAURATION DIRECTE OU INDIRECTE e le 15 février 2013
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Cahier du participant<br />
30<br />
JOURNÉE<br />
SCIENTIFIQUE<br />
LA RESTAURATION DIRECTE OU INDIRECTE<br />
e<br />
le 15 février 2013
30 JOURNÉE SCIENTIFIQUE<br />
e<br />
pavillon Alphonse-Desjardins, Université Laval<br />
Heure Activité HORAIRE<br />
Salle<br />
8 h 30 à 10 h Conférence Hydro-Québec<br />
« Les restaurations esthétiques dans la<br />
pratique quotidienne : du composite à la zircone »<br />
Dre Cathia Bergeron, <strong>de</strong>ntisterie opératoire, Université Laval<br />
Dr Pierre Boudrias, prosthodontie, Université <strong>de</strong> Montréal<br />
LA RESTAURATION DIRECTE OU INDIRECTE<br />
10 h à 10 h 30 Pause et exposition commerciale Grand Salon<br />
10 h 30 à 12 h Allocutions et suite <strong>de</strong> la conférence Hydro-Québec<br />
12 h à 13 h 30 Lunch (style buffet) Cafétéria<br />
13 h 30 à 16 h Entretiens cliniques et exposition commerciale Grand Salon<br />
15 h à 16 h Cocktail et remise <strong>de</strong>s prix Grand Salon
Mot du doyen 4<br />
Mot <strong>de</strong> la responsable <strong>de</strong> la formation continue 5<br />
Conférenciers 6<br />
Événements à venir (Cocktail <strong>de</strong>s diplômés et 31 e Journée scienti que) 7<br />
Entretiens cliniques<br />
1. Enjeu esthétique : Le diagnostic et le traitement du « gummy smile »<br />
9<br />
2. L’utilisation du vernis uoré : La recommandation en prévention 11<br />
3. Mise en évi<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> la contraction <strong>de</strong> polymérisation <strong>de</strong> huit composites 12<br />
4. Les adhésifs amélo-<strong>de</strong>ntinaires : tous aussi ef caces ? 13<br />
5. Dentiste 2.0 14<br />
6. Agénésie <strong>de</strong>s incisives latérales supérieures permanentes : substitution par les canines 16<br />
7. Les récessions gingivales associées à <strong>de</strong>s lésions cervicalesnon carieuses :<br />
restaurations <strong>de</strong> classe V versus Greffes <strong>de</strong> gencive 17<br />
8. Coût total d’une restauration à trois surfaces sur une<br />
molaire inférieure en différents matériaux 18<br />
9. La sédation consciente : une option <strong>de</strong> traitement accessible pour tous les <strong>de</strong>ntistes généralistes ! 20<br />
10. Utilisation <strong>de</strong> caillot <strong>de</strong> brine autologue pour l’amélioration <strong>de</strong> la régénération tissulaire en implantologie<br />
par la technique <strong>de</strong> PRF 21<br />
11. Les TADs : un bon coup <strong>de</strong> pouce aux traitements orthodontiques ? 23<br />
12. La comparaison entre les systèmes numériques et les systèmes traditionnels pour la prise d’empreinte 24<br />
13. Approche ar<strong>de</strong>nte : bactéries et cellules souches pulpaires dans la régénération osseuse 25<br />
14. La biopsie <strong>de</strong>s tissus mous buccaux 27<br />
15. Ostéosarcome du maxillaire supérieur : Présentation <strong>de</strong> cas et revue littérature<br />
16. Complications post-opératoires <strong>de</strong> l’approche retromandibulaire dans le traitement <strong>de</strong>s factures sous-condyliennes :<br />
28<br />
analyse rétrospective <strong>de</strong> 118 cas 30<br />
17. Facteurs <strong>de</strong> risque, prévention et traitement <strong>de</strong>s lésions blanches associées aux traitements orthodontiques 31<br />
18. La cardiologie au cœur <strong>de</strong> la mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire<br />
19. Le traitement pharmacologique <strong>de</strong>s maladies thromboemboliques et les procédures <strong>de</strong>ntaires :<br />
33<br />
un duo qui vous fait faire du sang <strong>de</strong> cochon?! 34<br />
Les juges <strong>de</strong>s entretiens cliniques 36<br />
Publicités<br />
3M Espe ACDQ GlaxoSmithKline<br />
Laboratoire <strong>de</strong>ntaire Morisset Ordre <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ntistes du Québec P zer, Santé grand public<br />
Sunstar Calendrier <strong>de</strong> la formation continue Étu<strong>de</strong>s supérieures<br />
Merci à nos partenaires exposants<br />
Table <strong>de</strong>s matières<br />
PPT sur le contenu <strong>de</strong> la formation : Les enjeux <strong>de</strong> la <strong>de</strong>ntisterie pédiatrique (sur la clé USB)
Mot du doyen<br />
4 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
Chers participants,<br />
Chères participantes,<br />
L’année 2013 marque la 30e édition <strong>de</strong> la Journée <strong>scientifique</strong> présentée par la <strong>Faculté</strong><br />
<strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire <strong>de</strong> l’Université Laval. En mon nom personnel, et en celui <strong>de</strong> l’ensemble du personnel et du comité<br />
organisateur, je vous souhaite la plus cordiale bienvenue.<br />
Notre événement a marqué le développement <strong>de</strong> la discipline. En trente ans, divers sujets pointus ont été abordés, permettant<br />
à <strong>de</strong>s milliers <strong>de</strong> personnes (<strong>de</strong>ntistes, hygiénistes <strong>de</strong>ntaires, étudiants) d’obtenir un complément à leurs connaissances<br />
disciplinaires. La <strong>Faculté</strong>, <strong>de</strong>puis sa création, se fait un point d’honneur d’offrir une formation <strong>de</strong> qualité. L’édition 2013 n’y<br />
fait pas exception !<br />
Ainsi, comme la tradition le suggère, la Journée <strong>scientifique</strong> vous offre l’occasion d’obtenir une mise à jour <strong>de</strong> vos<br />
connaissances sur un sujet important pour plusieurs, soit la restauration esthétique. Pour ce faire, vous assisterez à la<br />
présentation <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux conférenciers <strong>de</strong> renom, soit les docteurs Cathia Bergeron (Université Laval) et Pierre Boudrias (Université<br />
<strong>de</strong> Montréal). Je profite <strong>de</strong> l’occasion pour les remercier <strong>de</strong> leur présence et <strong>de</strong> leur intérêt à partager avec vous le fruit <strong>de</strong><br />
leurs expériences.<br />
En après-midi, vous pourrez visiter les entretiens cliniques préparés par nos étudiants et prendre connaissance <strong>de</strong>s nouveautés<br />
au chapitre <strong>de</strong>s produits et services disponibles auprès <strong>de</strong> nos partenaires issus <strong>de</strong> l’industrie.<br />
Je tiens à remercier chaleureusement les membres du comité organisateur, les professeurs consultants, les membres du jury<br />
<strong>de</strong>s entretiens cliniques, les étudiants ainsi que les partenaires, sans qui l’événement ne rencontrerait pas le succès obtenu<br />
chaque année. Un merci appuyé à vous, participants <strong>de</strong> la <strong>journée</strong>, pour votre intérêt à notre égard.<br />
En terminant, je vous invite à participer au traditionnel Cocktail <strong>de</strong>s diplômés qui se tiendra au Palais <strong>de</strong>s congrès <strong>de</strong><br />
Montréal, le lundi 27 mai prochain, en marge <strong>de</strong>s Journées <strong>de</strong>ntaires internationales du Québec. Je serai heureux <strong>de</strong> vous<br />
y accueillir.<br />
Espérant vous compter parmi les participants <strong>de</strong> nos différentes activités présentées au cours <strong>de</strong> l’année 2013, je vous prie<br />
d’accepter mes plus cordiales salutations.<br />
Le doyen,<br />
André Fournier
Mot <strong>de</strong> bienvenue<br />
C’est avec un grand plaisir que je vous souhaite, en mon nom personnel et en celui <strong>de</strong> mes<br />
collègues du comité <strong>de</strong> la formation continue, la bienvenue à cette 30e Journée <strong>scientifique</strong><br />
<strong>de</strong> la <strong>Faculté</strong> <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire. Cette édition en est une <strong>de</strong> formation, comme à<br />
l’accoutumée, mais empreinte <strong>de</strong> festivités. Après 30 ans <strong>de</strong> formation <strong>de</strong> gran<strong>de</strong> qualité, le<br />
comité a jugé opportun d’offrir <strong>de</strong>s activités particulières pour souligner cette édition spéciale.<br />
Ainsi, une conférence sera offerte en avant-midi qui portera sur les restaurations esthétiques. Pour ce faire, nous avons invité<br />
<strong>de</strong>ux personnalités reconnues dans le domaine pour leur expertise en la matière, soit Dre Cathia Bergeron, <strong>de</strong> l’Université<br />
Laval, et Dr Pierre Boudrias, <strong>de</strong> l’Université <strong>de</strong> Montréal. En après-midi, vous aurez tout le loisir <strong>de</strong> découvrir les entretiens<br />
cliniques présentés par les étudiantes et étudiants <strong>de</strong> notre <strong>Faculté</strong>, tout en prenant connaissance <strong>de</strong>s nouveautés en matière<br />
<strong>de</strong> services et <strong>de</strong> produits proposés par nos partenaires exposants.<br />
En marge <strong>de</strong> la Journée <strong>scientifique</strong>, vous êtes également conviés à assister à la conférence hors-série présentée le mardi 19<br />
février prochain. Le thème abordé sera « Le syndrome <strong>de</strong> la Superwoman, du Superman… comment maintenir un équilibre<br />
vie-travail ? » et notre invitée sera madame Linda Mastrovito, psychothérapeute. L’accès est gratuit pour les personnes<br />
inscrites à notre Journée <strong>scientifique</strong>. Cependant, vous <strong>de</strong>vez réserver tôt, car le nombre <strong>de</strong> places est limité.<br />
À cette même soirée, vous pourrez assister au vernissage <strong>de</strong> l’exposition FMDArt 2013, lequel met en lumière <strong>de</strong>s œuvres<br />
élaborées par <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ntistes et <strong>de</strong>s gens évoluant au sein <strong>de</strong> la mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire. Pour cette exposition, nous pouvons<br />
compter sur la prési<strong>de</strong>nce d’honneur <strong>de</strong> madame Cynthia Coulombe-Bégin, artiste-peintre <strong>de</strong> la région <strong>de</strong> Québec (www.<br />
cynthiacoulombebegin.com). Les œuvres sont présentées à la Salle d’exposition du pavillon Alphonse-Desjardins du vendredi<br />
15 février au vendredi 1er mars. L’entrée est gratuite et la salle est ouverte en continu <strong>de</strong> 8 h 30 à 17 h. Exceptionnellement,<br />
elle sera ouverte jusqu’à 20 h le jeudi 28 février.<br />
Le succès <strong>de</strong> ces événements importants dépend <strong>de</strong> tous ceux et celles qui y contribuent : les conférenciers, les étudiants<br />
qui nous offrent les entretiens cliniques, les artistes exposants, les membres du comité d’organisation, du corps professoral,<br />
du personnel administratif et <strong>de</strong>s bénévoles. Je les remercie tous chaleureusement.<br />
À toutes ces personnes, s’ajoutent nos précieux partenaires. Leur collaboration apporte une plus-value importante à<br />
l’événement. Je les remercie pour leur présence et leur confiance à notre égard.<br />
Enfin, je vous invite à consulter les calendriers d’activités <strong>de</strong> la formation continue <strong>de</strong> la session d’hiver 2013 et <strong>de</strong> l’année<br />
2013-2014 inclus dans ce document. C’est avec plaisir que nous vous accueillerons à la formation <strong>de</strong> votre choix.<br />
Bien cordialement,<br />
Diane Lachapelle<br />
Responsable <strong>de</strong> la formation continue<br />
30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 5
6 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013
plants Journée scIentIfIque 31 DentIsterIe ImplantaIre Implants Journée scIentIfIque 31 DentIsterIe Implan<br />
Ire Implants Journée scIentIfIque 31 DentIsterIe ImplantaIre Implants Journée scIentIfIque 31 DentIsterIe<br />
plantaIre Implants Journée scIentIfIque 31 DentIsterIe ImplantaIre Implants Journée scIentIfIque 31 DenterIe<br />
ImplantaIre Implants Journée scIentIfIque 31 DentIsterIe ImplantaIre Implants Journée scIentIfIque<br />
DentIsterIe ImplantaIre Implants Journée scIentIfIque 31 DentIsterIe ImplantaIre Implants Journée scIen-<br />
Ique 31 DentIsterIe ImplantaIre<br />
Journée<br />
Implants Journée scIentIfIque 31 DentIsterIe ImplantaIre Implants Journée<br />
IentIfIque 31 DentIsterIe ImplantaIre Implants<br />
<strong>scientifique</strong><br />
Journée scIentIfIque 31 DentIsterIe ImplantaIre Implants<br />
urnée scIentIfIque 31 DentIsterIe ImplantaIre Implants Journée scIentIfIque 31 DentIsterIe ImplantaIre<br />
plants 31e<br />
Journée scIentIfIque 31 DentIsterIe ImplantaIre Implants Journée scIentIfIque 31 DentIsterIe Implan<br />
Ire Implants Journée scIentIfIque 31 DentIsterIe ImplantaIre Implants Journée scIentIfIque 31 DentIsterIe<br />
plantaIre Implants Journée scIentIfIque 31 DentIsterIe ImplantaIre Implants Journée scIentIfIque 31 DentIs<br />
rIe ImplantaIre Implants Journée scIentIfIque 31 DentIsterIe ImplantaIre Implants Journée scIentIfIque 31<br />
VENDREDI 7 FÉVRIER 2014 - La DENtIstERIE ImpLaNtaIRE<br />
CoNFÉRENCE<br />
« Options <strong>de</strong> traitement chez le patient partiellement et complètement é<strong>de</strong>nté »<br />
Dre Joanie Faucher, parodontiste, D.M.D., M.Sc., FRCD(C)<br />
Dre Katia Savignac, prosthodontiste, D.M.D., M.Sc., FRCD(C)<br />
HoRaIRE<br />
Heures activités<br />
8 h 30 à 10 h 00 Conférence<br />
10 h 00 à 10 h 30 Pause et exposition commerciale<br />
10 h 30 à 12 h 00 Allocutions et suite <strong>de</strong> la conférence<br />
12 h 00 à 13 h 30 Repas<br />
13 h 30 à 16 h 00 Entretiens cliniques et exposition commerciale<br />
15 h 00 à 16 h 00 Cocktail et remise <strong>de</strong>s prix<br />
Activité offerte aux <strong>de</strong>ntistes, aux techniciens et aux hygiénistes <strong>de</strong>ntaires<br />
Pour <strong>de</strong> plus amples informations :<br />
418 656-2131, poste 4221 • Télécopieur : 418 656-2720<br />
formationcontinue@fmd.ulaval.ca<br />
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30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 7
Les entretiens cliniques 2013<br />
Nombre d’heures reconnues : 4<br />
8 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013
1Enjeu esthétique :<br />
Le diagnostic et le traitement du « gummy smile »<br />
PARODONTIE<br />
À l’ère <strong>de</strong> l’esthétisme et <strong>de</strong> la perfection, <strong>de</strong> plus en plus <strong>de</strong> patients souhaitent améliorer<br />
leur apparence. Le sourire gingival, plus communément appelé « gummy smile », est une<br />
réalité qui amène souvent les patients à consulter. Le <strong>de</strong>ntiste doit être bien outillé pour<br />
prendre en charge le patient adéquatement.<br />
C’est sur <strong>de</strong>s variations anatomiques qu’est basé le diagnostic <strong>de</strong>s « gummy smiles ». En<br />
effet, le professionnel <strong>de</strong>ntaire se doit d’évaluer <strong>de</strong>s paramètres tels que la ligne du sourire,<br />
la position du maxillaire, les tissus mous associés, etc. Une appréciation <strong>de</strong> la relation<br />
entre la jonction énamo-cémentaire, le niveau <strong>de</strong> l’os alvéolaire et l’attachement gingival<br />
va permettre un diagnostic précis et approprié pour ensuite élaborer le plan <strong>de</strong> traitement<br />
optimal.<br />
Étant donné l’origine multifactorielle du sourire gingival, une variété <strong>de</strong> traitements est à la<br />
disposition du clinicien. Plusieurs sphères <strong>de</strong> la mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire peuvent traiter cette<br />
condition, dont la parodontie.<br />
Cette revue <strong>de</strong> littérature fait la lumière sur les différents types <strong>de</strong> « gummy smile » afin <strong>de</strong><br />
poser un diagnostic éclairé et ainsi obtenir les résultats souhaités par le patient et le <strong>de</strong>ntiste.<br />
Une approche multidisciplinaire du traitement du sourire gingival sera proposée et<br />
présentée.<br />
Étudiantes<br />
Annie-Pier Dumoulin<br />
Audrey Faucher-Paquin<br />
Stéphanie Anglehart<br />
Valérie Mayrand Lizotte<br />
Consultante<br />
Dre Joanie Faucher<br />
30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 9
10 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
L’Ordre <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ntistes du Québec<br />
est fier <strong>de</strong> collaborer<br />
à cette 29e 30<br />
<strong>journée</strong> <strong>scientifique</strong><br />
Bon succès!
2L’utilisation du vernis fluoré :<br />
La recommandation en prévention<br />
DENTISTERIE PRÉVENTIVE<br />
La présentation est divisée en 5 sous-sections. Tout d’abord seront abordées les<br />
différentes actions du fluor au niveau pré-éruptif et post-éruptif, chez l’enfant comme chez<br />
l’adulte. S’en suivra une présentation du CAMBRA, un outil d’évaluation <strong>de</strong> risque carieux<br />
<strong>de</strong> plus en plus utilisé en <strong>de</strong>ntisterie préventive. L’étu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s différents <strong>de</strong>grés du risque<br />
carieux chez l’adulte et l’enfant, allant <strong>de</strong> faible à très élevé, permet au clinicien <strong>de</strong> prendre<br />
les meilleures décisions possibles en ce qui a trait à l’établissement du diagnostic et du<br />
plan <strong>de</strong> traitement alors offert au patient. Ce volet permettra ensuite d’abor<strong>de</strong>r les voies<br />
d’administration possibles du fluor (systémique et topique) et <strong>de</strong> faire la lumière sur le<br />
processus <strong>de</strong> décision tenant compte du risque carieux du patient. Les différences entre<br />
les sources topiques <strong>de</strong> fluor (mousses, gels et vernis) feront ensuite l’objet d’une étu<strong>de</strong><br />
comparative afin <strong>de</strong> faire le point sur les recommandations les plus à jour en matière <strong>de</strong><br />
prévention. La présentation se terminera par la présentation <strong>de</strong>s vernis fluorés, leur technique<br />
d’application et leurs particularités.<br />
Étudiantes<br />
Marianne Bouchard<br />
Stéphanie Bégin<br />
Annie Roy<br />
Consultantes<br />
Dre Sylvie Morin<br />
Dre Aimee Dawson<br />
30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 11
3Mise en évi<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> la contraction <strong>de</strong> polymérisation<br />
<strong>de</strong> huit composites<br />
12 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
DENTISTERIE OPÉRATOIRE<br />
L’entretien clinique porte sur l’analyse d’une expérience visant à comparer la contraction <strong>de</strong><br />
polymérisation <strong>de</strong> huit composites : Surefil SDR, Tetric EvoCeram Bulk Fill, Venus Bulk Fill,<br />
Herculite Ultra Filtek Supreme Ultra Flowable, Filtek Bulk Fill, Filtek Supreme Ultra, et Filtek<br />
LS. Chaque échantillon <strong>de</strong> composite, placé dans une ron<strong>de</strong>lle métallique, sera déposé sur<br />
une lame <strong>de</strong> microscope préalablement passée au jet <strong>de</strong> sable et recouverte d’une couche<br />
<strong>de</strong> silane. Le composite sera ensuite couvert d’une lamelle <strong>de</strong> verre qui permettra <strong>de</strong><br />
remarquer les effets <strong>de</strong> la contraction suite à la polymérisation. Le reflet d’un papier millimétré<br />
sur la plaque <strong>de</strong> verre et capté par un appareil photo permettra <strong>de</strong> mettre en évi<strong>de</strong>nce<br />
la contraction <strong>de</strong> polymérisation. Le tout se déroulera dans une pièce où toute source <strong>de</strong><br />
lumière sera couverte d’un filtre orange. Enfin, <strong>de</strong>s précautions seront mises en place pour<br />
assurer une standardisation dans le montage entre les essais <strong>de</strong>s divers omposites. Les<br />
résultats obtenus pourraient faire avancer la pratique <strong>de</strong> la <strong>de</strong>ntisterie opératoire et ai<strong>de</strong>r les<br />
<strong>de</strong>ntistes dans le choix <strong>de</strong>s matériaux <strong>de</strong> restauration.<br />
Étudiantes<br />
Claudya Aubry,<br />
Dominique Beaulieu-Dagenais<br />
Cynthia Côté<br />
Michelle Lalancette<br />
Consultant<br />
Dr Denis Robert
4Les adhésifs amélo-<strong>de</strong>ntinaires : tous aussi efficaces ?<br />
DENTISTERIE OPÉRATOIRE<br />
Depuis l’introduction <strong>de</strong>s résines adhésives par Bowen en 1962, la performance clinique<br />
<strong>de</strong>s adhésifs amélo-<strong>de</strong>ntinaires s’est gran<strong>de</strong>ment améliorée. Depuis, la technologie élabore<br />
sans cesse différents types <strong>de</strong> systèmes adhésifs présentant chacun leurs avantages et<br />
inconvénients. Avec tous ces systèmes adhésifs disponibles, le choix <strong>de</strong>vient difficile. Ainsi,<br />
les systèmes total-etch en <strong>de</strong>ux et trois étapes <strong>de</strong> même que les systèmes self-etch en<br />
une et <strong>de</strong>ux étapes seront comparés les uns par rapport aux autres.<br />
Pour ce faire, une bonne connaissance du mo<strong>de</strong> <strong>de</strong> fonctionnement histologique <strong>de</strong> l’adhésion<br />
à l’émail et à la <strong>de</strong>ntine est nécessaire afin d’évaluer l’efficacité et la durabilité du<br />
lien adhésif en fonction du type <strong>de</strong> système utilisé. Enfin, malgré l’apparition continuelle <strong>de</strong><br />
nouveaux produits sur le marché, il est important <strong>de</strong> comprendre que le lien adhésif reste<br />
soumis à différents mécanismes biologiques pouvant compromettre son efficacité et sa<br />
durabilité. Ainsi, une bonne compréhension <strong>de</strong> tous ces éléments permettra d’optimiser le<br />
choix d’un système d’adhésion amélo-<strong>de</strong>ntinaire.<br />
Étudiantes<br />
Andréanne Lévesque<br />
Julia-Anne Fortin<br />
Clara Bezeau-Deschênes<br />
Consultante<br />
Dre Laurie St-Pierre<br />
30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 13
5Dentiste 2.0<br />
14 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
COMMUNICATION / RELATION HUMAINE<br />
La fameuse génération Y! Il n’est pas rare d’entendre <strong>de</strong>s préjugés à propos <strong>de</strong> ces<br />
jeunes adultes. Selon les plus expérimentés, ce groupe <strong>de</strong> personnes ne répond pas aux<br />
exigences du mon<strong>de</strong> du travail ; la profession <strong>de</strong>ntaire n’est pas différente à ce sujet. Les<br />
affirmations sont présentes : ‘’Les jeunes ne veulent plus s’associer, refusent <strong>de</strong> travailler<br />
le soir et la fin <strong>de</strong> semaine et prennent toujours <strong>de</strong>s vacances.’’ Est-ce que ces dires sont<br />
fondés? Voilà ce à quoi notre sondage, posé à <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ntistes québécois, tentera <strong>de</strong><br />
répondre. Cette étu<strong>de</strong> comparative portera sur les trois générations, soit les Y, les X<br />
et les Baby-Boomers, quant à leurs habitu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> travail. Les aspects sondés traiteront<br />
entre autres du type <strong>de</strong> pratique, <strong>de</strong> la distribution du temps alloué à la profession et <strong>de</strong>s<br />
priorités visées sur le plan travail-famille. En établissant les réalités présentes en 2012,<br />
ce projet nous permettra d’i<strong>de</strong>ntifier les similitu<strong>de</strong>s et les différences entre les trois<br />
générations <strong>de</strong> <strong>de</strong>ntistes qui se côtoient actuellement sur le marché du travail et ainsi<br />
minimiser les conflits générationnels potentiels.<br />
Étudiants<br />
Caroline Bélanger<br />
Marc-André Breton<br />
Sandra Chehata<br />
Jessica Tonutti<br />
Consultantes<br />
Marie-Josée Lafond<br />
Hélène Crépeau<br />
Dre Sylvie Morin
Commencer à pratiquer, c’est aussi <strong>de</strong>voir<br />
sécuriser les aspects importants <strong>de</strong> votre vie.<br />
Évitez les détours coûteux, votre association<br />
et ses filiales ont la seule expertise qui permet<br />
à un <strong>de</strong>ntiste <strong>de</strong> partir du bon pied.<br />
Association <strong>de</strong>s chirurgiens <strong>de</strong>ntistes du Québec<br />
425, boulevard <strong>de</strong> Maisonneuve Ouest, bureau 1425<br />
Montréal (Québec) H3A 3G5<br />
Téléphone : 514 282-1425 • 1 800 361-3794<br />
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30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 15
6Agénésie <strong>de</strong>s incisives latérales supérieures permanentes :<br />
substitution par les canines<br />
16 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
DENTISTERIE OPÉRATOIRE<br />
Dans la pratique d’aujourd’hui, le <strong>de</strong>ntiste se voit confronté à <strong>de</strong>s attentes esthétiques<br />
élevées <strong>de</strong> la part <strong>de</strong> ses patients. Ceci s’applique particulièrement aux personnes dont<br />
l’apparence est compromise par l’agénésie d’une ou <strong>de</strong>s incisives latérales supérieures<br />
permanentes. Le plan <strong>de</strong> traitement adopté par le praticien doit prendre en considération<br />
les besoins personnels du patient et les contingences cliniques qu’il présente. La complexité<br />
<strong>de</strong> ce type <strong>de</strong> cas est d’autant plus gran<strong>de</strong> que plusieurs alternatives sont possibles: la<br />
prothèse <strong>de</strong>ntaire fixe ou amovible, la couronne sur implant et la substitution par la canine.<br />
Le traitement à préconiser se doit d’être conservateur tout en préservant la fonction et<br />
l’esthétique bucco-<strong>de</strong>ntaire. Bien souvent, la substitution par la canine s’avère un choix judicieux.<br />
Ce projet présentera <strong>de</strong> manière plus approfondie cette <strong>de</strong>rnière option. Le patient<br />
idéal, les avantages et inconvénients, les plans <strong>de</strong> traitement ainsi que les conséquences<br />
qui peuvent s’en suivre seront abordés. Cette recherche sera appuyée par la présentation<br />
<strong>de</strong> différents cas cliniques.<br />
Étudiantes<br />
Mau<strong>de</strong> Laperrière-Couture<br />
Caroline Marleau<br />
Linda Vanessa Riviera<br />
Consultante<br />
Dre Laurie St-Pierre
7Les récessions gingivales associées à <strong>de</strong>s lésions cervicales<br />
non carieuses :<br />
Restaurations <strong>de</strong> classe V versus Greffes <strong>de</strong> gencive<br />
PARODONTIE ET DENTISTERIE OPÉRATOIRE<br />
La conservation <strong>de</strong> la <strong>de</strong>ntition naturelle étant <strong>de</strong>venue primordiale, la fonction et<br />
l’esthétique sont mises <strong>de</strong> l’avant comme <strong>de</strong>s composantes essentielles <strong>de</strong> la pratique<br />
<strong>de</strong>ntaire. Les lésions cervicales sont une représentation concrète alliant ces <strong>de</strong>ux concepts<br />
et engendrent <strong>de</strong> nombreuses questions quant à la nature <strong>de</strong> leur traitement. Étant donné<br />
que celles-ci représentent un trouble multifactoriel, il va <strong>de</strong> soi que l’intervention choisie<br />
pour contrer le problème peut rejoindre <strong>de</strong> multiples disciplines. Dans le cas <strong>de</strong>s lésions<br />
cervicales non-carieuses avec récession gingivale, il peut être difficile <strong>de</strong> choisir entre <strong>de</strong>s<br />
traitements régis par les principes <strong>de</strong> la <strong>de</strong>ntisterie opératoire via un type <strong>de</strong> restauration,<br />
et ceux <strong>de</strong>s greffes <strong>de</strong> gencive utilisés en parodontie. Le traitement dépendra, comme<br />
dans bien <strong>de</strong>s cas, <strong>de</strong> chaque patient, notamment par la plainte et l’état bucco-<strong>de</strong>ntaire<br />
<strong>de</strong> celui-ci. Le protocole clinique proposé pourra servir <strong>de</strong> gui<strong>de</strong> pour en arriver au meilleur<br />
traitement possible. Les différentes possibilités, soit <strong>de</strong> restaurer, <strong>de</strong> procé<strong>de</strong>r à une greffe,<br />
<strong>de</strong> jumeler ces <strong>de</strong>ux traitements ou encore <strong>de</strong> ne rien faire seront évoquées.<br />
Étudiantes<br />
Rachel Cossette<br />
Kim Gélinas<br />
Claire Goulet-Mainguy<br />
Consultante<br />
Dre Joanie Faucher<br />
30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 17
8Coût total d’une restauration à trois surfaces sur une<br />
molaire inférieure en différents matériaux<br />
18 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
DENTISTERIE OPÉRATOIRE<br />
Objectif : Déterminer le coût total d’une MOD sur une 36 pour un <strong>de</strong>ntiste propriétaire en<br />
restauration directe, soit en amalgame ou en composite, ou en restauration indirecte en<br />
disilicate <strong>de</strong> lithium.<br />
Matériaux et Métho<strong>de</strong> : Sondage auprès <strong>de</strong> <strong>de</strong>ntistes, bilan du matériel et du personnel<br />
nécessaires afin <strong>de</strong> faire une restauration en amalgame, en composite ou en disilicate <strong>de</strong><br />
lithium. Recherche dans la littérature et auprès <strong>de</strong> fournisseurs <strong>de</strong> matériaux <strong>de</strong>ntaires pour<br />
déterminer le coût et la durée <strong>de</strong> vie <strong>de</strong>s différents instruments et équipements utilisés.<br />
Mesure <strong>de</strong> la quantité <strong>de</strong> matériel <strong>de</strong> restauration utilisée pour faire une MOD sur une 36.<br />
Résultats escomptés : Produire un tableau comparatif relevant les coûts totaux afin d’ai<strong>de</strong>r<br />
les <strong>de</strong>ntistes propriétaires à faire un choix éclairé quant au matériel <strong>de</strong> restauration utilisé.<br />
De plus, les <strong>de</strong>ntistes pourront y trouver <strong>de</strong>s arguments pour justifier le coût apparemment<br />
élevé <strong>de</strong>s soins <strong>de</strong>ntaires, tel que perçu par les patients.<br />
Étudiantes<br />
Roseline Boucher<br />
Marie-Michèle Dion<br />
Tamara Germain-Gauvin<br />
Catherine Morin<br />
Consultant<br />
Dr Denis Robert
MC<br />
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Soins <strong>de</strong> santé aux consommateurs Inc.<br />
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©2013 GlaxoSmithKline<br />
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Sensodyne Répare et Protège est le premier <strong>de</strong>ntifrice au fluorure à<br />
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pour faire plus que traiter la douleur liée à l’hypersensibilité <strong>de</strong>ntinaire.<br />
• Répare la <strong>de</strong>ntine exposée* : Crée une soli<strong>de</strong> couche semblable à<br />
l’hydroxylapatite sur la <strong>de</strong>ntine exposée et dans les tubules <strong>de</strong>ntinaires 1–5.<br />
• Protège les patients <strong>de</strong> la douleur liée à la sensibilité future* : La<br />
couche semblable à l’hydroxylapatite est jusqu’à 50 % plus dure que<br />
la <strong>de</strong>ntine sous-jacente 6<br />
et elle résiste aux attaques mécaniques et<br />
chimiques quotidiennes 1,6–8.<br />
* Avec un brossage <strong>de</strong>ux fois par jour.<br />
Pensez au-<strong>de</strong>là du soulagement <strong>de</strong> la douleur<br />
et recomman<strong>de</strong>z Sensodyne Répare et Protège<br />
1. Burwell A, et al. J Clin Dent. 2010;21(numéro spécial):66–71. 2. LaTorre G, et al. J Clin Dent. 2010;21(3):72–76. 3. West NX, et al. J Clin Dent. 2011;22(numéro<br />
spécial):82–89. 4. Earl J, et al. J Clin Dent. 2011;22(numéro spécial):62–67. 5. Efflant SE, et al. J Mater Sci Mater Med. 2002;26(6):557–565. 6. Parkinson C, et al. J Clin<br />
Dent. 2011;22(numéro spécial):74–81. 7. Earl J, et al. J Clin Dent. 2011;22(numéro spécial):68–73. 8. Wang Z, et al. J Dent. 2010;38:400−410.<br />
30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 19
9La sédation consciente : une option <strong>de</strong> traitement<br />
accessible pour tous les <strong>de</strong>ntistes généralistes !<br />
CHIRURGIE<br />
De nombreux patients sont difficiles à traiter en raison <strong>de</strong> diverses pathologies, <strong>de</strong> troubles<br />
comportementaux ou psychologiques, notamment l’anxiété. C’est pourquoi certains<br />
professionnels <strong>de</strong> la santé utilisent la sédation consciente, une technique permettant <strong>de</strong><br />
diminuer l’état <strong>de</strong> conscience du patient, tout en maintenant ses réflexes et fonctions<br />
vitales. Bien que cette métho<strong>de</strong> soit utilisée dans plusieurs domaines médicaux, est-elle<br />
vraiment pertinente et accessible pour les <strong>de</strong>ntistes généralistes dans leur pratique privée?<br />
Afin <strong>de</strong> mieux démystifier la problématique, il est important d’abor<strong>de</strong>r les <strong>de</strong>ux voies d’administration<br />
possibles en cabinet privé. En fait, la sédation consciente peut être, d’une part,<br />
administrée sous forme médicamenteuse à travers différentes classes <strong>de</strong> comprimés. Par<br />
ailleurs, il est possible <strong>de</strong> la recevoir sous forme gazeuse via le protoxy<strong>de</strong> d’azote. À travers<br />
cet entretien clinique, plusieurs points seront abordés dont les exigences <strong>de</strong> la pratique, incluant<br />
les coûts, les équipements nécessaires, les formations obligatoires, les standards <strong>de</strong><br />
la pratique ainsi que la législation. De plus, les avantages et les inconvénients, autant pour<br />
le patient que pour l’administrateur, seront comparés afin <strong>de</strong> prouver l’efficacité <strong>de</strong> cette<br />
technique chez les <strong>de</strong>ntistes généralistes. Par ailleurs, les indications <strong>de</strong> la pratique seront<br />
traitées, afin <strong>de</strong> savoir dans quelles situations et pour qui celle-ci est recommandée.<br />
20 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
Étudiants<br />
Michèle Faucher<br />
Anne-Shirley Na<strong>de</strong>au<br />
Steven Pelland Ashe<br />
Myreille Roy<br />
Consultant<br />
Dr Dany Morais
<strong>de</strong> caillot <strong>de</strong> fibrine autologue pour l’amélioration<br />
<strong>de</strong> la régénération tissulaire en implantologie par la<br />
technique <strong>de</strong> PRF<br />
PARODONTIE<br />
10Utilisation<br />
La pratique <strong>de</strong>ntaire mo<strong>de</strong>rne nécessite <strong>de</strong>s procédures en vue <strong>de</strong> restaurer une fonction<br />
occlusale altérée par une pathologie ou un traumatisme. Pour ce faire, l’utilisation d’implants<br />
<strong>de</strong>ntaires ostéo-intégrés est <strong>de</strong>venue une option <strong>de</strong> traitement fiable et prévisible<br />
pour le remplacement <strong>de</strong> <strong>de</strong>nts manquantes. Malgré l’utilisation nouvellement acceptée <strong>de</strong><br />
facteurs <strong>de</strong> croissance favorisant la régénération tissulaire en implantologie, <strong>de</strong>s préoccupations<br />
ont été exprimées quant à leur coût <strong>de</strong> production élevé et leur stabilité in vivo.<br />
Une procédure <strong>de</strong> régénération qui a pris une ampleur considérable est l’utilisation <strong>de</strong> fibrine<br />
riche en plaquettes <strong>de</strong> secon<strong>de</strong> génération (PRF), une technique développée en 2003<br />
par le Dr Choukroun qui engendre peu <strong>de</strong> frais d’opération. Alors qu’un nombre croissant<br />
d’essais cliniques a récemment démontré les avantages <strong>de</strong> combiner la technique <strong>de</strong> PRF<br />
avec plusieurs procédures <strong>de</strong>ntaires, son application n’est pas encore courante en pratique<br />
générale. Cette revue <strong>de</strong> littérature donne donc un aperçu <strong>de</strong> son efficacité lors <strong>de</strong> greffes<br />
<strong>de</strong> gencive et d’élévation sinusale, puis se concentre sur le protocole et les bienfaits du<br />
PRF lors <strong>de</strong> la régénération <strong>de</strong>s tissus autour d’un implant nouvellement intégré. Plusieurs<br />
recherches appuyant l’utilisation <strong>de</strong> PRF seul ou en association avec d’autres substances<br />
autour <strong>de</strong>s implants sont conjointement présentées.<br />
Étudiants<br />
Yorhy Auclair<br />
Louis Fréchette<br />
Vincent Guillemette<br />
Adam Maltais<br />
Consultant<br />
Dr Jean Routhier<br />
30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 21
RETROUVAILLES<br />
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22 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
DIPLÔMÉS
TADs :<br />
un bon coup <strong>de</strong> pouce aux traitements orthodontiques ?<br />
ORTHODONTIE<br />
11Les<br />
Le domaine <strong>de</strong> la mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire est continuellement influencé par un éventail <strong>de</strong><br />
nouvelles découvertes, et ce, à travers toutes ses spécialités. Un <strong>de</strong>s progrès ayant<br />
récemment émergé et qui mérite une attention particulière est celui <strong>de</strong>s dispositifs<br />
d’ancrage temporaire, communément appelé TADs (Temporary Anchorage Devices) en<br />
orthodontie. En effet, cette métho<strong>de</strong> innovatrice nous permet aujourd’hui d’effectuer <strong>de</strong>s<br />
mouvements <strong>de</strong>ntaires, tels l’intrusion et l’extrusion, qui étaient auparavant tâche impossible.<br />
De plus, il s’agit <strong>de</strong> traitements qui s’avèrent très efficaces en termes <strong>de</strong> temps et <strong>de</strong><br />
coûts. Parmi les différents thèmes abordés dans cette présentation, les indications ainsi<br />
que les contre-indications pour l’utilisation <strong>de</strong>s TADs seront d’abord considérées. Puis, le<br />
taux <strong>de</strong> succès sera exploré en profon<strong>de</strong>ur en tenant compte d’un grand ensemble <strong>de</strong><br />
facteurs, soit le type d’implant utilisé, le protocole chirurgical, le site d’intervention, les forces<br />
orthodontiques appliquées, l’entretien et la collaboration du patient. Cependant, tout traitement<br />
comporte ses limites : les problèmes et/ou complications possibles seront également<br />
mentionnés. Ainsi, cette présentation se veut à la fois un gui<strong>de</strong> <strong>de</strong> pratique et une revue <strong>de</strong>s<br />
évi<strong>de</strong>nces supportant l’efficacité <strong>de</strong> cette nouvelle technique.<br />
Étudiants<br />
Émilie Archambault<br />
Catherine Fontaine-Sylvestre<br />
Francis Gravel<br />
Mireille Anh Thi Vo<br />
Consultants<br />
Dr André Fournier<br />
Dr Christian Fournier<br />
30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 23
comparaison entre les systèmes numériques et les<br />
systèmes traditionnels pour la prise d’empreinte<br />
PROSTHODONTIE<br />
12La<br />
Un <strong>de</strong>s éléments essentiel et critique dans la pratique <strong>de</strong> tous les <strong>de</strong>ntistes est la prise<br />
d’empreinte. Depuis les <strong>de</strong>rnières années, il y a eu <strong>de</strong> gran<strong>de</strong>s avancées dans ce domaine<br />
<strong>de</strong> la <strong>de</strong>ntisterie. Voilà pourquoi il est important <strong>de</strong> se questionner sur la pertinence d’ajouter<br />
cette optique aux traitements d’aujourd’hui. Toutefois, est-ce que les systèmes <strong>de</strong><br />
prise d’empreintes numériques offrent une meilleure précision sur les restaurations que les<br />
techniques manuelles? Pour répondre à cette question, nous comparerons les différentes<br />
étu<strong>de</strong>s qui portent sur l’adaptation marginale, les sources d’erreurs, la durabilité, le choix <strong>de</strong><br />
matériaux et <strong>de</strong> couleur entre certains <strong>de</strong>s systèmes numériques et les systèmes manuels.<br />
De plus, l’exactitu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s images prises par empreintes numériques sera abordée. Pour<br />
une meilleure compréhension <strong>de</strong>s résultats obtenus, nous expliquerons le fonctionnement<br />
général <strong>de</strong>s systèmes numériques et <strong>de</strong> la fabrication <strong>de</strong> restaurations à partir <strong>de</strong> cette<br />
métho<strong>de</strong>.<br />
24 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
Étudiantes<br />
Maya Touma<br />
Alexandra Lemieux<br />
Émilie Perron<br />
Roxanne Hardy<br />
Consultant<br />
Dr Jean Routhier
ar<strong>de</strong>nte : bactéries et cellules souches pulpaires<br />
dans la régénération osseuse<br />
GÉNIE TISSULAIRE<br />
13Approche<br />
Les greffes osseuses répon<strong>de</strong>nt à plusieurs besoins cliniques en <strong>de</strong>ntisterie. Elles sont<br />
pratiquées pour prévenir la perte <strong>de</strong> <strong>de</strong>nts, remédier aux pertes osseuses dues aux<br />
résections tumorales, assurer la stabilité <strong>de</strong>s prothèses <strong>de</strong>ntaires et permettre la mise en<br />
place d’implants. Les greffes osseuses peuvent être autologues ou allogéniques. La greffe<br />
d’os autologue est la plus favorisée lorsque le tissu est disponible. Cependant, par manque<br />
d’os autologue, le recours à l’allogreffe est fréquent en <strong>de</strong>ntisterie. Ces allogreffes varient<br />
tant par leur composition chimique que par leur origine, mais présentent <strong>de</strong>s exigences<br />
parfois difficiles à atteindre. De nouvelles initiatives furent donc développées, parmi lesquelles<br />
nous retrouvons la possibilité <strong>de</strong> produire <strong>de</strong>s tissus osseux par génie tissulaire. Ce procédé<br />
se base sur les connaissances en génie et en biologie afin <strong>de</strong> produire un tissu ayant <strong>de</strong>s<br />
propriétés comparables au tissu natif. Un <strong>de</strong>s éléments clés pour y parvenir est<br />
l’utilisation <strong>de</strong> cellules souches telles les cellules pulpaires qui, associées à une matrice<br />
tridimensionnelle, pourraient mener à la formation d’un tissu osseux. Ainsi, l’objectif <strong>de</strong><br />
ce travail est <strong>de</strong> cerner le potentiel ostéogénique <strong>de</strong>s cellules souches pulpaires sur une<br />
charpente à base <strong>de</strong> cellulose bactérienne pouvant servir pour <strong>de</strong>s applications cliniques.<br />
Étudiants<br />
Laurence Bellerive<br />
Camélia Rioux<br />
Neftaha Tazi<br />
Mathieu Vanasse<br />
Consultants<br />
Dr Mahmoud Rouabhia<br />
Dr Éric Philippe<br />
Dr Guillaume Tremblay<br />
30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 25
G•U•M MD<br />
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l’unité afin d’éviter les nœuds et les pertes.<br />
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conçues pour optimiser l’enlèvement du biofilm et<br />
<strong>de</strong>s particules alimentaires dans les espaces<br />
inter<strong>de</strong>ntaires, autour <strong>de</strong>s couronnes et ponts, <strong>de</strong>s<br />
implants et <strong>de</strong>s appareils d’orthodontie.<br />
• Les <strong>de</strong>ux bouts enfileurs permettent <strong>de</strong> maximiser<br />
l’accès et le nettoyage <strong>de</strong> toutes les surfaces avec<br />
un seul fil.<br />
Le fil G•U•M MD EasyThread MC est disponible en 2 formats :<br />
• Dispensateur hygiénique pour la clinique<br />
• Format d’essai pour le patient.<br />
26 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
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PATHOLOGIE BUCCALE<br />
14La<br />
Selon l’enquête canadienne sur les mesures <strong>de</strong> la santé, 12 % <strong>de</strong>s adultes présenterait<br />
<strong>de</strong>s lésions buccales. Bien que la gran<strong>de</strong> majorité <strong>de</strong> ces lésions soient bénignes, il n’en<br />
reste pas moins que parmi celles-ci se cachent <strong>de</strong>s lésions prémalignes ou malignes. Le<br />
<strong>de</strong>ntiste généraliste doit être en mesure d’effectuer le cheminement diagnostique, <strong>de</strong><br />
traiter ou encore <strong>de</strong> référer le patient adéquatement. Dans un même ordre d’idées, il a été<br />
noté qu’au Canada le cancer <strong>de</strong> la cavité buccale se situe au treizième rang <strong>de</strong>s cancers<br />
les plus fréquents.<br />
L’essentiel <strong>de</strong> l’approche thérapeutique pour combattre le cancer repose sur un diagnostic<br />
précoce et le <strong>de</strong>ntiste, par conséquent, se retrouve bien souvent en tant qu’intervenant<br />
<strong>de</strong> première ligne. Au cœur <strong>de</strong> ce processus, on a bien souvent recours à la biopsie. Outil<br />
essentiel à plusieurs diagnostics, il est par contre important pour le clinicien qui l’effectue <strong>de</strong><br />
comprendre les motifs <strong>de</strong> son utilisation. En effet, la biopsie est un moyen <strong>de</strong> confirmer ou<br />
d’infirmer un diagnostic clinique et les <strong>de</strong>ntistes doivent savoir quand et comment l’utiliser.<br />
La présentation discutera <strong>de</strong>s différents types <strong>de</strong> lésions intra-orales, <strong>de</strong>s indications et<br />
contre-indications <strong>de</strong> la biopsie, <strong>de</strong>s différentes techniques <strong>de</strong> biopsie utilisées ainsi que<br />
les procédures à suivre pour assurer la qualité du spécimen afin <strong>de</strong> faciliter le travail du<br />
pathologiste et d’ainsi assurer un bon diagnostic final.<br />
Étudiantes<br />
Joannie Bernier<br />
Julie Dufresne-Lapointe<br />
Karolann Roussy<br />
Consultante<br />
Dre Sylvie Louise Avon<br />
30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 27
15Ostéosarcome du maxillaire supérieur :<br />
Présentation <strong>de</strong> cas et revue <strong>de</strong> littérature<br />
28 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
CHIRURGIE BUCCALE ET MAXILLO-FACIALE<br />
L’ostéosarcome du maxillaire supérieur est une pathologie rare qui nécessite une<br />
prise en charge rapi<strong>de</strong> afin d’en améliorer le pronostic. Selon une étu<strong>de</strong> récente, dans<br />
environ 45 % <strong>de</strong>s cas d’ostéosarcomes <strong>de</strong> la sphère oro-faciale, le <strong>de</strong>ntiste a été le<br />
premier professionnel <strong>de</strong> la santé à i<strong>de</strong>ntifier la présence <strong>de</strong> la lésion. Il se doit donc <strong>de</strong><br />
connaître les signes et symptômes <strong>de</strong>s pathologies afin <strong>de</strong> référer rapi<strong>de</strong>ment le patient en<br />
chirurgie maxillo-faciale lorsqu’il soupçonne une pathologie maligne. Dans le présent cas, une<br />
patiente <strong>de</strong> 20 ans a consulté pour une masse au maxillaire supérieur droit qui s’est<br />
avérée être un ostéosarcome chondroblastique. Elle a subi une hémimaxillectomie et une<br />
reconstruction du maxillaire supérieur. À la suite d’une récidive 48 mois après le traitement<br />
initial, elle a été traitée par maxillectomie totale, reconstruction du maxillaire par lambeau libre du<br />
péroné et chimiothérapie. Lors <strong>de</strong> cet entretien clinique, un cas d’ostéosarcome du maxillaire<br />
supérieur et la revue <strong>de</strong> la littérature seront présentés. Les caractéristiques cliniques et<br />
histologiques, les éléments du diagnostic et les modalités <strong>de</strong> traitement seront révisés.<br />
Étudiante<br />
Karolann Roussy<br />
Consultants<br />
Dr Carl Bouchard<br />
Dr Michel Fortin
30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 29
16Complications post-opératoires <strong>de</strong> l’approche<br />
rétromandibulaire dans le traitement <strong>de</strong>s fractures<br />
sous-condyliennes: analyse rétrospective <strong>de</strong> 118 cas<br />
30 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
CHIRURGIE BUCCALE ET MAXILLO-FACIALE<br />
Introduction : Les fractures <strong>de</strong> la région condylienne ou sous-condylienne représentent<br />
25-35 % <strong>de</strong>s fractures mandibulaires. Bien qu’on privilégie l’approche rétromandibulaire<br />
comme technique chirurgicale <strong>de</strong> réduction ouverte avec fixation interne (ROFI), la paralysie<br />
faciale constitue la complication la plus morbi<strong>de</strong>.<br />
Métho<strong>de</strong> : Les dossiers <strong>de</strong> tous les patients ayant subi une ROFI <strong>de</strong> fracture sous-<br />
condylienne par approche rétromandibulaire entre janvier 2003 et janvier 2012 ont été<br />
révisés pour noter les éléments suivants : âge, sexe, comorbidités médicales, type <strong>de</strong><br />
fracture, prise d’antibiotiques, présence <strong>de</strong> fracture (s) faciale (s) concomitante (s), durée<br />
du suivi post-opératoire et complications.<br />
Résultats : 108 patients (81 hommes : 27 femmes) âgés <strong>de</strong> 14-82 ans (35.6 ± 15.8), ayant<br />
subi 118 fractures, ont satisfait aux critères d’inclusion. La durée moyenne du suivi <strong>de</strong> 6.5<br />
mois (8 jours-5.5 années) a confirmé 26 (22 %) paralysies faciales transitoires et une<br />
permanente (0,8 %). On a également recensé 14 (11,9 %) cas d’infection, 4 (3,4 %) fistules<br />
salivaires, 2 (1,7 %) sialocèles, 2 (1,7 %) séromes et 1 (0,8 %) syndrome <strong>de</strong> Frey.<br />
Conclusion : L’approche rétromandibulaire dans le traitement <strong>de</strong>s fractures <strong>de</strong> la région<br />
condylienne s’avère généralement sécuritaire et ses complications transitoires. La paralysie<br />
faciale <strong>de</strong>meure rare.<br />
Étudiante<br />
Marie-Hélène Perreault<br />
Consultant<br />
Dr Carl Bouchard
<strong>de</strong> risque, prévention et traitement <strong>de</strong>s lésions<br />
blanches associées aux traitements orthodontiques<br />
PRÉVENTION DENTAIRE<br />
17Facteurs<br />
À la quête du sourire parfait, le nombre <strong>de</strong> <strong>de</strong>man<strong>de</strong>s pour les traitements orthodontiques<br />
ne cesse d’augmenter. Il est donc primordial, tant pour l’orthodontiste traitant que pour le<br />
<strong>de</strong>ntiste praticien, <strong>de</strong> connaître la prise en charge globale relative aux lésions blanches associées<br />
à ce type <strong>de</strong> traitement. Le but <strong>de</strong> cet entretien clinique est <strong>de</strong> vous exposer aux<br />
différents facteurs <strong>de</strong> risque ainsi que <strong>de</strong> vous sensibiliser à la prévention et à la gestion<br />
<strong>de</strong>s lésions blanches qui se forment en présence d’appareillage orthodontique fixe. Il sera<br />
question <strong>de</strong>s différents matériaux mis à la disposition du clinicien lors <strong>de</strong> la cimentation <strong>de</strong>s<br />
boîtiers orthodontiques, <strong>de</strong> la gestion à domicile et en bureau requis pour le patient ainsi<br />
que <strong>de</strong> l’approche thérapeutique à adopter en présence <strong>de</strong> ce type <strong>de</strong> déminéralisation.<br />
C’est l’ensemble <strong>de</strong>s efforts communs qui peut faire toute la différence aux yeux du patient<br />
lors du retrait <strong>de</strong>s appareils orthodontiques. Combattre les lésions blanches, c’est un travail<br />
d’équipe qui débute dès aujourd’hui !<br />
Étudiants<br />
Mélanie Gauthier<br />
Ismaël Lahlou<br />
Consultantes<br />
Dre Audrey Bellerive<br />
Dre Laurie St-Pierre<br />
30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 31
© 2011, 3M. Tous droits réservés. 3M et ESPE sont <strong>de</strong>s marques <strong>de</strong> commerce <strong>de</strong> 3M ou <strong>de</strong> 3M ESPE AG, utilisées sous licence au Canada.<br />
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32 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
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Chaque jour, les <strong>de</strong>ntistes nous ai<strong>de</strong>nt à cerner leurs besoins et les chercheurs <strong>de</strong> 3M, bénéficiant <strong>de</strong> 45 plates-formes<br />
technologiques, créent <strong>de</strong>s solutions pour répondre à ces besoins. Cette collaboration a produit une série d’innovations en<br />
<strong>de</strong>ntisterie, notamment le tout premier matériau <strong>de</strong> restauration qui correspond à la couleur <strong>de</strong>s <strong>de</strong>nts, la première résine<br />
autoadhésive et le premier mélangeur automatique <strong>de</strong> matériaux pour prise d’empreinte et <strong>de</strong> ciments. Des solutions<br />
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cardiologie au cœur <strong>de</strong> la mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire<br />
MÉDECINE BUCCALE<br />
18La<br />
Avec les progressions continuelles <strong>de</strong> la science dans le domaine <strong>de</strong> la santé, l’implantation<br />
<strong>de</strong> stimulateurs cardiaques, parfois mieux connus sous l’anglicisme « pacemaker », <strong>de</strong>vient<br />
une procédure relativement courante dans le mon<strong>de</strong> <strong>de</strong> la cardiologie.<br />
Ainsi, lors <strong>de</strong> la révision du questionnaire médical, il arrive que le <strong>de</strong>ntiste se retrouve<br />
face à un patient porteur d’un tel stimulateur. Devant cette situation, une question revient<br />
souvent à l’équipe d’électrophysiologie <strong>de</strong> l’Institut Universitaire <strong>de</strong> Cardiologie et <strong>de</strong><br />
Pneumologie <strong>de</strong> Québec : « Mes instruments <strong>de</strong>ntaires auront-ils <strong>de</strong>s conséquences<br />
notables sur ce type d’appareil indispensable à la survie <strong>de</strong> mon patient ? » Sachant que les<br />
stimulateurs cardiaques reposent sur un microcircuit complexe et qu’ils utilisent les on<strong>de</strong>s<br />
électromagnétiques comme moyen <strong>de</strong> communication, ces <strong>de</strong>rniers sont donc<br />
susceptibles d’entrer en interférence avec d’autres appareils utilisant la même<br />
technologie. La question est donc légitime puisqu’un certain nombre d’instruments <strong>de</strong>ntaires<br />
d’utilisation courante, tels que les détartreurs ultrasoniques, les vitalomètres ou les<br />
localisateurs d’apex, pour n’en nommer que quelques-uns, forment <strong>de</strong>s circuits électriques<br />
ou électromagnétiques.<br />
Ces craintes sont-elles fondées ? Sont-elles <strong>de</strong>s mythes ou <strong>de</strong>s réalités ? Peut-on mettre la<br />
vie <strong>de</strong> notre patient en danger ? La présente revue <strong>de</strong> littérature a pour but <strong>de</strong> faire le point,<br />
à partir <strong>de</strong>s connaissances actuelles, sur les risques réels d’interférence électromagnétique<br />
en cabinet <strong>de</strong>ntaire.<br />
Étudiants<br />
Sarah-Jane Boucher<br />
Alexandre Gagné<br />
Marie-Ève Lemieux<br />
Consultante<br />
Dre Michelle Bourassa<br />
30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 33
traitement pharmacologique <strong>de</strong>s maladies<br />
thromboemboliques et les procédures <strong>de</strong>ntaires :<br />
un duo qui vous fait faire du sang <strong>de</strong> cochon?!<br />
PHARMACOLOGIE<br />
19Le<br />
Selon l’Agence <strong>de</strong> santé publique du Canada, la première cause <strong>de</strong> décès chez les<br />
adultes canadiens serait les maladies cardio-vasculaires. Il existe une variété <strong>de</strong><br />
médication pour le traitement <strong>de</strong>s maladies thromboemboliques et avec les recherches<br />
pharmacologiques innovatrices <strong>de</strong>s <strong>de</strong>rnières années, <strong>de</strong> nouveaux médicaments ont<br />
fait leur entrée sur le marché. Pour les <strong>de</strong>ntistes, il est important <strong>de</strong> pouvoir i<strong>de</strong>ntifier les<br />
risques associés aux traitements <strong>de</strong>ntaires concomitants à la prise <strong>de</strong> ces médicaments<br />
ainsi que <strong>de</strong> savoir quelles sont les mesures locales et les précautions à prendre afin<br />
d’éviter <strong>de</strong> déclencher une hémorragie. Dans le but <strong>de</strong> bien saisir les impacts potentiels<br />
en lien avec la mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire, je propose donc un survol <strong>de</strong>s différentes classes <strong>de</strong><br />
médicaments généralement prescrits pour les maladies thromboemboliques afin <strong>de</strong> comprendre<br />
clairement leurs propriétés et leurs mécanismes d’action. De plus, pour ai<strong>de</strong>r les <strong>de</strong>ntistes<br />
à diriger adéquatement leurs approches thérapeutiques face à un patient médicalement<br />
compris au point <strong>de</strong> vue <strong>de</strong> l’hémostase, il sera également question <strong>de</strong>s précautions à<br />
prendre lors <strong>de</strong> traitements <strong>de</strong>ntaires en particulier avec la chirurgie.<br />
34 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
Étudiante<br />
Amélie Gagnon<br />
Consultante<br />
Dre Michelle Bourassa
Ne laissez pas un mal <strong>de</strong> <strong>de</strong>nts<br />
les empêcher <strong>de</strong> dormir la nuit<br />
Pour profiter d’une nuit <strong>de</strong> sommeil plus longue, recomman<strong>de</strong>z ADVIL ® NUIT<br />
ADVIL NUIT – allie le soulagement d’ADVIL à un ai<strong>de</strong>-sommeil efficace et sans danger<br />
200 mg d’ibuprofène<br />
25 mg <strong>de</strong> chlorhydrate<br />
<strong>de</strong> diphénhydramine<br />
Permettez à vos patients <strong>de</strong> connaître un soulagement rapi<strong>de</strong> <strong>de</strong> la douleur et <strong>de</strong> profiter d’une<br />
bonne nuit <strong>de</strong> sommeil pour se réveiller frais et dispos.<br />
Dites bonne nuit aux maux et aux douleurs.<br />
Les Liqui-Gels ® ADVIL ® NUIT sont indiqués chez les patients <strong>de</strong> 16 à 65 ans ou plus pour soulager la douleur et ai<strong>de</strong>r à induire le sommeil, augmenter la durée du sommeil et à se<br />
sentir plus reposé au réveil. Les patients <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> 65 ans <strong>de</strong>vraient consulter un mé<strong>de</strong>cin avant <strong>de</strong> prendre les Liqui-Gels ADVIL NUIT. Les patients avec un ulcère gastroduodénal<br />
actif, <strong>de</strong>s antécé<strong>de</strong>nts d’ulcérations récurrentes, une maladie inflammatoire active du système gastro-intestinal, une hypersensibilité connue ou soupçonnée à l’ibuprofène,<br />
à la diphénhydramine ou à tout autre ingrédient <strong>de</strong> la formulation ou composant <strong>de</strong> ce produit, un syndrome partiel ou complet <strong>de</strong> polypes nasaux, ou chez qui l’asthme,<br />
l’anaphylaxie, l’urticaire, la rhinite ou d’autres manifestations allergiques sont précipitées par l’AAS ou d’autres agents anti-inflammatoires non stéroïdiens, ainsi que les<br />
femmes enceintes pendant le <strong>de</strong>rnier trimestre <strong>de</strong> la grossesse, ne doivent pas prendre les Liqui-Gels ADVIL NUIT. Les patients ne doivent pas prendre les Liqui-Gels ADVIL NUIT<br />
pendant plus <strong>de</strong> 5 jours. Ils doivent éviter les boissons alcoolisées et ne <strong>de</strong>vraient pas conduire <strong>de</strong> véhicule motorisé ni être aux comman<strong>de</strong>s d’une machine.<br />
L’information posologique complète se trouve dans la monographie du produit. La monographie du produit est disponible sur <strong>de</strong>man<strong>de</strong>.<br />
Liqui-Gels ® est une marque <strong>de</strong> commerce ou une marque déposée <strong>de</strong> Catalent Pharma Solutions.<br />
30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 35
Le comité organisateur remercie chaleureusement les<br />
juges qui ont évalué les entretiens cliniques <strong>de</strong> cette<br />
30 e Journée <strong>scientifique</strong><br />
merci<br />
36 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
Dre Sylvie Breton<br />
M. Andrew Gayed<br />
Dr Clau<strong>de</strong> Laflamme<br />
Dr Pierre-Éric Landry<br />
M. Olivier Laplante<br />
Dre Julie-Clau<strong>de</strong> Leblanc<br />
Dre Josée Na<strong>de</strong>au<br />
Dre Valérie Paquin-Petitjean<br />
Dre Andreea Oana Radu Mirza<br />
Dr Rodier St-Louis<br />
Dre Danielle Talbot<br />
Dr René Vaillancourt
FORMATION CONTINUE<br />
<strong>Faculté</strong> <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire<br />
CALENDRIER 2012-2013<br />
HIVER 2013<br />
Date Vendredi 15 février 2013, <strong>de</strong> 8 h 30 à 17 h<br />
Lieu Pavillon Alphonse-Desjardins, Amphithéâtre Hydro-Québec<br />
Titre<br />
30 e Journée scienti que. « Les restaurations esthétiques dans la<br />
pratique quotidienne : du composite à la zircone »<br />
Conférenciers<br />
Dre Cathia Bergeron, <strong>de</strong>ntisterie opératoire<br />
Dr Pierre Boudrias, prosthodontiste<br />
Nb d’heures 8<br />
Numéro <strong>de</strong> cours MDD-U074<br />
Coût Dentistes : 325 $ • Hygiénistes et techniciens <strong>de</strong>ntaires : 220 $<br />
Date Samedi 23 février 2013, <strong>de</strong> 9 h à 16 h<br />
Lieu Pavillon <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire, local 2619<br />
Titre « À propos du diagnostic en endodontie I »<br />
Conférencier Dr Yves Yana, endodontiste<br />
Nb d’heures 6<br />
Numéro <strong>de</strong> cours MDD-U097<br />
Coût Dentistes : 370 $ • Hygiénistes et techniciens <strong>de</strong>ntaires : 265 $<br />
Date Samedi 2 mars 2013, 9 h à 16 h<br />
Lieu Pavillon <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire, local 2619<br />
Titre<br />
« Désordres temporomandibulaires et conditions comorbi<strong>de</strong>s : du<br />
dépistage au traitement »<br />
Conférencier Dr Jean-Paul Goulet, mé<strong>de</strong>cine buccale<br />
Nb d’heures 6<br />
Numéro <strong>de</strong> cours MDD-U122<br />
Coût Dentistes : 370 $ • Hygiénistes et techniciens <strong>de</strong>ntaires : 265 $<br />
Date Samedi 16 mars 2013, 8 h 30 à 12 h 30<br />
Lieu Pavillon <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire, local 2619<br />
Titre<br />
« Trucs et astuces pour ne pas perdre la face en chirurgie maxillofaciale!<br />
»<br />
Conférencière Dre Annie-Clau<strong>de</strong> Valcourt, chirurgienne buccale et maxillo-faciale<br />
Nb d’heures 4<br />
Numéro <strong>de</strong> cours MDD-U120<br />
Coût Dentistes : 315 $ • Hygiénistes et techniciens <strong>de</strong>ntaires : 210 $<br />
Date Samedi 23 mars 2013, 9 h à 16 h<br />
Lieu Pavillon <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire, local 2619<br />
Titre « À propos du diagnostic en endodontie II »<br />
Conférencier Dr Yves Yana, endodontiste<br />
Nb d’heures 6<br />
Numéro <strong>de</strong> cours MDD-U106<br />
Coût Dentistes : 370 $ • Hygiénistes et techniciens <strong>de</strong>ntaires : 265 $<br />
2012<br />
2013<br />
Date Samedi 6 avril 2013, 9 h à 12 h<br />
Lieu Pavillon <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire, local 2619<br />
Titre « Gestion <strong>de</strong>s soins <strong>de</strong>ntaires chez <strong>de</strong>s patients cardiaques »<br />
Conférencière Dre Michelle Bourassa, Msc, DMD<br />
Nb d’heures 3<br />
Numéro <strong>de</strong> cours MDD-U124<br />
Coût Dentistes : 265 $ Cours réservé aux <strong>de</strong>ntistes<br />
Date Samedi 13 avril 2013, <strong>de</strong> 9 h à 12 h<br />
Lieu Pavillon <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire, local 2619<br />
Titre « L’attitu<strong>de</strong>, c’est drôlement contagieux »<br />
Conférencier<br />
M. Richard Aubé, formateur agréé, praticien en neurolinguistique et auteur<br />
en psychologie<br />
Nb d’heures 3<br />
Numéro <strong>de</strong> cours MDD-U116<br />
Coût Dentistes : 265 $ • Hygiénistes et techniciens <strong>de</strong>ntaires : 155 $<br />
Date Samedi 20 avril 2013, 9 h à 12 h<br />
Lieu Pavillon <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire, local 2619<br />
Titre « Désordres auto-immuns : quand la clinique rencontre la science »<br />
Dre Sylvie Louise Avon, spécialiste en mé<strong>de</strong>cine buccale et pathologie<br />
Conférencières buccale et maxillo-faciale<br />
Dre Fatiha Chandad, spécialiste en microbiologie et immunologie buccales<br />
Nb d’heures 3<br />
Numéro <strong>de</strong> cours MDD-U121<br />
Coût Dentistes : 265 $ • Hygiénistes <strong>de</strong>ntaires : 155 $<br />
Date Samedi 27 avril 2013, <strong>de</strong> 9 h à 16 h<br />
Lieu Pavillon <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire, local 2619<br />
Titre « Le vieillissement <strong>de</strong>ntaire : usures et fractures »<br />
Conférencier Dr Denis Robert, <strong>de</strong>ntisterie opératoire<br />
Nb d’heures 6<br />
Numéro <strong>de</strong> cours MDD-U123<br />
Coût Dentistes : 370 $ • Hygiénistes <strong>de</strong>ntaires : 265 $<br />
Date Vendredi 10 mai 2013, 8 h 30 à 16 h 30<br />
Lieu Pavillon <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire, local à déterminer<br />
Titre « 7e Journée <strong>de</strong> la recherche »<br />
Responsable Dr Mahmoud Rouabhia, immunologie buccale (GREB)<br />
Nb d’heures 6<br />
Numéro <strong>de</strong> cours MDD-U107<br />
Coût Dentistes : 370 $ • Hygiénistes et techniciens <strong>de</strong>ntaires : 265 $<br />
Pour <strong>de</strong> plus amples informations : 418-656-2131, poste 4221<br />
Télécopieur : 418-656-2720 • formationcontinue@fmd.ulaval.ca<br />
http://www.fmd.ulaval.ca/fc<br />
<strong>Faculté</strong> <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire<br />
30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 37
CALENDRIER 2013-2014<br />
FORMATION CONTINUE<br />
F A C U L T É D E M É D E C I N E D E N T A I R E<br />
AUTOMNE 2013<br />
Date Samedi 21 septembre 2013, <strong>de</strong> 9 h à 16 h<br />
Titre<br />
Conférenciers<br />
« Traitements <strong>de</strong>s affections gingivales. Chez qui ? Quand ?<br />
Pourquoi ? Comment ? »<br />
Dr Éric Morin, DMD<br />
Dr Mazen El-Abiad, DMD, M. Dent. Sc., Cert. Perio.<br />
Date Vendredi 28 septembre 2013, <strong>de</strong> 18 h à 21 h<br />
Titre « Orthodontie Interceptive 101 »<br />
Conférenciers<br />
Dre Joannie Roy, DMD, MSc, FRCD(c)<br />
Dr Louis Roy, DMD, Cert. Ortho.<br />
Date Samedi 12 octobre 2013, 9 h à 12 h<br />
Titre « Greffes allo<strong>de</strong>rmes et tissu conjonctif »<br />
Conférencière Dre Katya Archambault, DMD<br />
Date Samedi 19 octobre 2013, <strong>de</strong> 9 h à 12 h<br />
Titre « Stratégies nancières liées à l’incorporation <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ntistes »<br />
Conférencier<br />
M. Pier-Luc Lafontaine, CMA, MBA, comptable & gestionnaire nancier<br />
Cours réservé aux <strong>de</strong>ntistes<br />
Date Vendredi 9 novembre 2013, <strong>de</strong> 9 h à 15 h<br />
Titre<br />
« Formation en réanimation cardiorespiratoire (RCR-R/DEA) »<br />
Recerti cation (4 heures)<br />
Formateur À déterminer<br />
Date Vendredi 15 novembre 2013, 18 h à 21 h<br />
Titre<br />
« Impacts <strong>de</strong> plusieurs aliments, dont les boissons énergisantes, sur<br />
la santé <strong>de</strong>ntaire »<br />
Conférencier Mme Amélie Charest, nutrionniste, M.Sc., Dt.P.<br />
Date Samedi 16 novembre 2013, <strong>de</strong> 9 h à 16 h<br />
Titre « Que doit-on s’attendre <strong>de</strong> l’orthodontie ? »<br />
Conférencier Dr François Bérubé<br />
Date Samedi 23 novembre 2013, <strong>de</strong> 9 h à 16 h<br />
Titre « Le corps comme outil <strong>de</strong> travail. Comment l’entretenir ? »<br />
Conférencières M. Étienne Marchand, éducateur physique et relaxologue<br />
Date Samedi 30 novembre 2013, 9 h à 12 h 30<br />
Titre « Optimiser l’esthétique du sourire : un travail d’équipe »<br />
Dre Laurie St-Pierre, DMD, MSc<br />
Conférencier Dre Audrey Bellerive, DMD<br />
Dre Joanie Faucher, DMD, MSc, Cert. Perio., FRCD(C)<br />
38 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
automne hiver<br />
HIVER 2014<br />
Date Vendredi 7 février 2014, <strong>de</strong> 8 h 30 à 17 h<br />
Titre<br />
Conférencières<br />
31e Journée scienti que<br />
Dentisterie implantaire : options <strong>de</strong> traitement chez le patient<br />
partiellement et complètement é<strong>de</strong>nté<br />
Dre Joanie Faucher, DMD, MSc., Cert. Perio, FRCD(C)<br />
Dre Cathia Savignac, DMD, MSc, FRCD(C)<br />
Date Samedi 15 mars 2014, <strong>de</strong> 9 h à 12 h<br />
Titre<br />
« La gestion <strong>de</strong> ressources humaines; le ren<strong>de</strong>ment, la communication<br />
et la mobilisation d’équipe »<br />
Conférencière Mme Linda Mastrovito, psychothérapeute<br />
Date Samedi 22 mars 2014, 9 h à 15 h<br />
Titre<br />
« Formation en réanimation cardiorespiratoire (RCR-R/DEA) »<br />
Formation complète (5 à 6 heures)<br />
Formateur À déterminer<br />
Date Samedi 29 mars 2014, 9 h à 12 h<br />
Titre « Pharmacologie chirurgicale »<br />
Conférencier Dr Dany Morais, DMD, MSc, FRCD(c)<br />
Date Samedi 6 avril 2014, 9 h à 16 h<br />
Titre L’orthodontie. Titre of ciel à déterminer »<br />
Conférencier Dr François Bérubé<br />
Date Samedi 12 avril 2014, 9 h à 12 h<br />
Titre « La composite <strong>de</strong> A à Z »<br />
Dr Denis Robert, DMD, MScD<br />
Conférenciers Dre Cathia Bergeron, DMD, MS<br />
Dre Laurie St-Pierre, DMD, MSc<br />
Date Samedi 26 avril 2014, <strong>de</strong> 9 h à 12 h<br />
Titre « La vente/l’achat d’un cabinet <strong>de</strong>ntaire »<br />
Conférencier M. Pier-Luc Lafontaine, CMA, MBA, comptable & gestionnaire nancier<br />
Date Jeudi 9 mai 2014, 9 h à 16 h<br />
Titre « 8e Journée <strong>de</strong> la Recherche 2014 »<br />
Responsable Dr Mahmoud Rouabhia<br />
<strong>Faculté</strong> <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cine <strong>de</strong>ntaire
DENTISTERIE MULTIDISCIPLINAIRE*<br />
Durée du programme : 1 an<br />
Début : 1 er juillet<br />
Nombre <strong>de</strong> postes : 6 par année<br />
Date limite <strong>de</strong> <strong>de</strong>man<strong>de</strong> d’admission : 1 er octobre<br />
CHIRURGIE BUCCALE ET MAXILLO-FACIALE*<br />
Durée du programme : 5 ans<br />
Début : 1 er juillet<br />
Nombre <strong>de</strong> postes : 2 par année<br />
Date limite <strong>de</strong> <strong>de</strong>man<strong>de</strong> d’admission : 1 er septembre<br />
GÉRODONTOLOGIE*<br />
Durée du programme : 2 ans<br />
Début : session d’automne<br />
Nombre <strong>de</strong> postes : 2 par année<br />
Date limite <strong>de</strong> <strong>de</strong>man<strong>de</strong> d’admission : 1 er octobre<br />
PARODONTIE<br />
Durée du programme : 3 ans<br />
Début : session d’automne<br />
Nombre <strong>de</strong> postes : 2 par année<br />
Date limite <strong>de</strong> <strong>de</strong>man<strong>de</strong> d’admission : 15 septembre<br />
MAÎTRISE EN SCIENCES DENTAIRES AVEC MÉMOIRE<br />
Deman<strong>de</strong> d’admission acceptée en tout temps, selon la session ciblée.<br />
*Le ministère <strong>de</strong> la Santé et <strong>de</strong>s Services sociaux attribue au candidat admis à ce programme d’étu<strong>de</strong>s supérieures<br />
une bourse équivalente à l’échelle <strong>de</strong> salaire <strong>de</strong>s mé<strong>de</strong>cins rési<strong>de</strong>nts (environ 40 000 $ par année).<br />
www.fmd.ulaval.ca/superieures.html<br />
Étu<strong>de</strong>s supérieures<br />
Des programmes à l’avant-gar<strong>de</strong>!<br />
30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013 - 39
Merci à nos partenaires exposants<br />
®/MD<br />
40 - 30 e Journée <strong>scientifique</strong> — 15 février 2013<br />
®/MD