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Leçon 7 Sabbat 17 mai 2003
Le caractère d’Enoch
“Que le Dieu de paix vous sanctifie lui-même tout entiers”
(1 Thessaloniciens 5:23).
“Christ ne peut demeurer dans un cœur qui n’est pas purifié du péché. L’un ou
l’autre doit en être le maître.”–The Review and Herald, 3 octobre 1899.
Lecture proposée : Témoignages, volume 2, pages 394-400.
Dimaannche 11 mai
1. REFLETER JESUS
a. Qu’est-ce qu’Enoch montrait à ses contemporains ? Hébreux 11:5;
1 Pierre 1:15.
b. De quelle manière Enoch montrait-il le caractère de Christ ? Exode 34:6.
“Enoch parvint à une telle pureté de caractère que le Seigneur lui communiqua
sa volonté et lui révéla en vision les grands événements en rapport avec la seconde
venue de Christ. Il lui montra aussi la méchanceté qui prévaudrait juste avant la fin.
Enoch fut un fidèle prédicateur de la justice. Il chercha à détourner les hommes de
leurs transgressions de la loi pour les diriger vers une fidèle obéissance. Il marcha
avec Dieu pendant trois cents ans, donnant au monde le bon exemple d’une vie pure
et sans tache qui offrait un contraste marqué avec cette génération rebelle et entêtée
qui se vantait de son mépris ostentatoire pour la sainte loi de Dieu.”–The Review
and Herald, 29 avril 1875.
c. Quel autre personnage biblique eut une vie reflétant Christ ? Hébreux
11:4, 7-8, 13; Apocalypse 14:1.
“Nous pouvons posséder l’esprit qu’avaient Enoch, Joseph et Daniel. Nous
pouvons puiser notre force à la même source et parvenir à la même maîtrise de soi ;
les mêmes grâces peuvent rayonner de notre vie.”–The Review and Herald, 1 er
septembre 1885.
36 Leçons de l’école du Sabbat, 2e trimestre 2003
Luundi 12 mai
2. POUVONS-NOUS NOUS AUSSI REFLETER CHRIST ?
a. Comment est-il possible qu’une humanité pécheresse révèle Christ ?
Matthieu 5:16.
“Sans la grâce de Christ, le pécheur est dans une condition désespérée, on ne
peut rien faire pour lui. Mais par la grâce divine, une force surnaturelle est accordée
à l’homme, une force qui travaille dans son esprit, son cœur et son caractère. C’est
par cette grâce de Christ impartie que l’on discerne la nature haïssable du péché et
que le mal est finalement chassé du temple de l’âme. … La foi peut présenter la
parfaite obéissance de Christ à la place de la transgression et de l’apostasie du
pécheur.”–The Review and Herald, 4 novembre 1890.
“Quelle mère a jamais aimé son enfant comme Jésus aime les siens ? Le
Sauveur considère le caractère souillé avec un chagrin plus profond, plus aigu que
ne le ferait une mère. Il voit le châtiment futur qui sera la conséquence d’une
mauvaise manière de se conduire. Aussi, faisons tout ce qui est en notre pouvoir
pour les âmes négligées.”–Témoignages, volume 2, page 612.
b. Quand Christ peut-il être révélé par notre vie individuelle ?
1 Corinthiens 3:16-17; 2 Corinthiens 7:1.
“Christ ne peut demeurer dans un cœur qui n’est pas purifié du péché. L’un ou
l’autre doit en être le maître.”–The Review and Herald, 3 octobre 1899.
“Le peuple de Dieu doit être la lumière du monde. Nous devons rendre
manifeste par notre caractère et par notre vie ce que Dieu exige de l’humanité. Pour
y parvenir, nous devons recueillir les rayons de la lumière divine émanant de la
Bible et les laisser briller aux yeux de ceux qui sont dans les ténèbres. Christ doit
demeurer en nos cœurs par la foi afin que nous puissions connaître le chemin qui
monte au ciel et l’enseigner aux autres. «Ceux qui auront été intelligents brilleront
comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice à la multitude
brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité» (Daniel 12:3).”–Idem, 5
décembre 1912.
“Il est dans l’intention de Dieu que sa gloire soit révélée au monde à travers
l’homme ; mais seuls ceux qui se mettent en relation avec Dieu par Jésus-Christ
peuvent révéler la bonté et la fidélité dont Christ fit preuve au cours de sa vie.
Comme les sarments de la vigne sont unis au cep, de même les enfants de Dieu
seront unis et ne feront qu’un en Christ. Ils doivent révéler au monde le caractère de
Dieu. Ils doivent étudier les Ecritures dans le but de vivre la vie désintéressée de
Christ.”–Idem, 30 mai 1899.
Leçons de l’école du Sabbat, 2e trimestre 2003 37