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Mercredi 7 mai 4. OÙ PRIER a. La prière est-elle limitée à certains lieux et certaines positions ? Hébreux 12:28; Néhémie 2:3-4. “Dans les heures sombres ou de danger soudain, faites entendre votre cri à celui qui a promis de secourir ses fidèles enfants dans toutes les circonstances de la vie. Où que vous soyez, dans n’importe quelle condition, accablés par la tristesse et les soucis, assaillis par la tentation, trouvez l’assurance, le soutien et le réconfort dans l’amour indéfectible et la puissance d’un Dieu qui est fidèle à ses promesses.”–Prophètes et Rois, page 480. “O vous qui peinez sur les chemins rocailleux de la vie, vous qui êtes comme submergés par les difficultés, faites monter vos requêtes vers le Seigneur ! Il vous accordera son secours. Et vous qui, sur terre ou sur mer, êtes menacés d’un grand péril, confiez-vous en celui qui seul peut vous protéger.”–Idem. b. De quoi devons-nous nous souvenir au sujet de notre attitude quand nous sommes en prière ? Psaume 89:8; Proverbes 22:4; Esaïe 55:6. “Il y a là une leçon pour le peuple de Dieu d’aujourd’hui. Notre force spirituelle et notre influence ne sont pas augmentées par notre conformité à une attitude mondaine pendant la prière. En ces temps périlleux, ceux qui professent être le peuple qui garde les commandements de Dieu devraient se garder de la tendance à perdre l’esprit de révérence et de crainte pieuse. Les Ecritures enseignent aux hommes comment approcher leur Créateur avec humilité et crainte respectueuse par la foi en un divin Médiateur. Que l’homme, objet de la grâce de Dieu, vienne à genoux présenter ses supplications au trône de la miséricorde. Il montre ainsi qu’il est soumis à son Créateur corps, âme et esprit.”–The Review and Herald, 30 novembre 1905. “La véritable révérence envers Dieu est inspirée par le sentiment de son infinie grandeur et la conscience de sa présence. Notre cœur devrait en être profondément pénétré. L’heure et le lieu de la prière sont sacrés, parce que nous sommes en présence de Dieu. En manifestant de la révérence dans notre attitude et notre maintien, le sentiment qui inspire cette révérence gagne en profondeur. «Son nom est saint et redoutable», déclare le Psalmiste. Lorsque les anges prononcent ce nom, ils se voilent la face. Avec quelle révérence ne devrions-nous donc pas, nous pécheurs, articuler ce nom !”–Prophètes et Rois, pages 31-32. 34 Leçons de l’école du Sabbat, 2e trimestre 2003 Merrccreddi 14 mai 4. NOTRE VOCATION a. Que sommes-nous appelés à être et à faire ? 1 Pierre 2:9. “La religion de Christ illustrée par la vie quotidienne de ses disciples exercera une influence dix fois plus grande que le plus éloquent des sermons.”–Testimonies, volume 4, page 547. b. A qui pouvons-nous faire confiance pour orienter notre vie dans le bon sens ? Proverbes 3:5-6; Jérémie 10:23. “[Dieu] est assis sur son trône, dominant les agitations de notre planète. Rien n’échappe à son œil divin ; et du sein de son éternité majestueuse et sereine, il répand ici-bas ses bienfaits.”–Le Ministère de la Guérison, page 354. c. Si nous nous sommes décidés à vivre pour Christ, quelle est la description de notre devoir ? 2 Corinthiens 5:20; Romains 10:14-15. “Nous n’avons pas le droit de vivre pour nous satisfaire en esprit, en pensée, en parole ou en action. En tant que chrétiens nous avons des devoirs à accomplir en faveur des autres. Nous devons contribuer à accroître le bonheur de l’humanité. … En tant que représentants de Christ, nous devons apporter au monde une bien meilleure représentation de ce qu’est la beauté de la sainteté. Qu’est-ce que la sainteté ? C’est l’intégrité envers Dieu. Nos paroles, nos actions, le genre d’esprit dont nous faisons preuve est la manifestation extérieure et visible de ce qu’il y a à l’intérieur de nous-mêmes et démontre si nous possédons le vêtement de la justice de Christ, tissé sur les métiers du ciel, ou bien si nous sommes revêtus de notre propre habit de citoyen ordinaire. Nous devons témoigner devant le monde par nos actes extérieurs de l’influence de la vérité sur nos cœurs. Le monde observe notre vie, entend nos paroles, scrute et mesure notre caractère par ces signes extérieurs, et évalue la vérité à laquelle nous professons croire d’après ce que nous révélons de son action sur nous.”–The Review and Herald, 18 juillet 1893. Leçons de l’école du Sabbat, 2e trimestre 2003 39
Mardi 13 mai 3. UN MINISTERE DESINTERESSE a. S’agissant du but de sa vie, de quoi Enoch prit-il conscience ? Ephésiens 2:10; Psaume 86:12. “La religion entraîne l’homme dans une relation personnelle avec Dieu mais pas exclusivement car les principes du ciel doivent être vécus ouvertement afin qu’ils soient en aide et en bénédiction à l’humanité. Un véritable enfant de Dieu l’aimera de tout son cœur et son prochain comme lui-même. Il aura de l’intérêt pour son semblable. La vraie religion c’est l’œuvre de la grâce dans le cœur qui produit de bonnes œuvres comme une fontaine alimentée par des sources d’eau vive. La religion ce n’est pas seulement méditer et prier. La lumière chrétienne se répand en bonnes œuvres et c’est ainsi que les autres la reconnaissent.”–The Review and Herald, 18 septembre 1888. b. Comment cette attitude affecte-t-elle les devoirs pratiques de la vie ? 1 Corinthiens 6:19-20; 1 Pierre 2:12. “Peut-être, là où vous êtes, votre influence parlera-t-elle pour le Seigneur. C’est votre grand privilège, par la force de Christ, d’être victorieux sur les appétits et les passions de la chair. Enoch marcha avec Dieu pendant trois cents ans. Il était en harmonie avec la volonté du ciel. Enoch est un représentant du peuple qui doit être translaté de la terre. N’est-ce pas le moment pour nous de nous abandonner complètement à Dieu ? Nous devons rechercher sérieusement sa bénédiction, crucifier le vieil homme avec ses affections et ses désirs afin de répondre aux exigences de Dieu. Ceux qui ont reçu ses bénédictions ne cessent de le rechercher jusqu’à ce qu’ils aient la conviction d’avoir répondu aux conditions requises et qu’ils se sachent approuvés.”–The Review and Herald, 12 mars 1889. “La vraie piété est communicative. Le psalmiste dit «Je ne retiens pas dans mon cœur ta justice, je publie ta vérité et ton salut ; je ne cache pas ta bonté et ta fidélité dans la grande assemblée” (Psaume 40:11). Là où il y a l’amour de Dieu, il y a aussi le désir de l’exprimer. … Ce fut au travers d’un conflit permanent et d’une foi simple qu’Enoch marcha avec Dieu. Nous pouvons tous faire de même. Nous pouvons être totalement convertis et transformés, être vraiment des enfants de Dieu et prendre plaisir non seulement à connaître sa volonté mais à conduire les autres, par notre exemple, sur le chemin de l’humble obéissance et de la consécration.”–Idem, 22 juin 1886. 38 Leçons de l’école du Sabbat, 2e trimestre 2003 Jeudi 8 mai 5. POURQUOI DOIS-JE PRIER ? a. Quelle est la raison la plus profonde justifiant la prière ? Philippiens 3:10. “C’est une chose merveilleuse qu’il nous soit donné de prier efficacement, que des mortels indignes et sujets à l’erreur puissent présenter leurs requêtes à Dieu. Quelle puissance plus grande pourrait-on désirer que celle de se trouver en relation avec le Dieu infini ? L’homme faible et pécheur a la prérogative de parler avec son Créateur. Nous proférons des paroles qui atteignent le trône du Monarque de l’univers. Nous pouvons parler avec Jésus tout en cheminant, et il nous dit : Je suis à ta droite.”–Le Ministère Evangélique, page 251. b. Quelles sont les autres raisons de prier ? Jean 10: 4-5; Esaïe 40:31. “Le Seigneur ne nous écoutera pas si nous conservons de l’iniquité dans nos cœurs. … Lorsque nous venons à lui, nous devrions demander d’adhérer à ses desseins et de les accomplir et que nos désirs et nos intérêts se confondent avec les siens.”–Testimonies, volume 2, page 148. “Si nous voulons croître en Christ notre chef vivant, nous devons faire de la prière une nécessité quotidienne, non seulement dans notre chambre, mais également au sein de la famille. C’est parce que nous prions si peu que nos prières ne sont pas plus ferventes et intelligentes. Par la prière nous communions avec Dieu et apprenons à le connaître.”–The Signs of the Times, 5 mars 1885. “Avant de nous mettre au travail de chaque jour, nous devrions nous approcher de Dieu afin de parler avec celui que nous aimons et respectons et de réclamer son aide, non seulement pour nous-mêmes mais pour les autres. Il lui plaît de nous voir venir à lui pleins de confiance réclamant la grâce de la victoire.”–Idem, 28 octobre 1903. Vennddrreedi 9 mai REVISION ET SUJETS DE REFLEXION 21 h 15 1. Pourquoi est-ce un privilège de parler avec Dieu ? 2. Que devriez-vous vous rappeler lorsque vous voulez prier ? 3. Comment est-il possible d’être continuellement en prière ? 4. Où peut-on prier ? 5. Comment la prière peut-elle devenir une partie importante de votre vie ? Leçons de l’école du Sabbat, 2e trimestre 2003 35
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