Le diable en gris - Free
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35 — Je suppose que je peux être reconnaissant d’une petite grâce, déclara Cab. — Oh, vraiment ? Et qu’est-ce que c’est ? — Pendant tout le temps où vous avez omis de vous présenter au commissariat, je n’ai pas éternué une seule fois. Ce n’est pas au myrte que je suis allergique, mais à vous. Decker ne sut pas quoi répondre à cela. Cab ouvrit la chemise posée sur son bureau devant lui et l’examina un moment. Puis il dit : — Reine Aché vous avait accompagné de son plein gré à la gare de Main Street ? — Oui, capitaine. Aucune contrainte n’a été exercée. — Et elle a été mutilée et finalement décapitée par votre suspect numéro un, dont vous avez réussi fort opportunément à ne pas me dire le nom, la dernière fois que nous en parlions ? Devant vous, et devant le sergent Hicks et sept officiers de police ? — Oui, capitaine. — Vous avez une idée de ce que vont être les répercussions politiques de ce meurtre ? Enfin, est-ce que
vous en avez la moindre idée ? Nous n’en avons pas encore informé les médias, mais je vous parie que, dans moins d’une heure, quelqu’un des Eguns va protester publiquement. Mme Honey Blackwell va nous accuser de tout, depuis la mise en danger délibérée de la vie d’une personne jusqu’à un racisme institutionnalisé. » Indépendamment de ce fait, Decker, où en êtes-vous avec cette putain d’enquête ? Le chef par intérim me téléphone toutes les cinq minutes pour me crier après et le Times-Dispatch a commencé à nous appeler « les superbes empotés de Richmond ». —Euh, capitaine, vous devez comprendre qu’il s’agit d’une affaire très inhabituelle. Bien plus complexe qu’elle n’en donne l’impression à première vue. Cela va demander de la patience, et de l’imagination, et encore de la patience. — Mais vous avez un suspect numéro un ? — Absolument. — Alors… Qui est-ce ? — Je préférerais ne pas vous dire son nom, monsieur. C’est trop tôt. —Je suis votre capitaine, Decker. — Oui, monsieur. Mais je pense vraiment que cela compromettrait mon enquête si je vous révélais son identité avant que je joue mon coup final. — Oh, vraiment ? Et pour quelle raison ? — Parce que (a) vous ne me croiriez pas, et parce que (b) vous ne pourriez pas approuver officiellement ce que j’ai l’intention de faire afin de le stopper.
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vous <strong>en</strong> avez la moindre idée ? Nous n’<strong>en</strong> avons pas<br />
<strong>en</strong>core informé les médias, mais je vous parie que, dans<br />
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personne jusqu’à un racisme institutionnalisé.<br />
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Times-Dispatch a comm<strong>en</strong>cé à nous appeler « les<br />
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— Alors… Qui est-ce ?<br />
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C’est trop tôt.<br />
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— Parce que (a) vous ne me croiriez pas, et parce que<br />
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