Le diable en gris - Free

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25.06.2013 Views

moi, toi, et ton braquemart. —J’ai cru voir quelque chose, c’est tout. — Oh, allons, tu es fatigué et tu es surmené. Tu as besoin d’une bonne cuisine familiale. Sur ce, elle fit lentement pivoter ses hanches, à maintes reprises, et pressa ses seins dans ses mains comme si elle les soupesait et vérifiait qu’ils étaient mûrs. Decker essaya de se remettre dans l’ambiance mais il commença à débander. Au bout de quelques minutes, Maggie fut obligée de descendre de lui. Elle saisit son pénis et l’agita d’un côté et de l’autre. — C’est quoi, ça ? demanda-t-elle d’un ton espiègle, mais visiblement frustrée. Je n’ai pas commandé une anguille ! Decker ne répondit pas. Il s’extirpa du lit et alla, nu, dans la cuisine où il avait laissé son étui d’épaule suspendu au dossier d’une chaise. Il prit le colt et se dirigea vers la porte de derrière. Il secoua la poignée mais la porte était fermée à clé. Maggie sortit de la chambre. — Decker, mais qu’est-ce qui te prend, mon chou ? Il n’y a personne ici, à part nous en train de forniquer. Il passa près d’elle et alla dans le séjour, avec son canapé en cuir blanc, sa table basse ornée de dorures et son immense lithographie représentant un coucher de soleil orange. Personne ici. Personne de visible, en tout cas. —Allons, fit Maggie d’un ton cajoleur. Reviens te coucher

et envoyons-nous en l’air ! Decker la suivit à contrecœur dans la chambre. La maison était silencieuse, mais il était certain d’entendre le plus léger des picotements, comme si quelqu’un ou quelque chose allait d’une pièce à l’autre et dérangeait les molécules dans l’air. Il ouvrit les portes de la deuxième et de la troisième chambre à coucher, ainsi que le débarras, mais il n’y avait personne, là non plus. Personne de visible. Ils grimpèrent de nouveau sur le lit aux draps froissés, et cette fois Maggie s’allongea sur le dos. Elle saisit le pénis de Decker, le glissa entre ses seins, et l’étira comme si c’était un berlingot à l’eau salée. Puis elle comprima ses seins l’un contre l’autre. — Deuxième plat. Blancs de caille farcis. Elle émit son rire rauque et salace. Decker se mit à bouger sur elle en un lent mouvement de va-et-vient, et son sexe commença à durcir de nouveau. Maggie leva les yeux vers lui, avec ce sourire sexuellement lumineux sur son visage, et fit osciller ses seins dans le sens contraire avec ses mains de telle sorte qu’elle le massait avec sa chair chaude et couverte de sueur. — Tu es le coup du siècle, Decker. Pas de problème. Tu me fais jouir, c’est pas croyable ! Decker commença à sentir le ressort d’horloge se tendre entre ses jambes. Maggie redressa la tête et, chaque fois que son pénis apparaissait entre ses seins,

et <strong>en</strong>voyons-nous <strong>en</strong> l’air !<br />

Decker la suivit à contrecœur dans la chambre. La<br />

maison était sil<strong>en</strong>cieuse, mais il était certain d’<strong>en</strong>t<strong>en</strong>dre le<br />

plus léger des picotem<strong>en</strong>ts, comme si quelqu’un ou<br />

quelque chose allait d’une pièce à l’autre et dérangeait les<br />

molécules dans l’air. Il ouvrit les portes de la deuxième et<br />

de la troisième chambre à coucher, ainsi que le débarras,<br />

mais il n’y avait personne, là non plus.<br />

Personne de visible.<br />

Ils grimpèr<strong>en</strong>t de nouveau sur le lit aux draps froissés, et<br />

cette fois Maggie s’allongea sur le dos. Elle saisit le pénis<br />

de Decker, le glissa <strong>en</strong>tre ses seins, et l’étira comme si<br />

c’était un berlingot à l’eau salée. Puis elle comprima ses<br />

seins l’un contre l’autre.<br />

— Deuxième plat. Blancs de caille farcis.<br />

Elle émit son rire rauque et salace.<br />

Decker se mit à bouger sur elle <strong>en</strong> un l<strong>en</strong>t mouvem<strong>en</strong>t de<br />

va-et-vi<strong>en</strong>t, et son sexe comm<strong>en</strong>ça à durcir de nouveau.<br />

Maggie leva les yeux vers lui, avec ce sourire sexuellem<strong>en</strong>t<br />

lumineux sur son visage, et fit osciller ses seins dans le<br />

s<strong>en</strong>s contraire avec ses mains de telle sorte qu’elle le<br />

massait avec sa chair chaude et couverte de sueur.<br />

— Tu es le coup du siècle, Decker. Pas de problème. Tu<br />

me fais jouir, c’est pas croyable !<br />

Decker comm<strong>en</strong>ça à s<strong>en</strong>tir le ressort d’horloge se<br />

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