Le diable en gris - Free

et maintenant.
Sans un mot de plus, elle prit son pénis et le guida en
elle. Elle était très humide, mais il sentit néanmoins que les
muscles de son vagin l’agrippaient en rythme, aussi
fermement que des doigts. Elle commença à se soulever
et à s’abaisser lentement sur lui. Parfois, elle se soulevait
si haut qu’il était sur le point de glisser hors d’elle, puis elle
abaissait ses hanches de nouveau, et il avait l’impression
de pénétrer son âme aussi bien que son corps.
Elle se mit à fredonner, comme elle le faisait souvent
lorsqu’elle était excitée. C’était un fredonnement bas,
hypnotique, comme un spiritual, et Decker constata qu’il se
détendait peu à peu. Maggie souriait d’un air rêveur, ses
seins dansaient leur propre mérengué, et il y avait ce «
slurp, slurp, slurp » persistant et lascif tandis qu’elle se
soulevait et s’abaissait sur lui.
— Personne ne sait… les sensations que tu me
donnes… Oh Seigneur personne ne sait… combien tu
t’enfonces profondément en moi…
Puis quelque chose traversa la chambre en scintillant,
juste derrière elle. Ce fut si rapide que Decker ne vit pas
ce que c’était. Cela ressembla à une ondulation dans l’air,
qui déforma momentanément le motif sur le papier peint. Il
empoigna les cuisses de Maggie pour la faire cesser de le
chevaucher, et il redressa la tête.
— Qu’est-ce que tu as, mon chou ? Quelque chose ne va
pas ?
— Il n’y a personne d’autre dans la maison, hein ?
— Pourquoi dis-tu cela ? Bien sûr que non. Il y a juste