Xerox Recherche Centre Europe - Melissa contu graphiste en haute ...

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Mélissa Contu
supcréa-infographie 2003/2004
Projet : XRCE (Xerox Recherche Centre Europe)
N°1

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Mélissa Contu
7 Juin-30 Juillet 2004
Supcréa
Tuteur : Laurence Payan
Maître de stage : Irene Maxwell
Projet : XRCE (Xerox Recherche Centre
Europe)
Je voudrais remercier, tout d'abord, Irene Maxwell, directrice de communication
et son assistante Claudia Heyer pour m'avoir permis de réaliser
cette aventure au sein de Xerox, ainsi que toute l'équipe de XRCE
pour son accueil.
J'aimerais également remercier toute l'équipe pédagogique, ainsi que
toute l'équipe administrative pour leur encouragement, leur confiance
durant l'année.
Je remercie mes camarades pour leur présence, en particulier Cécile,
Olivier, Rachelle, Raphaêl et Julian.

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24 ANS
Personne affirmée, ma venue à Surpcréa n’est pas un hasard.
Dessinatrice engagée au lycée, mon goût pour les arts graphiques s'est accru.
J'ai recherché jusqu'à présent différents modes d'expression : le dessin,
l'écriture, la danse, la création de décor de scène. Il manquait à ma palette,
la connaissance et la maîtrise de logiciels graphiques.
A l'obtention d'un bac littéraire axé sur les arts plastiques, j'ai dû,
pour des raisons personnelles, laisser de côté mon ambition de devenir
infographiste. Travaillant sans relâche, exerçant différents métiers, j'ai pu
déposer une demande de congé individuelle de formation (CIF), (Cf : lexique, fin de
mémoire) et réaliser mon entrée à Supcréa.
Une nouvelle porte s'ouvrait à moi, un nouvel univers très enrichissant,
des personnes encourageantes, m'ont permis de me dépasser dans mes
réalisations, de développer mes envies.
Présentation du stage
Après une première expérience professionnelle
en milieu d'année, chez Minh Tran, artiste, graphiste
indépendant sur Annecy, spécialisé dans le domaine
cultureI ; j'ai trouvé un stage au sein du
groupe XRCE, le centre de recherche européen
de Xerox, du 7 Juin au 30 Juillet 2004.
Ce stage avait pour but d'intégrer et d'appliquer
mes connaissances graphiques et celles en
PAO, à une méthodologie, à des besoins réels
auprès d'une structure professionnelle. J'ai trouvé
ce stage suite à une demande de stagiaire
en infographie, déposée par Irene Maxwell :
Elle recherchait une personne créative ayant
une maîtrise des logiciels en PAO, pour réaliser,
principalement, des illustrations de logiciels
créés par les chercheurs du centre. Ces visuels
avaient pour but de présenter les travaux
de ces scientifiques sur le site de Xerox et lors
des communiqués de presse.
Ce stage était pour moi l’opportunité d'appartenir
à un groupe mondialement connu. Pour ce faire,
j'ai réellement dû endosser la blouse de graphiste,
avec ce que cela implique de responsabilité et
de sérieux. Une opportunité non négligeable
pour comprendre les rouages de la création
visuelle et les difficultés du terrain.
Les travaux réalisés durant cette période
m'ont demandé une grande implication en
terme de réflexion : Je devais analyser les travaux
des chercheurs, comprendre leurs fonctions,
les procédés utilisés à partir de notes en
anglais, afin de les traduire en terme d'images
pouvant être comprises par tous publics. Ce
stage était, d'une part, une manière de faire
face et de synthétiser concrètement un an
d'apprentissage théorique, et d'une autre part,
de tester mes connaissances de la langue
anglaise, plus pratiquée depuis quatre ans.
Ainsi par cette épreuve, j'ai testé mon
potentiel créatif et mes connaissances techniques.
J'ai su me prouver mon engagement
au sein d'une telle société, mon autonomie à la
réalisation de projets, et démontrer ma rigueur.
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L'univers de Xerox
La société Xerox a vu le jour, à partir d'une invention,
crée en 1938 : La Xerographie, procédé d'impression
à sec basé sur la propriété qu'ont certains
corps chargés d'électricité de devenir sensibles à la
lumière.
La société Haloid qui prendra le nom de Xerox
(signifie écriture à sec en grec) en 1961, achète
les droits. Puis en 1956, Rank Xerox Ud a été créée.
Une collaboration est établie entre The Haloid
Company et The Rank Organisation Place. Dès lors
Rank Xerox commercialise en Europe.
En 1997, Xerox rachète les parts de Rank Organisation.
Xerox a su ainsi se développer et cette société évoque
aujourd'hui un groupe international, présent dans
le monde à travers des usines, des filiales de fabrication
et d'assemblage, des filiales de commercialisation et
des centres de recherches.
En soixante ans, Xerox s'est imposé comme le groupe
ayant la connaissance la plus approfondie et l'activité
la plus étendue dans le domaine du document.
Xerox possède à sa tête Anne Mulcahy, femme
moderne de caractère, qui dirige un empire mondial
de 61100 salariés, dont 15000 en europe, à la fin de 2003.
L'entreprise est parvenue à réaliser à cette période
un chiffre d'affaire de 15,7 billion de dollars.
Ceci n'aurait pas été possible sans le groupe XIG
(Xerox Innovation Group) dont le siège sociale, situé à
Standford, regroupe tous les centres de recherche et
d’exploitation, ainsi que la propriété intellectuelle.
Ce dernier est le principal centre de recherche et
de développement dirigé par Hervé Galaire qui est
responsable de six centres de recherches dont celui
XRCE, unique en Europe. Il accorde les projets et
les budgets. Il supervise les recherches, veille à leur
évolution. Il visite aussi, régulièrement tous les centres.
Par conséquent, il est une personne importante et
respectée par les personnes de XRCE.
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Le centre XRCE (Xerox Reshearch Centre Europe)
XRCE est l'unique centre de
recherche de France et d'Europe
constitué de nombreux groupes
de chercheurs.
Ce centre, créé en 1993, placé
au coeur du parc de Maupertuis,
offre un environnement de travail
très agréable : Une partie des bureaux
sont au château sur trois étages,
tandis que le reste se trouve au quartz
(bâtiment dont l'architecture ressemble
à l'école de commerce de Grenoble).
Ce centre dirigé par Monica
Beltrametti, conçoit des technologies
pour le développement et
le traitement du documents.
Il regroupe 85 salariés, de seize
nationalités différentes, répartis en
différentes équipes, dont :
Software development and
engineering, groupe dont le travail est
de développer les prototypes de
recherches pour le transfert aux
entités commerciales.
Intellectual proprety veillant à
protéger les droits des recherches,
à déposer les brevets.
Communication, chargée des
communiqués de presse et de la
communication interne au centre.
Showroom, endroit unique en
Europe et en France pour découvrir
les prototypes de Xerox. C'est un support
de vente pour les commerciaux
de Xerox qui y amènent, leurs meilleurs
clients, afin de renforcer leurs rapports
avec l’entreprise.
Le lab (laboratry) comprenant
cinq groupes de recherches dont :
Image processing dont
la mission est d’améliorer le
traitementde l'image directement sur
les programmes des appareils
numériques.
Document structures,
travaillant sur l'amélioration à la transformation
et à la conversion des documents.
Content analysis, dont
le travail consiste à faire reconnaître aux
programmes le plus de mots, pour
que le rendu des informations soit
des plus précis.
Le centre de recherche XRCE, et son showroom
Work Practice Technology,
groupe de sociologues, étudiant
les besoins des clients de
Xerox, et tentant de trouver de
nouveaux concepts pour répondre
à leur demande.
Parsing and semantics, dont
la fonction est d’améliorer le traitement
du langage naturel pour les applications
du texte (traduction, recherche
d’information ...).
Petites infos
Dépendant de XIG, ce centre XRCE doit faire part de ses performances
chaque année et les chercheurs doivent communiquer l'état d'avancement
de leurs projets (project preview).
D’autre part, XRCE étant un centre de recherche, les normes ISO
ne concernent pas tout le centre. Il en existe seulement au niveau de
la sécurité et de la comptabilité, ainsi que pour les productions de Xerox,
dépendant d’ISO 14001. Ces rendus sont transmis à Xerox France.
Etant sur le territoire français, bien que le centre de recherche appartienne
à une entreprise américaine, XRCE dépend de la législation française
et doit donc répondre de ses normes à Xerox France S.A.S, (Société
Anonyme Simplifiée), apportant comme toutes structures
de Xerox, ses capitaux à l'entreprise.
Cette structure, située à Paris, rémunère les salariés d'XRCE. Le salaire qui est
versé à chaque employé, est déterminé par poste, niveau d'étude et
dépend de la somme affectée au groupe.
L'entreprise et moi
Durant mon stage à XRCE,
j'ai été encadrée par Irene
Maxwell et son assistante
Claudia Heyer qui partageait
son bureau avec moi.
Le premier jour à XRCE,
après m'avoir remis un badge
pour circuler librement, on m'a
fait signer des contrats de
confidentialité sur le secret
professionnel et sur l’abandon
de mes droits à l’image. Puis
pour travailler dans les meilleures
dispositions, on m'a fourni
téléphone, PC, avec le logiciel
Illustrator 9 et Photoshop CS,
acheté à mon attention.
Quelques jours plus tard,
j'ai été invitée à mon premier
“General Meeting” qui était
aussi surprenant qu'intéressant.
Lors de cette réunion, Irene
Maxwell m'a présenté :
Dans une grande salle du
château, toutes les équipes du
centre ainsi que sa directrice
étaient réunis. On a projetté
sur l'écran ma photo en gros
plan. Je me suis levée, comme
demandée pour que ma maître
de stage, en l'occurrence
Irene Maxwell me présente.
Gênée, je restais figée et sou-
riais à toutes ces personnes
me dévisageant, qui m’applaudissaient
en me souhaitant
"Welcome".
Tout cet univers m'était,
avant cette expérience complètement
inconnu. J'étais
impressionnée par l'entreprise,
le cadre, son sens de la hiérarchie
et son dynamisme. Cependant,
les employés du centre m'invitant
à les tutoyer, je me suis sentie
très vite à l'aise et j'ai adopté
le rythme de la société.
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Parmi tous les travaux réalisés, les trois projets que je vais vous présenter
sont tous destinés au Web avec la finalité d'être imprimés. L'intérêt de
la présentation de ces trois travaux vient du fait qu'ils représentent trois
types de communications visuelles bien distincts, auxquels sont confrontés
fréquemment les graphistes. A savoir, la communication de sensibilisation
(couverture pour le projet TCO), la communication d'identité (logos pour
le centre XRCE et ses différents groupes de recherches), et la communication
de présentation (illustration du logiciel Categoriser et deux planches
de recherches de deux autres logiciels). Chacun des projets évoque
donc un aspect du graphisme qu’il me semblait intéressant d’analyser.
Après communication par intranet d'une liste d'images
à traiter, j'ai organisé mon temps de travail par demi-journée.
Le matin, j'analysais les travaux des chercheurs. L'après midi,
je développais des idées afin de les présenter à Irene Maxwell et
au chef du projet en question. Une fois que j'avais leur approbation
sur l'idée, je la réalisais, et la leur montrait afin d'achever
les dernières modifications menant à son aboutissement.
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Elèments fournis et contraintes
Pour ce projet, le groupe Work Practice
a demandé à Irene Maxwell, que je réalise
la couverture pour leur projet TCO (Ownership and
Total Cost, Coût Total d’achat à l’entité commerciale
“Office”). Ce document était très
important pour eux, ils devaient le communiquer
à XIG, pour qu'il valide leur rapport et qu'il les
autorise à poursuivre leur projet.
Pour réaliser ce travail, Irene Maxwell m'a fait parvenir
par l'intranet leur rapport TCO, document
de quarante pages tout en anglais. Afin d’avoir
plus de renseignement et pour connaître plus
exactement leurs attentes, j'ai demandé un
entretien avec l'un des membres du groupe.
Après mon entrevue avec Antonietta Grasso,
chercheuse italienne, j’ai compris que TCO était
une étude sur le service après-vente (break-fix).
Le groupe Work Practice constatait une perte
de temps et d'argent importante dans le service :
les utilisateurs des imprimantes de Xerox perdaient
un temps considérable pour définir
la panne au téléphone avec le réparateur, et
par conséquent une importante somme d’argent.
C'est pourquoi, le groupe suggérait d'informatiser
l'imprimante déjà multi-fonction, de
la relier au Web, afin que l'utilisateur puisse de
lui même réparer la machine, en consultant
un service de dépannage sur internet.
Pour le développement de cette couverture,
le groupe désirait une illustration présentant un
côté humain, une facilité à la réparation,
à la compréhension de l'imprimante. Il désirait
également une image illustrant l’activité du groupe.
Méthodologies
Pour la réalisation de cette couverture,
j'ai d'abord recherché mes idées sur papier,
afin de trouver mes premières directions. Je m’apercevais
que ce procédé m'offrait plus de liberté
et me permettait de laisser cour à mon imagination.
Une fois l'idée trouvée et approuvée, je listais
les images dont j'avais besoin pour la concrétisation
de l’illustration. Ainsi très rapidement, je me rendais
compte de celles dont je disposais. Pour
cette demande, je préfèrais partir de photographies
afin d’offrir à l’illustration plus de réalisme.
La difficulté rencontré à ce sujet était de trouver
des images libres de droits de bonnes qualitées,
que je pouvais modifier pour mon usage.
Mes seules ressources à ma disposition étaient le
net, l’intranet de Xerox et un CD d’images libres
de droits appartenant à Irene Maxwell.
Sur internet, les images que je pouvais acheter
par le biais de l’entreprise (digitalvision.fr, corbis.com, ...),
étaient souvent réalisées avec une prise de vue
incohérente avec le projet.
Sur le site de Xerox, une bibliothèque d’images
de qualités contenait seulement les produits
de la société. Le CD de Madame Maxwell, quant
à lui, ne comprenait que des images dépassées,
présentant des bureaucrates dans des situations
professionnelles.
Toutes ces ressources ne me suffisant pas, ou
ne m’interressant pas, il me parressait plus économique
pour l’entreprise que je prenne moi-même
les photos. Pour mon organisation dans le traitement
et le développement de mon illustration,
j’étais dans l’obligation de réserver au préalable
l’unique appareil photo de l’entreprise en libre
service.
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Recherches
Pour mes recherches d’illustration, j’ai au départ griffonné des idées, fait quelques croquis de scénario et quelques
recherches d’idées sur internet
1 ère idée, un mécanicien virtuel, dans l'écran
de l’imprimante endomagée, communique
la solution à une personne réelle.
Pour le développement de mes
idées, je me suis au départ interrogée
sur la manière de présenter le service
informatique, remplaçant le service
après vente que nous connaissons tous
aujourd’hui. J’ai commencé par considérer
la demande de Work Practice, qui
désirait que je développe un aspect
humain à ce nouveau service. Par cet aspect,
je devais présenter une facilité d’exploitation,
de compréhension accessible à
tous, traduisant également une idée
d’innovation. Pour ce faire, j’ai établi
différents petits scénarios, à travers des
croquis. Pour la réalisation de ces derniers,
je me suis inspirée des films,
des livres de sciences fictions que j’avais
pu voir ou lire. Selon moi, ils traduisaient
la vision que nous avons d’un
univers idéal, ou des technologies futures
2 ème idée, projection en image d’un mécanicien,
dans notre univers, indiquant à un
utilisateur la procédure à suivre pour réparer
l'imprimante multifonction.
(voiture volante avec pilotage automatique,
ordinateur frôlant la perfection
humaine, en épousant nos caractéristiques...).
Je pensais que ces ouvrages
avaient pour certains inspirés de nombreuses
recherches, poussés au développement
de notre environnement
(design actuel de nos véhicules, ou de
notre mobilier...). J’ai donc pensé que
ce premier fil conducteur pour mes
idées, était la solution. Je dessinais
donc des personnages informatiques,
utilisant certains de nos aspects pour
communiquer avec nous. J’imaginais
qu’ils prenaient la forme humaine, nos
gestes, restant soit dans leur monde,
soit essayant de pénétrer dans le notre.
Le language que ces “êtres machines”
pouvaient utiliser pour communiquer
avec nous, et qui soit compris dans une
3 ème idée, main en code binaire sortant de
l’écran de l'imprimante muti-fonction, communique
l'outil à l'utilisateur (ambiance inspirée
de l’univers du film “Matrix”).
image, était à mon avis une action simple
de leurs mains, comme par exemple,
pour le projet, donner un outil pour que
l’être humain répare la machine.
En effet, selon le dictionnaire des symboles,
“la main est un emblème royal”
d’un instrument de maîtrise et du transfert
du savoir.
Par conséquent, dans le développement
de l’illustration pour le projet
TCO, il me semblait juste de présenter
un personnage virtuel, comme ci-dessus,
offrant l’outil ou la solution de réparation,
à l’homme, lui communiquant,
ainsi, son savoir par un simple geste de
la main.
recherche établie sur internet : image des
feuilles roulées en cône, qui forment un
instrument d’observation.
Pour l’image TCO, il fallait que je
détermine leur activité. Plus précisément
que je réfléchisse à quelles
étaient leurs actions pour mener à bien
leurs projets de sociologues développeurs
de technologies au sein de Xerox.
Trois termes les déterminaient :
observation, analyse, solution. En effet,
le groupe doit au préalable observer
les utilisateurs des produits Xerox, sans
les gêner à leur activité, analyser et
comprendre leurs difficultés pour
apporter la solution à leurs problèmes
d’utilisation.
Pour illustrer leur travail, j’ai tout
d’abord établi des recherches sur le
net, pour comprendre comment ces
trois termes apparaissaient aux yeux du
monde. En tapant dans “Google”, le
terme “observation”, j’ai trouvé un site
croquis illustrant l’activité du groupe observation,
compréhension et solution, par le
rapport à travers lequel la personne du
groupe Work Practice regarde
de la section design de l’école de
Havard, qui présentait l’expression par
un ensemble de papiers roulés en
cône, symbolisant ainsi la longue vue.
Cette idée me paraissait intéressante,
car l’équipe de Work Practice, après
leurs recherches, présentent leurs études
sous forme d’un rapport manuscrit.
Je pensais alors qu’ils pouvaient être
représentés par une personne du groupe
nous observant à travers leurs rapports
roulés comme une longue vue. J’ai
dessiné cette idée, je l’ai présenté avant
réalisation au groupe qui m’a donné son
accord avant exécution.
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Développement
Le 3 eme croquis présentant le programme résolvant le problème des utilisateurs, et celui illustrant l’activité de l’équipe,
ont été tous les deux retenus. Je me suis donc appliquée, dans un second temps, à les réaliser tous les deux.
Pour l’image du groupe Work Practrice, une personne
de cette équipe s’est prêtée au jeu de la photographie.
j’ai appliqué sur son image la couleur blanche,
symbole de sérénité et de discretion, valeur propre
au groupe lors de leurs enquètes. Je n’ai laissé
dans son autenticité que l’oeil obsvateur, visible à
travers son cône de papier. Ainsi traité, nous avons
plus l'impression d’apercevoir un oeil compatissant,
qu’un oeil aserbe.
Après avoir détouré les bras de deux personnes
photographiées, j’ai appliqué sur celui représentant
l’univers du web, une couleur noire , couleur du
fond d’écran du moniteur de l’imprimante multifonction.Je
lui ai, ensuite appliqué des lignes d’écriture
épousant la forme, le modelé du bras, des
doigts. Irene Maxwell ne voulant pas,pour finir des
codes binaires, j'ai dû à la place appliquer le mot
solution, à répétition, avec une typo simple et ronde,
la myriad, en vert folcotone, couleur se rapprochant du
vert fluo utilisé dans le film “Matrix”.
Corrections
Proposition
La couverture du projet TCO a été inspirée, pour sa
construction, de certaines affiches d’Otto Dix, partisant
du mouvement artistique “Nouvelle Objectivité”.
Les élèments de ses affiches se composaient de différents
plans verticaux, témoignant une cause à effet
des événements qu’il voulait présenter.
C’est de cette manière que cette proposition a été
construite. Elle est composée de trois élèments placés
dans une verticale, de manière chronologique : l’équipe
Work Practice en arrière plan, leur projet au second et
les logos au premier. En amont le groupe, son nom, et
son activité ont été placés pour présenter la base du
projets TCO. Par ces indications le groupe est mis
en avant, et démontre son efficacité tout en restant
discret. De ces indications s’écoule un filet rouge
Xerox (couleur appliquée à tous les élèments de la
société), indiquant la lecture à suivre pour cette image.
Ce filet aboutie, effectivement, à l’intitulé du projet, et
continue vers le logo des produits de la société, pour
s’arrêter au logo du centre XRCE.
Par ailleurs, le titre du projet, par sa position m’a
permis de cadrer l’oeil du spectateur sur la réparation,
principal objet de l’image.
Ainsi par cette ligne directrice verticale, les lecteurs
comprennent l’émetteur, son projet et le devenir de ce
dernier. La totalité du contenu de TCO était ainsi présenté.
Finalement, l’équipe de Work Practice a rejeté cette proposition, à cause de la couleur noire du fond
d’écran, et de la couleur verte de la typo, jugées trop “cliché”. Les membres du groupe préféraient
un bleu désaturé. D’autre part, l’imprimante déterminée par Irene Maxwell était trop ancienne pour le projet.
Ils ont donc choisi celle qui leur convenaient. Or, la machine ne possédant pas de moniteur, il a fallut lui
en appliquer un en photomontage. Les personnes de l’équipe ne voulaient également plus de l’image
présentant l’activité du groupe, tant qu’ils n’étaient pas sûres que leur projet soit validé par le centre XIG.
Sinon, ils aimaient l’ordre de la composition inscrit dans une verticalité, renforcé par le filet rouge,
le choix de la typographie Myriad, et les couleurs appliquées à cette dernière.
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Modifications
Le groupe Work Practice n’étant donc pas
d'accord, sur le choix de l'imprimante, j’ai opéré à son
changement. Je lui ai appliqué un moniteur trouvé
sur une autre imprimante par photomontage
sur le logiciel Photoshop, logiciel de traitement
d’image bitmap.
Ainsi, j’ai pu, par ce procédé, créer une présentation
d’un produit futur de Xerox.
Le groupe Work Practrice trouvant le traitement
du bras web trop agressif, la typo est passée
du vert vif à un bleu désaturé, pour finir
dans les tons violets. Cette dernière couleur
appliquée au membre me permettait dans l’image
finale, de désaplatir le bras en lui plaçant un
rectangle bleu transparant représentant l’écran
du moniteur, derrière l’avant-bras. Cette couleur
adoucissait ainsi l’image, tout comme la supression
de la couche noire. Cette dernière opération
m’a d’ailleurs permis de me rendre compte que
la masse musculaire n’était pas assez travaillée.
C’est pourquoi, j’ai rajouté quelques lignes
de typos, et modifié la graisse de certaines,
offrant ainsi plus de réalisme dans mon illustration.
Cependant, cela ne suffisait pas, il manquait
un détail : un corps à ce bras. J’ai donc fini par
réaliser un buste traité de la même manière que
le membre.
D’autre part, l’idée du don de l’outil ne me
satisfaisait plus, je ne voyais pas l’image de
compréhension mutuelle. J’ai donc proposé au
groupe que la main virtuelle se tende vers celle
de l’humain comme la main d’un ami qui nous
vient en aide. L’idée a séduit le groupe, elle leur
paraissait plus claire. J’étais satisfaite, il me
semblait que le groupe et moi-même, nous
nous comprenions également mieux.
de l’ancienne à la nouvelle imprimante
évolution du traitement du personnage du web
Proposition finale
Après plusieurs modifications, et diverses
propositions, ma présentation finale expose
une conciliation entre l’être humain et le service
de réparation informatisée, par de simples gestes,
des mains tendues allant se serrer.
Pour renforcer cette sensation de paix et
d’harmonie, j’ai choisi comme couleur de fond
à cette illustration, un bleu léger.
D’autre part, comme l’on m’a interdit d’utiliser
l’image du groupe Work Practrice pour
cette couverture, j’ai revu la construction de
mon image :
La nouvelle imprimante multi-fonction a été
placée dans les deux tiers de la page, présentant
ainsi simplement l’action des deux individus.
Une ligne de force verticale a été réalisée à
partir du placement des deux logotypes (logo)
qui m’ont été imposés par le service communication
de l’entreprise. Au lieu de les réfléchir
comme une contrainte, j’ai pensé à les utiliser
en atouts pour mon image. Ils m’ont permis en
les plaçant sur une ligne verticale de la même
couleur qu’eux, d’imposer un sens de lecture
à mon illustration, de haut en bas, présentant
ainsi l’aboutissement d’une idée en un objet concret.
Sur cette même ligne vient se placer le titre
du projet souligné de son slogan, situé
au dessus de l’imprimante, cadrant ainsi l’action
sur l’objet essentiel de l’illustration, la conciliation
de l’homme et de la machine.
L’image était aboutie, je ne devais plus
que respecter les dernières consignes : l’enregistrer
en JPEG, à 300 dpi et veiller à ce qu’elle
soit en A4.
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Synthèse
Je suis surprise que l’on m’aie demandé de mettre l’image en JPEG
sachant que l’ensemble du document sera sur le web en PDF.
Normalement, le format d’impression utilisé est l’EPS. Il aurait fallu la
mettre, donc en EPS pour créer ensuite un PDF. Cependant, je devais
répondre à la demande telle que l’on me l’a demandé, en fournissant en
plus l’image en EPS, au cas où, les personnes du groupe changeraient
d’avis.
Points positifs
J'ai éprouvé beaucoup de plaisir à réaliser
ce travail. J'étais heureuse de pouvoir appliquer
mes acquis, de me sentir utile pour l'aboutissement
d'un projet. J'étais satisfaite que Graham,
le chef du groupe que je n'avais pu rencontrer
le soit en retour.
Points négatifs
Il m’a semblé perdre du temps lorsque
je consultais le groupe : les goûts divergeaient
d’un sociologue à un autre, ils avaient parfois
du mal à se mettre d’accord. C’était mon premier
travail pour le centre, et à cause de
ces divergeances d’opinions, ce travail de conciliation
que je devais effectuer m’a paru laborieux.
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Elèments fournis et contraintes
Vers la fin de mon stage, Irene Maxwell m'a demandé de décliner
le logo du centre XRCE pour chacune des équipes, afin que
chaque groupe puisse les utiliser pour accompagner leurs rapports
de projet. En tant que directrice de communication, elle voulait
ainsi simplifier la communication autour des chercheurs, afin de
différencier leurs activités, de leur rendre leur individualité perdue,
lors de leur union à la firme mondial. Elle désire conserver l’appartenance
à Xerox, tout en individualisant les équipes. Je pense que
c’est une manière de demandé plus de reconnaissance de la part
de Xerox, situé au Etats-Unis.
Pour ce faire, elle m’a communiqué la charte graphique déterminée
par Xerox qui interdit toute modification de leurs visuels. J’étais
donc obligée de passer outre cette interdiction pour réaliser
ce travail. Selon Madame Maxwell, je devais lui ajouter des éléments
graphiques symbolisant les équipes, sans pour autant modifier
la base du logo. Je m’y suis donc exécutée en redoutant que
Xerox corporation (Xerox des Etats Unis) n’accepte pas ces petites déclinaisons.
Ce qui renforça ma crainte, c’est que Madame Maxwell m’a
demandé de tenir ce projet secret aux membres du groupe.
Méthodologies
Une zone de protection a été définie autour du logotype.
Elle correspond à un espace vierge et permet de
cadrer le logo dans une cartouche. La zone de protection
favorise la lisibilité du logotype et le préserve de
tout texte et/ou dessin, sans rapport avec le système
graphique établi.
Les typos Times Bold, Helvetica Bold, sont obligatoires
dans la composition de ce logo. Elles ont été
choisies pour leurs côtés modernes et classiques.
Pour la réalisation de cette demande, je me suis imposée
une forme de portrait chinois, d’interrogation sur la symbolique des
différents groupes, de ce qu’ils représentent au sein de l'entreprise.
Je leur associe forme, couleur d’après connotation de leurs principales
caractéristiques. Après analyse, je rassemble les associations
d’idées sous une forme, les dégageant visuellement. Je la dessine, la
propose à Irene Maxwell, la commanditaire, nous réfléchissons à ce
qu’il peut lui manquer. Ensuite, la forme enfin déterminée, je la réalise
sur Illustrator, logiciel traitant des images vectorielles. Puis par soucis
de rigueur, je teste le visuel pour être certaine que toutes les couleurs
apparaissent bien dans les mêmes tons sur chacune des imprimantes
où les documents du centre de recherche sont édités.
24

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Recherches
1 er étape du portrait chinois
recherche de la notion
de cube
2 eme étape du portrait
chinois
Ce centre de recherche prône avant toute chose l'innovation du document. Il doit sa renommée
à ses chercheurs, mais aussi, à son sens de l'organisation et à son respect de la hiérarchie.
En effet, j'ai pu remarquer durant mon stage que l’organisation du centre dépendait essentiellement
de sa hiérarchie. Les chercheurs proposent des idées à leur chef d’équipe ; qui les soumet,
à son tour à la directrice du centre. Ensuite, selon la décision de la directrice, Madame Beltrametti,
les idées sont présentées au centre XIG, qui donnera son accord dans le meilleur des cas et qui
décidera de l’organisation du projet.
C'est donc à partir de ces trois points essentiels, l'innovation du document, l'organisation et la
hiérarchie, que j'ai commencé mon portrait chinois. Pour chacune de ces notions, j’ai refléchi aux
formes que je pouvais utiliser, cercle, triangle, carré ... Le cercle est attribué à tous ce qui est naturel,
le triangle est lié à la porte vers le surnaturel et le carré, à tous ce qui est de l’ordre de la construction.
Comme l'organisation et la hiérarchie ne sont ni des notions naturelles, ni surnaturelles, mais
des notions enseignées afin de construire notre environnement de manière ordonnée, j'imaginais
que chaque équipe était une sorte de forme carrée, qui devait être bien rangée pour l'équilibre du
centre de recherche. J'imaginais ensuite, que les équipes étaient des pixels de couleurs différentes
qui contribuaient à l'efficacité de l'image du centre.
Par conséquent, je pensais représenter chaque équipe, sous forme de petits pixels, de carrés
colorés bien rangés formant une construction structurée, le centre XRCE.
Cependant, il me restait à trouver quelles couleurs appliquer pour chacunes des équipes.
Ne connaissant pas chacune d’entre elle comme Irene Maxwell, j’ai donc décider de consulter
cette dernière afin qu’elle m’oriente dans mes choix colorés, attribués de manière symbolique.
Recherche d’une gamme colorée
1
2
3
4
5
Après énumérations des différentes
équipes constituant le centre, munies
d’un pantonnier, Irene Maxwell et moimême
déterminions leurs couleurs :
Pour Document Structures, nous
avons accordé un bleu azur 1, symbolisant
la prise de distance, d’autonomie,
selon le Dictionnaire des couleurs de
notre temps, rédigé par Michel
Pastoureau. Et comme ce groupe cherche
à explorer les limites du langage
dans le domaine informatique, nous
trouvions que cette couleur lui correspondait
bien.
Pour Parsing and Semantics 2,
Madame Maxwell a déterminé un bleu
qu’elle aimait et qui possédait de belles
nuances, pouvant convenir pour le groupe
Parsing 3 et celui de Semantic, groupes souvent
perçus semblabes.
Puis pour le groupe de Machine
Learning, on a opté pour un vert tendre 4qui
plaisait à Madame Maxwell.
Elle ne désirait pas spécialement que
la couleur est une signification, une symbolique,
c’est pourquoi pour l’équipe de FST
6
7
8
9
10
(Finate State Technology) qui traduit le
langage en code informatique, un bleu turquoise
5 lui a été attribué.
Pour Imaging Processing, la couleur
jaune a été attribuée 6. Elle symbolise
la lumière, notion importante pour le traitement
d’une photo, objet d’étude de
ce groupe.
Puis j’ai soumis un bleu ciel 7 pour
le groupe Work Practice dont le travail
consiste à analyser les besoins des utilitaires
des produits de Xerox. Je trouvais que
cette couleur symbolisait une présence éloignée
qui encadre sans étouffer l’objet
qu’elle détermine.
Nous avons ensuite envisagé pour l’équipe
de SDE (Software Development & Engeering)
un orangé 8, couleur dynamique pouvant
convenir pour la programmation, travaillé
par le groupe avec efficacité et
rapidité.
Pour les équipes Technology
Showroom 9, Administration 10,
et CNS (Computer Network Support) 11,
souvent rattachées au groupe
C o m m u n i c a t i o n 12, nous avons
11
12
13
14
15
choisit différentes nuances de rouges,
couleur propre à la communication de
Xerox.
Puis pour Intellectual Proprety, nous
avons opté pour le gris 13, en référence
à la protection de la propriété intellectuel,
la matière grise de XRCE ; tandis que pour
l’équipe de SEE (Scientific Engeering
Excellence), groupe de professeurs hautement
reconnus, un vert léger 14, déterminant
une certaine préciosité, leur a été attribuée
par Madame Maxwell. En ce qui
me concerne, j’avais plutôt choisit un vert
kaki 15, couleur représentant la rigueur dans
le travail par excellence ; cette proposition
m’a été aussitôt refusée, car les personnes
du centre l’associaient trop à la couleur militaire.
C’est donc plus par une question de
goût que de symbolisme, que les couleurs
ont été déterminées pour chacune des équipes
du centre.
26

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1
Propositions
Après avoir déterminé les points essentiels pour ma déclinaison
du logo du centre, j'ai réfléchi à la place que j'allais leur accorder dans
ce visuel. Je voulais que chaque carré aie une place définie, que l'ensemble
ne dépasse pas du logo, mais qu'au contraire qu’il épouse
ses limites pour répondre à une structure. Pour cette raison, et selon
mes calcules de la place à utiliser, en haut, à droite, les carrés se sont
transformés en rectangles.
En accordant à chacun des rectangles une place bien précise,
j'ai désiré que les visuels, vus tour à tour, construisent la forme
du centre, dans l'inconscient du spectateur.
D’autre part la forme présentant le centre dans son ensemble
ne possède pas une base pleine, pour la simple et bonne raison,
que construite ainsi elle démontre que chaque élément à sa place veille
à son équilibre. 1
Sinon, le nom du groupe a été placé à côté de son rectangle coloré
afin que le spectateur identifie la couleur à son groupe, sauf pour
le logo du centre, qui serait alors surchargé de noms. La typo choisie
pour les noms est l’Helvetica Bold, celle que Xerox a determiné à tous
ses logos pour le nom de ses groupes. Ainsi une certaine homogénéité
par rapport à la charte graphique, est conservée.
28

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Corrections
Sur ces propositions, je n'ai eu aucune
critique de la part d'Irene Maxwell. Cependant,
connaissant la rigueur Xerox sur leur charte
graphique, je crains que cette commande que
l'on m'a faite, ne soit sujet d'une interdiction
d'utilisation. Par contre, il est vrai que je n'ai
pas modifié le logo, que j'ai respecté la zone
de protection de sa charte, j'ai juste réalisé une
déclinaison, à la demande de ma supérieure
hiérarchique.
Modifications
Dans un but et une logique professionnelle,
j'ai testé le logo d'XRCE, composer de ses rectangles
colorés, sur chaque imprimante du centre,
afin de posséder au final une bonne distinction
des couleurs et de ses nuances.
Car en effet, il est important de savoir, surtout
si l'on veut devenir infographiste, ou travailler
dans l'édition, que chaque imprimante ne possède
pas le même réglage, le même calibrage des
couleurs. C'est pourquoi, il est essentiel, surtout
lorsqu'on débute, de tester ses travaux sur différentes
imprimantes afin d'obtenir un résultat
quasi-optimal, chose que je me suis appliquée à
faire.
Par ailleurs, il est également important
de savoir, que tout les documents du centre sont
directement imprimés dans la société, que rien
n’est envoyé chez l'imprimeur. Chaque groupe
selon les locaux qu'il occupe possède une imprimante
différente, aux calibrages différents. Il était
donc important que les tirages de ces visuels
fonctionnent sur chacune d'entre elles.
D'autre part, ce projet étant tenu secret aux
yeux de toute personne du centre, mis à part
Madame Maxwell et Madame Heyer, j'ai été
contrainte de détruire toutes les impressions au
fur et à mesure.
30

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Synthèse
En ce jour, les propositions ne sont pas
encore validées. Elles seront sujets d’une
présentation aux groupes lors d’une réunion
organisée par Madame Maxwell. Si elle parvient
à les faire accepter à Xerox, lors d’un futur
communiqué de presse, les logos seront dévoilés
au public officielement.
Points positifs
Il était très intéressant de réfléchir à partir
d'une charte graphique, cela m'a permis de me
canaliser dans le développement de mes idées.
En veillant au rendu de l'impression, j’ai pu
appliquer les connaissances acquis durant
ma formation en cour de “suivi de fabrication”
qui consiste à veiller au bon développement
d’une idée à son état d’impression. Ce travail
m'aura en plus permis de prouver mon sens de
l'initiative et ma rigueur.
Points négatifs
Il est simplement dommage de n’avoir
aucune réponse des propositions de logos.
Irene Maxwell ayant tenu ce travail confidentiel,
je regrette de n’avoir pu avoir l’avis, les impressions
des groupes. Je reste un peu sur ma faim.
32

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Les travaux que l'on m'a demandé de réaliser ensuite, sont des images illustrant le fonctionnement
de programmes créés par différents groupes de chercheurs :
Categorizer, logiciel d'archivage de documents, dont le chef de projet est Eric Gaussier,
du groupe Content Analysis.
Image categoriser, logiciel de classification d'images dont le chef de projet est Chrys Dance,
du groupe Image processing.
Copy finder, programme permettant de trouver un dossier à partir d’un de ses documents,
lu par une imprimante reliée à intranet. Le chef de ce projet est Michel Gastaldo, appartenant au
groupe Software Development & Engineering.
La méthodologie utilisée, étant la même pour toutes ces images de programmes, j'ai donc
choisis de vous présenter en particulier un des logiciels et de vous faire découvrir les autres à travers
des planches de recherches, retraçant en image l'évolution des illustrations de ces logiciels.
L'image que j'ai décidé de vous présenter est celle du logiciel Categorizer.
34

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Elèments fournis et contraintes
Pour le logiciel Categorizer, comme pour tous les autres, la source
d'information disponible était des documents en anglais, expliquant
le fonctionnement et le principe du logiciel. Irene Maxwell restait à ma
disposition pour tous renseignements complémentaires, à causes des différents
termes techniques employés et difficiles de compréhension.
De nombreuses contraintes m’ont été imposées : réaliser une illustration
en très peu de temps, comprendre le fonctionnement et l’utilisation
du logiciel la veille pour le lendemain, et trouver plusieurs propositions à
présenter au chef de projet.
De plus, on m’imposait un format de 9 x 6 cm minimum, à 300 dpi,
en JPEG afin que l’illustration puisse être utilisée sur l’intranet de Xerox.
Méthodologie
Après consultation des informations misent
à ma disposition, j'ai commencé comme toujours
par des croquis. Je voulais que l’image transmette,
directement, par simple lecture, la fonction et
l'utilisation du logiciel. C'est de cette manière
que j'ai créé l’illustration, que j'ai commencé à
développer mes idées.
Recherches
1 er croquis de la classification par un
monde virtuel imaginaire.
2 ème croquis de classification plus accentué sur le programme
en lui-même, sur ses capacités, et son fonctionnement.
Pour le logiciel Categorizer, j'ai réalisé deux croquis :
Pour le 1 er , j'ai dessiné le CD de lancement du logiciel, sur lequel vivait un monde de lilliputiens
classant des dossiers et les retransmettant à un homme de notre monde. Je voulais ainsi présenter
l'intelligence artificiel, qui savait par elle-même classer des dossiers et les retransmettre facilement
à l'homme. Cependant la critique que je me suis faite, était qu'on ne comprenait pas assez
le monde du logiciel, cela me paraissait pour finir trop abstrait et farfelu. C'est pourquoi, je me
suis lancée sur un autre croquis.
Pour le 2 eme , je trouvais qu’utiliser le CD d'installation comme support de base était
une bonne idée. Il me semblait interressant qu'on comprenne aussi son fonctionnement en
déchiffrant son intérieur, ses composants, appliquant le processus de classification. Je trouvais
également important de développer les notions de fluidité, de rapidité, de dynamisme qui sont
essentiels à ce logiciel ; j'envisageais donc de créer un flou aux couleurs vives, sortant du CD et
partant de gauche à droite, direction d'avenir propice. Je prévoyais également que ce serait dans
cette matière que s'inscrirait le texte, accentuant ainsi le dynamisme de l'image.
Lors de la présentation des croquis à ma maîtresse de stage, la 2 eme proposition a été choisie,
elle aimait l'idée de fluidité, de rapidité tel que je la voyais. Cependant, elle avait du mal à se
rendre tout à fait compte du resultat, elle a donc voulu que je me lance dans la réalisation.
36

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Propositions
(1) Proposition avec la bande colorée, structurant l’image, et
imposant un sens de lecture.
Pour ce logiciel, j'ai d'abord réfléchi
à un univers. Comme couleur de fond,
un gris léger a été choisi comme symbolique
du quotidien, du rangement
dans lequel se développe un flou coloré,
vif, marquant ainsi le dynamisme,
la rapidité, la fluidité que ce logiciel peu
apporter dans le quotidien de la classification.
Puis sur Illustrator, logiciel vectoriel,
lles contours du CD d'installation
ont été dessiné en rouge Xerox
(couleur CMJN : C/0, M/92, J/75, N/0),
puisque c'est l'un des produits de la
société.
Ensuite des élèments graphiques,
issus d'images libres de droits, pouvant
illustrer les composants électroniques du CD
ont été ajoutés. Leur couleur est passée
du blanc au rouge afin d’unifier l’objet
en un prototype de Xerox, sur
Photoshop, car l'élément graphique
était une image bitmap. L’ensemble
des images ont été assemblées sur
Photophop, sous forme de calques.
J'ai disposé le CD d'application à gauche,
au centre, afin que le nom du CD
apparaisse en plein coeur du dynamisme.
Une bande colorée, dans les
(2) Proposition sans la bande, allègeant ainsi l’illustration.
mêmes tons que le flou directionnel,
chargée de composants électriques, a
été introduite afin de sturcturer le titre dans
l ' i m a g e 1 ,
et de guider l’oeil dans le sens de la
lecture. J'ai choisi pour le titre la typo
Sylfaen, pour ses empatements marquant
la rigueur propre à la classification.
Cette première proposition a été
dupliquée, afin d’être présentée sans la
bande colorée 2, car je supposais que
quelques personnes trouveraient cet
élément graphique un peu trop lourd
dans la composition de l'image.
Corrections
Lors de mon entretien avec Irene
Maxwell et Eric Gaussier, chef de ce
projet, j'ai obtenu des opinions divergeantes.
En effet, ma maîtresse de
stage préférait la version sans la
bande, car elle trouvait cet élément
trop lourd, tandis qu'Eric Gaussier tendait
plus vers la version avec la bande,
car il trouvait qu'au contraire, elle apportait
de la structure dans l'image. Finalement,
Monsieur Gaussier a eu le dernier mot.
Ensuite, tous deux voulaient que la
classification apparaisse plutôt dans le
dynamisme de l'image, dans la partie
floue aspirant à la vitesse, en corps de
caractère assez gros, pour que les
informations puissent être lues par les
internautes, à l'échelle la plus basse
pour cette image, c’est à dire 9 x 6 cm.
Dimension que lui attribue le groupe
communication, rédacteur des pages
de l’intranet. L’illustration devait être
de 300 dpi de résolution pour qu’à
l’impression la définition de l’image
soit de bonne qualité, et en GIF pour
être introduite dans la page web.
Ainsi par sa dimension et son format,
ce groupe espérait posséder une
image de bonne qualité pour le Web
comme pour l’impression.
D'autre part, Madame Maxwell et
Monsieur Gaussier ont décidé ensemble
des informations de classification, car
ils désiraient apporter à cette image les
dossiers montrant les travaux propres
à l'entreprise Xerox pour que l’internaute
soit renseigné implicitement sur
les activités du centre. De plus,
Madame Maxwell m’a demandé de
remplacer la typo Sylfaen par la typo
Myriad, afin d’unifier par ce choix
toutes les images de logiciels.
Cette première proposition a été
dupliquée, afin d’être présentée sans
la bande colorée, car je supposais que
quelques personnes trouveraient cet
élément graphique un peu trop lourd
dans la composition de l'image.
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proposition finale
Proposition finale
Comme demandé, j’ai opéré aux modifications souhaitées : la typo
du titre est passée en Myriad ; la classification des documents a été placée
dans le dynamisme de l’image, la partie flou, présentant ainsi sa rapidité
d’exécution. Il fallait veiller à ce que les informations soient lisibles,
à la taille minimum imposée, lors de l’impression. J’ai donc dû effectuer
plusieurs essais avant d’obtenir le résultat optimal.
Par contre, j’ai éprouvé quelques soucis sur Photophop, lors l’enregistrement
du document en GIF, à 300 dpi de résolution. En effet, après
enregistrement, le document à 300 dpi passait automatiquement à 72
dpi. Après une perte de temps considérable, a essayer d’effectuer l’opération,
j’ai fait appel à une personne de CNS, groupe du centre de recherche
veillant à l’entretien des machines informatiques. Après différents
tests, il m’ a expliqué que c’était un défaut de fabrications du logiciel.
Par conséquent, il ne me restait plus qu’à effectuer cette opération sur
Paint Shop Pro, logiciel également d’image bitmap, mais moins performant
que Photoshop, sur lequel l’opération était possible.
40

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Synthèse
Cette image est maintenant associée pour
les personnes du groupe, au projet Categorizer.
Le Showroom l’a réutilisée pour inviter les
clients de Xerox à une présentation des nouveaux
produits. L’image fait également partie
de l’intranet de XRCE.
Points positifs
Cette image a eu beaucoup de succès :
de toutes les images créées pour le centre, elle a
été la préférée de tous. En effet, contrairement
aux visuels existant dans le commerce pour ce
type de logiciel, cette création est apparue
simple et dynamique. Elle est pour les gens du
centre à l’effigie de leur devise, l'innovation.
Points négatifs
Il n'a jamais été aussi difficile pour moi de
prendre du recul par rapport à mon travail,
il me fallait souvent, un avis extérieur. Cependant,
j'ai appris à m'affirmer un peu plus, ce qui est
finalement positif.
42

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Pendant mon stage au centre de recherche XRCE, six illustrations de logiciels m’ont été
demandées pour retracer le mode de fonctionnement de ces programmes. C’est à travers l’analyse
des étapes réalisées pour l’illustration de Categorizer que je vous ai présenté la méthodologie
et le type de contraintes que j’ai pu rencontrer pour ce projet de mises en images de logiciels.
La démarche étant similaire avec les groupes du centre, c’est par l’intermédiaire de planches de
recherches que je vais vous présenter en image le développement d’autres illustrations de logiciels.
Etant sous secret professionnel, je ne pourrais vous présenter que deux logiciels qu’il m’a
été permis de vous dévoiler : Copy Finder et Image categorizer.
44

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Croquis de base, présentant
le processus de Copy
Finder. Une feuille est
analysée par le logiciel qui
consulte le réseau pour
trouver son document
source. Le document
trouvé, il est imprimé
dans son intégralité.
moteurs de recherches
connus, utilisés pour
retrouver le document
source dans le réseau.
Pour accompagner le projet sur le logiciel Copy Finder, l’équipe de recherche Software Development &
Engineering désirait une illustration du fonctionnement, et de l’applications de ce programme.
Ce logiciel prévu sur les futures imprimantes
multi-fonctions, munies d’un bras numérique,
trouve à partir d’une simple feuille scannée, le
document source, par l’intermédiaire des
moteurs de recherches tel que “Google”. Le
document retrouvé est alors, si on le désire,
imprimé ou consulté grâce à l’adresse http,
figurant sur le bras numérique.
A partir de ces informations fournies par le
chef de projet, Michel Gastaldo, les éléments
pour l’illustration ont été développés : l’application
du programme a été réalisée par un système
de transparence, pour nous dévoiler toutes
les étapes du projet en image.
documents utilisés pour
construire l’image :
imprimante de TCO,
dessinée pour dévoiler le
processus du logiciel, à
l’intérieur d’elle.
Moniteur, qui dans l’image,
symbolise le réseau.
Illustration finale à échelle réelle 9 x 6 cm, validée par le chef de
projet. Les traits de l’imprimante sont passés du blanc au noir pour
une raison de lisibilité, testée sur les différentes imprimantes de la
société
Evolution de l’image :
Les écrans sont traités en
transparence pour montrer
le réseau de recherche.
Une feuille de papier a été
créée, à titre d’exemple du
processus du logiciel. Un
flou blanc, dans l’imprimante
donne l’idée d’impression.
L’imprimante du projet TCO, dessinée, nous
dévoile par son traitement toute l’application
qui s’effectue à l’intérieur d’elle : nous pouvons
découvrir son décryptage des incriptions de la
feuille de papier qu’on lui a introduite, par son
laser rouge. Nous pouvons maintenant aussi
voir le cheminement de sa recherche dans le
réseau, son impression du document source
avec des traits de coupe, et l’indication de
l’adresse http, inscrite sur l’écran numérique.
Le réseau traité en transparence a été représenté par
une superposition d’écrans transparents avec les logos
des moteurs de recherches pour présenter l’idée que
cette recherche se poursuivait en d’autre lieu, non
forçément visible.
C’est dans une recherche de clarté et de
dynamisme, que cette image a été créée. Une
transparence, certes, mais visibles à l’échelle d’une
illustration de 9 x 6 cm.
46

stagesauv23.qxp 07/02/2008 20:42 Page 49
1
Croquis de base,
présentant le processus
d’Image categorizer :
une image est décomposée,
analysée, puis
classifiée, intégrée par
le logiciel.
Comme pour Copy Finder, l’équipe de recherches Image Processing désirait une illustration de
l’application du logiciel, Image categorizer, pour présenter leur travaux sur l’intranet de Xerox.
2
Image categorizer, comme son nom l’indique, est
un logiciel d’archivage d’images. Il a la particularité
de classifier une photographie, en décryptant
les élèments qui la composent.
Plus précisément, il classifie par exemple un
être humain photographié, en reconnaissant
les caractéristiques de cet être, inscritent dans
sa base de données, pour ensuite le répertorier
au dossier “être humain”. C’est à partir de ces
informations que l’illustration a été réalisée.
Comme ce logiciel a la particularité de
reconnaître aussi bien des êtres que des objets,
mon illustration présente la classification d’une
photographie d’une femme et celle d’un
crayon (élément de bureau choisi par Irene
Maxwell). Toujours dans l’interêt de la société,
je n’ai utilisé que des images libres de droits,
transformées pour mon usage personnel.
1- évolution de la
décomposition, de la
classification à partir
d’une image libre de
droits, qui représente la
classification de l’humain.
2- procédé identique à
la classification de
l’humain, concernant
cette fois un objet
Première proposition sur fond rouge de
la classification. Elle a été jugée trop
agressive.
Deuxième proposition avec fond blanc,
beaucoup plus sobre. La photo de la
femme étant jugée trop sofistiquée, on
m’a demandé de la “flouter.”
Dans l’illustration finale, le titre est passé de rouge/noir à
rouge/blanc, couleurs plus légères, représentant la facilité d’exécution
du logiciel. Les icônes des dossiers ont été rajoutées dans la
procédure d’intégration, pour qu’elle paraisse plus claire pour le
spectateur.
Illustration comportant les dernières
modifications. Le nom du logiciel, à
cheval sur la zone du programme et
celle de l’image, comporte deux couleurs,
pour montrer le passage du
monde réelle au monde informatique.
Dans l’illustration, les caractéristiques des
deux photos sont décryptées (cercles rouges,
couleur de xerox), puis reconnues (silhouettes
noires), et classifiées (logos rouges, symboles du
dossier “humain” et celui du “crayon”) dans le
CD d’installion du logiciel.
Image categorizer étant un logiciel classifiant
des images, le CD d’installation a été présenté
comme un oeil visualisant une image (flux gris,
couleur des photos), l’enregistrant dans le cerveau
sous forme de particules (pois gris).
L’illustration se lit de droite à gauche
afin de traduire l’assimilation de l’image par
le programme. C’est donc, et vous en conviendrez,
dans un soucis d’interprétation de signes, de
sens que l’illustration a été élaborée.
48

stagesauv23.qxp 07/02/2008 20:42 Page 51
Synthèse
Mes illustrations ont toutes été validées. Elles présenteront les travaux des chercheurs de XRCE,
et accompagneront leurs projets lors de leurs présentations aux grand public.
De plus, elles ont eu un bon retour, les personnes du centre de recherche les ont trouvées assez
explicites dans leurs représentations des logiciels.
Points positifs
Ces travaux m’ont permis de m’affirmer
tout en tenant compte des demandes, et des
contraintes qui m’ont été faites ou imposées.
Il était interessant de traduire graphiquement
des recherches scientifiques, souvent pensées
trop rigouseuses, trop mathématiques.
Points négatifs
Le format, 9x6 cm, déterminé par le groupe
communication, ne mettra pas les illustrations
en valeurs. Elles seront un simple aperçu sur le
travail des chercheurs.
D’autre part, il était assez difficile de travailler
sur la précision des logiciels à une taille
aussi petite ; comme vous avez pu le constater
sur les visuels des planches de recherches, où
l’image aboutie est imprimée à la taille réelle.
50

stagesauv23.qxp 07/02/2008 20:42 Page 53
J'ai trouvé cette expérience très exaltante car c'était la première fois que je travaillais dans un
groupe avec une telle notoriété. De plus, il était très enrichissant d'être confrontée à des chercheurs,
d'assister à leur potentiel d'innovation, de découvrir leurs projets, et de contribuer à leurs réalisations
en travaillant graphiquement leurs rendus.
Supcréa m’aura appris à être à l’écoute d’une demande, à canaliser mes idées pour y répondre,
tout en gardant mon originalité à partir d’utilisation d’outils informatiques.
Le bilan de mon stage est très positif car je pense avoir satisfait l'ensemble des commanditaires.
J'ai reçu de leur part de nombreuses félicitations. Madame Maxwell m’a d’ailleurs recommandée
auprès de diverses agences de graphisme. D’autre part, ma liste de commande s'est accrue, et
changeait de priorité d'exécution, tant la demande était importante. C'est pourquoi la durée de
mon stage m’est apparue finalement trop courte.
Je suis également satisfaite de savoir que la couverture pour le projet de TCO ai plu au centre de XIG.
L’image de Categorizer a été implantée au site interne de Xerox. L’image de Copy Finder,
tant qu’à elle, accompagne le projet pour une visite de presse. Et, j’ai appris, par Madame Maxwell
que mes autres visuels seront présentés en automne.
De par cette expérience, j'envisage maintenant de postuler dans l'une des entreprises dans
laquelle j'ai été recommandée ou de postuler pour le centre XRCE, si une place d’infographiste se
présentait.
52

stagesauv23.qxp 07/02/2008 20:42 Page 55
adresse http
calque photoshop
calibrage
charte graphique
CIF
couleur CMJN
document
dpi
EPS
General Meeting
GIF
graisse
Illustrator 9
image bitmap
> (hypertext transfer protocol) Protocole du transfert des données sur internet permettant l’archivage
des sites Web
> Le calque est un élément de photoshop qui vient se poser sur une image de fond. Cet élément
peut se superposer avec d’autres calques, créant ainsi un système de photomontage.
> Il permet de déterminer le profil colorimétrique d’un périphérique afin d’intégrer ces spécifications
dans un ensemble de production.
> Ensemble des lois et recommandations concernant l’utilisation d’un logotype et d’une identité
visuelle.
> Le congé individuel de formation est un droit obtenu par un salarié, cotisant pour l’organisme
lui permettant de suivre une formation continue. Il permet à ce salarié de se réorienter vers une
autre destinée professionnelle. En générale, pour obtenir un CIF CDD, il faut avoir travaillé
vingt-quatre mois minimum en cinq ans et quatre mois dans l’entreprise cotisant pour l’organisme
permettant la formation (ex d’organisme : FASTT, OPCA2...)
> Couleurs (Cyan, Magenta, Jaune et Noir) qui sont utilisées pour l’impression des images. En
effet, les pigments d’encre ne réagissent pas comme la lumière. Le mélange des encres rouge,
verte et bleue ne donne pas du blanc (comme le fait la lumière), mais du noir. Le CMJN est
donc obligatoire pour l’impression d’une image par un imprimeur. On appelle cela la séparation
en quadrichromie.
> Page numérique, feuille imprimée, papier numérique que Xerox essaie d’améliorer
> Dimension de la résolution de l’image exprimée par le nombre de pixels qu’elle contient sur
une distance donnée (dots per inch, en français points par pouce ou ppp).
> Format très utilisé en pré-presse (imprimeurs, photograveurs). Il est compatible avec les logiciels
de mise en page PostScript (XPress, PageMaker, InDesign) et pose très peu de problèmes
au flashage des films.
> Grande réunion mensuelle, organisée pour faire le bilan sur la société.
> Format uniquement destiné aux images pour Internet. Il est codé sur 8 bits, ce qui limite
l’image à 256 couleurs.
> C’est l’épaisseur du corps d’une lettre (ex : L et L, la graisse du 2ème “L”est plus importante car
elle est en bold).
> Logiciel de création graphique utilisant le principe des images vectorielles (cités
dans le lexique).
> C’est une sorte de mosaïque de pixels de tailles identiques, prenant une valeur de gris ou de
couleurs différentes.
image libre de droits
intranet
JPEG
logotype (logo)
moteur de recherches
normes d’ISO
Nouvelle objectivité
Paint shop pro
pantonnier
PAO
PDF
Photoshop CS
pixels
portrait chinois
résolution
suivi de fabrication
trait de coupe
typographie
vectoriel
> Images libres d’utilisation, sans droits d’auteurs. En général en vente sur Internet.
> Réseau local dont le serveur diffuse des informations sous forme de site web
> Format très utilisé pour les images Internet et pour l’archivage. C’est un format de compression
destructrice, qui permet de réduire de façon significative le poids du fichier.
> Représentation graphique d’une marque commerciale, du sigle d’un organisme.
> Site web spécialisé dans la recherche d’adresses sur l'internait en partant d’un mot clé.
> Ce sont des normes de qualités auxquelles sont contraintes les entreprises.
> Groupe d’artistes et d’intellectuels allemands, de 1918 à1933, affirmant sa responsabilité
sociale.
> Logiciel traitant les images vectoriels et bitmap, sans gestion de calque.
> Nuancier papier présentant les encres Pantone qui correspondent à un nuancier de teintes
normalisées, répertoriées par numéro.
> (Production assistée par ordinateur) C’est dans ces termes que le travail d’infographiste est
appelée.
> (Portable Document File) Format d’exportation qui permet d’envoyer une image à un destinataire
non équipé de logiciels de PAO.
> Logiciel de retouche d’images.
> Composants sous forme de petits carrés identiques, constituant par leurs juxtapositions une
image.
> Définir une chose en s’interrogeant sur sa symbolique colorée ou picturale (ex : si c’était un
animal, se serait...,si c’était une couleur, se serait...)
> La résolution correspond au nombre de pixels sur une distances données. Elle est exprimée en
dpi.
> C’est veiller à l’aboutissement d’une image ou d’un document, de sa création à son impression.
> Eléments d’impression facilitant le passage au massicot (outil de découpe papier).
> Spécificité du dessin de la lettre.
> Formes développées avec le logiciel Illustrator. Les droites et courbes composant une forme
sont affichés par l’ordinateur après un calcul de leurs équations respectives. Le fichier n’est pas
une image à proprement parler, mais une suite d’équations que calculera l’ordinateur, permettant
d’obtenir des images très nettes et très précises.
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