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Exercice I Les ondes sonores 5 points<br />

Les anciens se préoccupaient déjà de la propagation du son dans l’eau. Aristote et Pline le Jeune se demandaient<br />

si les poissons entendaient. Dans la chine antique, les pêcheurs localisaient les bancs de poissons en écoutant le<br />

bruit de la mer à l’aide d’une tige de bambou dont une des extrémités plongeait dans l’eau.<br />

En 1926, sur le lac Léman, le physicien Daniel Colladon et le mathématicien Charles Sturm se trouvent dans deux<br />

bateaux séparés de 13 km et ils mesurent la vitesse du son dans l’eau en opérant de nuit. Dans le premier bateau,<br />

l’un des expérimentateurs frappe, avec un marteau, une cloche de bronze, immergée dans l’eau et produit<br />

simultanément, un éclair. Dans le second bateau, l’expérimentateur est muni d’un stéthoscope relié à un cornet<br />

acoustique immergé et d’un chronomètre. Ils trouvent une vitesse de 1500 m.s -1 .<br />

1 ère partie : Etude du son dans différents milieux<br />

Deux élèves de terminale S décident de mesurer la célérité du son dans l’air. Ils enregistrent avec un oscilloscope<br />

la tension électrique qui apparaît aux bornes de deux microphones M1 et M2 situés à la distance d = 13,6 cm l’un<br />

de l’autre et placés au voisinage d’un claquoir produisant un clap sonore.<br />

Les deux microphones sont reliés respectivement aux voies A et B de l’oscilloscope avec la même sensibilité<br />

verticale.<br />

La vitesse de balayage est de 50 μs.div -1 .<br />

On obtient l’oscillogramme ci-contre.<br />

1.1. Une onde sonore est-elle une onde transversale ou<br />

longitudinale ? Justifier votre réponse.<br />

1.2. Calculer la célérité du son dans l’air lors de l’expérience<br />

effectuée par les deux élèves de terminale S.<br />

1.3. La célérité des ondes sonores est-elle plus grande dans l’eau<br />

ou dans l’air ? Dans l’acier la célérité du son est de 5500 m.s -1 .<br />

Que pouvez vous en conclure ?<br />

1.4. Sous une cloche à vide privée d’air, on n’entend pas un réveil qui sonne. Quelle propriété des ondes sonores<br />

met-on en évidence lors de cette expérience ?<br />

1.5. Expérience de Colladon et Sturm<br />

1.5.1. Lors de l’expérience de Colladon et Sturm telle qu’elle est décrite en introduction, quelle est la<br />

grandeur qui manque pour déterminer la célérité des ondes sonores dans l’eau ?<br />

1.5.2. Calculer cette grandeur.<br />

1.5.3. Pourquoi cette expérience est-elle faite de nuit ?<br />

2 ème partie : Onde sonore périodique<br />

Les deux microphones M1 et M2 séparés d’une distance d, sont<br />

maintenant placés sur l’axe de symétrie d’un haut-parleur<br />

produisant une onde sonore sinusoïdale de fréquence réglable.<br />

Ils sont reliés respectivement aux voies A et B d’un oscilloscope, de<br />

même sensibilité verticale.<br />

La vitesse de balayage est de 20 μs.div -1 .<br />

On obtient l’oscillogramme ci-contre.<br />

2.1. Déterminer la période temporelle T et la fréquence f de l’onde sonore.<br />

←Voie A<br />

←Voie B<br />

←Voie A<br />

←Voie B<br />

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2.2. L’oscilloscope est synchronisé sur la voie A : la courbe enregistrée sur la voie A reste fixe sur l’écran. On<br />

éloigne lentement le microphone M2 du microphone M1.<br />

2.2.1. On constate que la courbe de la voie 2 se décale sur l’axe horizontal. A quoi est dû ce décalage ?<br />

2.2.2. On constate aussi que l’amplitude de la vibration reçue diminue. A quoi est due cette modification ?<br />

2.3. On place le microphone M2 dans une position telle que les maxima des deux courbes observées sur l’écran<br />

soient obtenus aux mêmes instants. On éloigne ensuite M2. La coïncidence se reproduit 10 fois pour une<br />

distance d = 34,0 cm entre M1 et M2.<br />

2.3.1. Pourquoi est-il préférable de relever la distance pour 10 coïncidences plutôt qu’une ?<br />

2.3.2. Quelle est la valeur de la longueur d’onde λ de l’onde sonore ?<br />

2.3.3. Calculer la célérité de cette onde sonore dans l’air.<br />

2.3.4. Si on éloigne maintenant le microphone M2 d’une distance d’ = 1,7 cm du microphone M1, comment<br />

seront les deux courbes observées sur l’oscilloscope ? Justifier.<br />

2.4. L’air peut être considéré comme un milieu non dispersif pour les ondes sonores étudiées.<br />

2.4.1. Qu’est-ce qu’un milieu non dispersif ?<br />

2.4.2. Si on diminue la fréquence de l’onde sonore produite par le haut parleur, comment varie la longueur<br />

d’onde de l’onde sonore ? Justifier votre réponse.<br />

2.4.3. Pourrait-on faire la même expérience qu’à la question 2.3 pour un son de fréquence 20 Hz ? Justifier<br />

votre réponse.<br />

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Exercice II La physique au service de la médecine du coeur 8 points<br />

Cet exercice comporte deux parties qui peuvent être traitées indépendamment.<br />

La première partie concerne la scintigraphie qui est un examen médical permettant d’obtenir une image du cœur<br />

d’un patient, qui pourra permettre le diagnostic médical.<br />

La seconde partie est l’étude du principe du fonctionnement d’un stimulateur cardiaque ou pacemaker que l’on<br />

implante à un patient qui présente des insuffisances cardiaques.<br />

1. Première partie : la scintigraphie cardiaque<br />

La scintigraphie cardiaque ou myocardique est un examen de médecine nucléaire permettant d’explorer<br />

l’irrigation du muscle cardiaque en utilisant une solution de chlorure de thallium 201 injectée par voie<br />

intraveineuse.<br />

On peut alors acquérir les premières images quelques minutes après l’injection.<br />

La scintigraphie myocardique permet de visualiser de façon indirecte la vascularisation et le fonctionnement du<br />

muscle cardiaque afin de diagnostiquer si besoin un risque d’ischémie, d’angine de poitrine, de nécrose ou<br />

d’infarctus...<br />

Données :<br />

Noyau Plomb Thallium Mercure<br />

Symbole Pb Tl Hg<br />

Particule ou noyau Tl 201 Hg 201 proton neutron électron<br />

Masse en u 200,970 819 200,970 032 u 1,00728 1,00866 0,00055<br />

Unité de masse atomique 1 u = 1,66054.10 -27 kg<br />

Célérité de la lumière dans le vide c = 3,00.10 8 m.s -1<br />

Electronvolt 1 eV = 1,60.10 -19 J<br />

Energie de masse de l’unité de masse atomique E = 931,5 MeV<br />

1.1. Formation et désintégration du thallium 201<br />

1.1.1. Le numéro atomique du thallium est 81. Donner la composition du noyau de thallium 201.<br />

1.1.2. Le thallium 201 est obtenu à partir du plomb 201 émetteur β + . Ecrire l’équation de cette réaction<br />

nucléaire en précisant les lois de conservations qui régissent les réactions nucléaires.<br />

Le thallium 201 se transforme en mercure 201 par une réaction de capture électronique, c’est-à-dire une<br />

réaction au cours de laquelle le noyau de thallium absorbe un électron.<br />

1.1.3. Ecrire l’équation de cette réaction nucléaire.<br />

1.1.4. Calculer en MeV l’énergie libérée par cette réaction nucléaire.<br />

1.2. Scintigraphie du myocarde à l’aide du thallium 201<br />

L’examen d’un patient de 70 kg nécessite l’injection d’une solution de chlorure de thallium ayant une activité<br />

initiale A0 = 78 MBq. La solution utilisée a une activité volumique égale à 3,9.10 7 Bq / mL. La demi-vie t1/2 du<br />

thallium 201 est égale à 73 heures. On note λ la constante radioactive du thallium 201.<br />

On rappelle que l’activité A(t) d’une source radioactive suit une loi de décroissance exponentielle de la forme :<br />

A(t) = A0 exp(-λt).<br />

1.2.1. Définir ce qu’est l’activité d’une source radioactive.<br />

1.2.2. Etablir la relation entre la demi-vie t1/2 et la constante radioactive λ.<br />

1.2.3. Calculer la valeur de la constante radioactive λ en s -1 .<br />

1.2.4. Calculer le volume de solution injectée à un patient de 70 kg, ainsi que le nombre de noyau de thallium<br />

reçus par ce patient au moment de l’injection.<br />

1.2.5. Quelle sera la valeur de l’activité de la solution de thallium 30 jours plus tard ?<br />

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2. Deuxième parie : Le stimulateur cardiaque<br />

Lorsque que le cœur ne remplit plus correctement son rôle, la chirurgie permet<br />

aujourd’hui d’implanter dans la cage thoracique un stimulateur cardiaque<br />

artificiel, appelé aussi pacemaker, qui va forcer le muscle cardiaque à battre<br />

régulièrement en lui envoyant de petites impulsions électriques par<br />

l’intermédiaire de sondes.<br />

Le « pacemaker » est en fait un générateur d’impulsions ; il peut-être modélisé<br />

par le circuit électrique schématisé ci-dessous.<br />

Dans ce circuit, on utilise un condensateur de capacité C = 470 nF, et une pile<br />

de force électromotrice E = 6,0 V.<br />

P<br />

+<br />

(1)<br />

(2)<br />

i<br />

E A<br />

R<br />

q<br />

- C<br />

N<br />

2.1. Fonctionnement du circuit<br />

B<br />

2.1.1. Que se passe-t-il dans ce circuit lorsque le commutateur est en position (1) ?<br />

2.1.2. Que se passe-t-il dans ce circuit lorsque le commutateur est en position (2) ?<br />

D<br />

F<br />

Pacemaker<br />

Implantation du pacemaker<br />

2.2. Etude de l’évolution de la charge q de l’armature A du condensateur (commutateur en position (2))<br />

On note q la charge électrique portée par l’armature A du condensateur.<br />

2.2.1. Rappeler la relation entre la charge q et la tension uAB aux bornes du condensateur, ainsi que la<br />

relation entre l’intensité i du courant et la charge q.<br />

2.2.2. Montrer que lorsque que le commutateur est en position (2), la charge q vérifie une équation<br />

différentielle qui peut s’écrire sous la forme : dq<br />

= - α q.<br />

dt<br />

Donner l’expression de la constante α en fonction des paramètres du circuit et préciser son unité.<br />

2.2.3. Montrer que la fonction q(t) = Q0 exp (-α t ) est bien une solution de l’équation différentielle<br />

précédente. Déterminer l’expression littérale de Q0 en fonction des paramètres du circuit, puis<br />

calculer sa valeur.<br />

2.2.4. Déterminer l’expression littérale de l’intensité i(t) du courant dans le circuit lorsque le commutateur<br />

est en position (2).<br />

2.3. Exploitation de la courbe uAB(t) (commutateur en position (2))<br />

Le commutateur est un dispositif électronique : il bascule automatiquement et instantanément de la<br />

position (2) à la position (1) lorsque la tension uAB aux bornes du condensateur est égale à 36,8 % de sa<br />

valeur initiale. Il déclenche alors une impulsion électrique qui provoque la contraction du muscle cardiaque.<br />

On donne en annexe la courbe donnant l’évolution de la tension aux bornes du condensateur lorsque le<br />

commutateur est en position (2). Sur cette courbe, l’instant t0 = 0, correspond au moment où le<br />

commutateur passe de la position (1) à la position (2).<br />

2.3.1. Déterminer à quelle date t1 le commutateur va basculer de la position (2) à la position (1).<br />

Expliquer votre méthode.<br />

2.3.2. Indiquer comment il est possible de retrouver graphiquement la constante de temps τ du circuit<br />

étudié. En déduire la valeur de la résistance R du conducteur ohmique présent dans le pacemaker.<br />

2.3.3. Les impulsions électriques provoquant la contraction du muscle cardiaque sont périodiques : leur<br />

période est égale à la durée Δt = ( t1 – t0). Déterminer le nombre de contractions du cœur par<br />

minute imposées par le pacemaker.<br />

2.3.4. Quelle est la valeur de l’énergie libérée par le condensateur lors de l’impulsion électrique<br />

provoquant la contraction du muscle cardiaque ?<br />

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Exercie III Cinétique d’une réaction d’oxydoréduction 7 points<br />

1. Réaction d’oxydoréduction<br />

Le gaïacol est un ester méthylique à usage antiseptique des voies respiratoires.<br />

On étudie la réaction d’oxydation du gaïacol GH par l’eau oxygénée H2O2 en milieux aqueux. On obtient le<br />

produit P selon la réaction d’équation :<br />

1.1. Qu’est-ce qu’une réaction d'oxydoréduction ?<br />

2 GH(aq) + H2O2(aq) = P(aq) + 2 H2O(l)<br />

1.2. Écrire la demi-équation électronique correspondant à la transformation de l’eau oxygénée H2O2 en eau<br />

H2O.<br />

1.3. Identifier le couple oxydant /réducteur relatif à l’eau oxygénée H2O2.<br />

2. Domaine de longueur d’onde pour l’étude spectrophotométrique<br />

On suit l’évolution du système par spectroscopie U.V. Pour cela, on mesure l’absorbance A en fonction de la<br />

longueur d’onde λ. On enregistre le spectre I du mélange initial, puis le spectre F du mélange final.<br />

1<br />

0,5<br />

A<br />

Dans quel domaine de longueur d’onde doit-on se placer pour suivre l’apparition du produit P en mesurant<br />

l’absorbance A en fonction du temps ? Justifier la réponse.<br />

3. Etude de la transformation par spectrophotométrie<br />

3.1. Dilution<br />

On dispose d'une solution commerciale d’eau oxygénée de concentration Ccom= 10 mol.L -1 .<br />

On souhaite la diluer afin d'obtenir un volume V2 = 100 mL d’une solution d’eau oxygénée de concentration<br />

C2 = 5,0.10 -1 mol.L -1 .<br />

3.1.1. Quel volume de solution commerciale doit-on prélever pour réaliser cette solution diluée ?<br />

3.1.2. Donner les principales étapes du protocole et le matériel pour préparer la solution.<br />

3.2. Transformation chimique<br />

Spectre I Spectre F<br />

250 350 450<br />

λ(nm)<br />

λ(nm)<br />

A une date t = 0, on mélange dans un bécher une solution de gaïacol de volume V1 = 200 mL et de<br />

concentration C1 = 1,0.10 -1 mol.L -1 , avec un volume V2 = 100 mL de la solution d’eau oxygénée diluée<br />

préparée précédemment de concentration C2 = 5,0.10 -1 mol.L -1 .<br />

On verse alors rapidement un faible volume (négligeable devant V1 et V2) de ce mélange réactionnel dans une<br />

cuve qu’on introduit dans le spectrophotomètre.<br />

En se plaçant à une longueur d’onde adéquate, on suit l’apparition du produit P en mesurant l’absorbance A en<br />

fonction du temps.<br />

On utilise le spectrophotomètre pour réaliser la mesure de l’absorbance d’une solution aqueuse du produit P<br />

de concentration C0 = 2,0.10 -2<br />

mol.L -1 . On mesure alors une absorbance A0 = 0,30.<br />

1<br />

0,5<br />

A<br />

250 350 450<br />

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3.2.1. Rappeler la loi de Beer-Lambert et déterminer le coefficient de proportionnalité k entre l’absorbance A<br />

de la solution et la concentration en produit P.<br />

3.2.2. Compléter avec des expressions littérales le tableau d’avancement donné en annexe à rendre avec la<br />

copie.<br />

3.2.3. Identifier le réactif limitant et calculer la valeur de l'avancement maximal.<br />

3.2.4. Quelle relation littérale existe-t-il entre l’avancement x et la concentration en P dans le mélange<br />

réactionnel et le volume V du mélange réactionnel ?<br />

3.2.5. En déduire la relation littérale entre l’absorbance A et l’avancement x de la réaction étudiée. .<br />

3.2.6. Calculer la valeur de l'absorbance maximale et la vérifier à l’aide du graphique.<br />

4. Exploitation de la courbe représentant l’absorbance au cours du temps<br />

Le spectrophotomètre est relié à un ordinateur qui trace la courbe représentant l’absorbance au cours du<br />

temps. En partant de concentrations égales en GH et H2O2, on obtient la courbe A = f(t) donnée en annexe.<br />

4.1. Donner l’expression de la vitesse volumique de réaction v en fonction du volume V du mélange<br />

réactionnel et de l’avancement x de cette réaction. Montrer qu’elle peut se mettre sous la forme :<br />

v = 1<br />

k dA<br />

dt .<br />

4.2. Commenter l’évolution de la vitesse au cours de la réaction chimique. Quelle particularité présente-telle<br />

? Justifier votre réponse.<br />

4.3. A quel instant s’arrête la réaction ?<br />

4.4. Déterminer après l’avoir défini, le temps de demi-réaction t1/2.<br />

4.5. Influence de la température<br />

On réalise maintenant la même expérience à une température plus élevée.<br />

4.5.1. Dessiner qualitativement sur le graphique A = f(t) de l’ANNEXE, l’allure de la courbe montrant les<br />

variations de l’absorbance A’ au cours du temps dans ces nouvelles conditions.<br />

4.5.2. Dans ces conditions, la valeur du temps de demi-réaction est-elle identique, inférieure ou supérieure à<br />

la valeur précédente ? Justifier.<br />

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ANNEXE DE L’EXERCICE II À RENDRE AVEC VOTRE COPIE<br />

N° D’ANONYMAT : ................................... .......<br />

7<br />

6<br />

5<br />

4<br />

3<br />

2<br />

1<br />

0<br />

Tension aux bornes du condensateur (en volt)<br />

0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 1,2 1,4<br />

t (s)


ANNEXE DE L’EXERCICE III À RENDRE AVEC VOTRE COPIE<br />

N° D’ANONYMAT : ................................... .......<br />

Question 3.2.2<br />

Équation chimique 2 GH(aq) + H2O2(aq) = P(aq) + 2 H2O(l).<br />

État du système Avancement<br />

(mol)<br />

État initial 0<br />

État en cours de<br />

transformation<br />

État final xmax<br />

x<br />

Quantités de matière (mol)<br />

Question 4. Courbe représentant l’absorbance au cours du temps<br />

0,6<br />

0,5<br />

0,4<br />

0,3<br />

0,2<br />

0,1<br />

A<br />

Courbe A=f(t)<br />

0 100 200 300 400<br />

t(s)

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