Télécharger le pdf - Fugues

nous sommes fins prêts, mais très nerveux. J’entends
des pas et puis l’on vient remonter mon drap afin
d’exposer ma bite. Encore des pas et des petits commentaires
du genre : beau bambou, belle cerise,
bien monté… etc. je ne sais pas à qui s’adresse ces
commentaires sauf peut-être pour «bien monté».
Dans la douche, j’ai vite remarqué que le plus colosse
des gars était mon cochambreur, Guillaume. Enfin,
l’action débute chez mon voisin de droite, Tommy.
Rapidement, je reconnais le bruit d’une bonne branlette
avec les va-et-vient habituels. La respiration
de Tom s’accélère, mais l’action se termine rapidement
et de façon silencieuse. Il fait de plus en plus
chaud sous mon drap. J’ai déjà une bonne érection !
Encore des murmures et des pas ???
Je n’ai pas attendu longtemps mon tour, qu’un doigt
effleurait déjà mon 7 pouces. J’imaginais qu’on me
masturberait également, mais voilà qu’une bouche
chaude et humide engouffrait déjà ma verge. En
moi-même, je me demandais si mon «aspirateur»
avait des seins ou pas, d’autant plus que j’entendais
d’autres bruits de succion juteuse et de petits
gémissements discrets dans la pièce. Enfin, le plaisir
de cette langue et de cette bouche experte m’empêchait
de penser. Mes couilles sont dévorées, ma
queue léchée dans tous les sens et une main tire
parfois mon généreux prépuce vers le haut afin d’y
insérer une langue vicieuse. Ma mèche est de plus en
plus baveuse et sur le point d’exploser. Mon corps se
cambre parfois afin d’enfoncer ma verge un peu plus
dans les profondeurs de cette généreuse bouche.
Cela n’a rien à voir avec les timides «blow jobs» de
mes anciennes blondes. J’ai eu quelques cris de
jouissance bien avant la conclusion oubliant même
mes collègues qui écoutaient…Je ne me souviens
pas avoir déjà eu une aussi puissante décharge. Puis,
l’autre joueur qui se faisait astiquer le bâton vint lui
aussi dans un élan accompagné d’un fort cri. Les gars
de l’équipe, de l’autre côté de la porte, riaient aussi
très fort. Je les avais presque oubliés ceux-là. J’ai
trouvé tout de même très bon mon voisin d’avoir résisté
au moins 4 à 5 minutes de plus que moi, mais
j’ai peut-être eu un meilleur service ! Le gars ou la
fille ? Je l’ignore.
Il reste encore deux autres gars à initier, Olivier et Mr
Big Dick (Guillaume), un large 9 pouces, non circoncis
qu’il s’amuse à exhiber fièrement dans les
douches. Souvent, le soir, je me masturbe en pensant
à son gland rosé caché et à sa queue bandée qui
doit être monstrueuse. Nous, les trois premiers initiés,
devons encore rester là. Pour moi, c’était des
moments de rêve puisque je suis bi et mes fantasmes
avec mes collègues de hockey sont secrets. L’expérience
est super malgré le fait de ne rien voir et d’entendre
les gars de l’équipe.
Ensuite, nous entendons une voix masculine dire :
«Moi, je prends lui», mais sans savoir de qui il
s’agit. Quelques secondes plus tard, les deux gars
semblent se faire sucer les queues et semblent bien
apprécier émettant de petits gémissements pour le
confirmer. Puis, environ 10 minutes plus tard, l’action
s’arrête et l’on entend dire d’une voix féminine :
«Tiens, un «magnum», je pense que tu vas en avoir
besoin!» Je pense que les deux derniers vont avoir
droit à la totale et puis, hop, j’ai un début d’érection!
Après quelques secondes, j’entends de petits
flics/flacs lointains, sans doute Olivier et la fille, les
respirations s’accélèrent et sons saccadées. Après un
moment, Olivier, maintenant reconnu par ses sons,
jouit à son tour en criant YES ! Ma bite a de p’tits
écoulements…
Mais il reste mon voisin de gauche, Guillaume (Mr
Big Dick). Guillaume grâce à son caractère non
timide prend les devants, pour impressionner la gang
sans doute. Sans aucune gêne, il dit : «Enfourchemoi
salope ! Viens jouir sur ma grosse queue !» Ma
bite me fait presque mal maintenant tellement elle
me semble s’étirer et se raidir. Après quelques «Oh,
ouf, c’est serré», des mouvements de va-et-vient se
font entendre. Guillaume parle sans arrêt : «T’aimes
ça, plus vite…», etc. Il n’a jamais de réponse, mais
les gars s’amusent. Même s’il est avec le gars,
comme je le crois, il a beaucoup de plaisir. La chambre
sent maintenant le cul à plein nez. Le rythme est
infernal et la pénétration commence à durer plus
longtemps que mes propres capacités. WOW, toute
une brute ce Guillaume ! À ce moment, je n’en peux
plus, je prends ma bite et je me masturbe m’imaginant
la grosse queue de Guillaume dans le cul. Je
tente et je réussis à jouir presque au même moment
que lui. Moi, j’éjacule silencieusement et lui vient en
criant le plus fort possible. «C’est bon, oui, oui ! Vive
le hockey !»Malgré ma première jouissance plus tôt,
je suis surpris par l’intensité de ma bite, le haut de
mon torse se rempli de rempli de 4 ou 5 jets puissants.
Ouf, toute une initiation ! Personne n’a vu les initiateurs
et certains restent sur leur doute. Cependant,
la saison m'apportera plus de plaisir dans ma chambre
qu’au hockey grâce à mon cochambreur (Mr Big
Dick), mais ça c’est une autre histoire…