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impressionnante qui sort de sa bouche. Les deux<br />
autres sont affairés, couchés dans l’herbe haute, à<br />
poil. À présent, ils se sucent la queue mutuel<strong>le</strong>ment.<br />
Ils sont vite rejoints par <strong>le</strong>s deux premiers et<br />
commencent à se caresser tous <strong>le</strong>s quatre, comme si<br />
c’était la chose la plus naturel<strong>le</strong> du monde. La<br />
queue d’un dans la bouche d’un autre qui se fait<br />
manger <strong>le</strong> cul par <strong>le</strong> troisième, alors que <strong>le</strong> quatrième<br />
embroche <strong>le</strong> premier. Après une série de<br />
permutations aussi surprenantes qu’excitantes, <strong>le</strong><br />
quatuor se met à jouir en rafa<strong>le</strong> un après l’autre. Le<br />
plus petit des quatre se met ensuite à lécher <strong>le</strong><br />
sperme sur ses camarades.<br />
Soudain, l’un d’eux est pris d’un fou rire, il se lève<br />
et se fait pourchasser par un autre, queue en avant.<br />
Ils viennent tous <strong>le</strong>s deux dans ma direction et je<br />
n’ai pas <strong>le</strong> temps de réagir : ils s’éta<strong>le</strong>nt tous <strong>le</strong>s<br />
deux sur mon dos en criant comme s’ils avaient été<br />
surpris par un animal sauvage. Je tente de <strong>le</strong>s<br />
calmer, mais <strong>le</strong>s autres débou<strong>le</strong>nt par-dessus avant<br />
de se re<strong>le</strong>ver et de me regarder comme une bête<br />
curieuse. Je me sens humilié, la queue sortie de<br />
mon short encore bandée.<br />
Ne trouvant rien à dire, je bafouil<strong>le</strong> des excuses. Le<br />
plus beau — qu’est-ce qu’il est mignon celui-là —<br />
me dit de partir immédiatement. Je me lève et<br />
m’apprête à partir quand je <strong>le</strong>s entends par<strong>le</strong>r dans<br />
mon dos… L’un des quatre m’interpel<strong>le</strong> et me demande<br />
si j’habite dans <strong>le</strong> coin. Je <strong>le</strong>ur explique que<br />
j’habite ici tout l’été, tout seul dans un grand cha<strong>le</strong>t<br />
à mi-distance d’ici au sommet de la montagne.<br />
Grand étonnement de tous.<br />
«On est là depuis trois jours, on dort à la bel<strong>le</strong><br />
étoi<strong>le</strong> et on se lave où on peut», me dit l’un d’eux.<br />
«Ce serait gentil de ta part si tu nous hébergeais<br />
quelques jours… Tu n’auras plus à te cacher pour<br />
nous regarder» de lancer un second. Mon préféré,<br />
comme pour se racheter de sa première réaction,<br />
enchaîne aussitôt par : Et comme tu es pas mal toi<br />
aussi, tu pourras même participer» Et de repartir<br />
tous <strong>le</strong>s cinq vers mon cha<strong>le</strong>t, haut lieu des plaisirs<br />
à venir.