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REMERCIEMENTS Le terme « remerciements » ne saurait évoquer la grâce et le courage dont ont fait preuve mes collègues, mes amis et ma famille, qui ont rendu l’écriture de ce roman possible. Richard Pine et Charlie Olsen, chez Inkwell, sont mes princes charmants. Charlie, merci d’avoir aimé ce livre, de m’avoir guidée et d’avoir supporté ces conversations téléphoniques saturées de références à La Guerre des étoiles. Richard, je suis encore éblouie à chaque fois que tu m’appelles ! Je n’aurais pu avoir de meilleurs mentors que Michael Green et Jill Santopolo, chez Philomel. Michael, merci pour tes paroles si belles et les questions que tu m’as posées alors que je me lançais dans cette aventure. J’aimerais remercier Jill en particulier pour le talent et la gentillesse incroyables dont elle a fait preuve quand nous avons travaillé ensemble. Je suis tellement contente de faire partie de la famille Penguin ! Je dois beaucoup à Stephanie Howard et à Lisa Desrochers qui ont été de très bons critiques. Grâce à Lindsey Adams et à Gina Monroe, qui ont partagé avec moi leur talent artistique, mes recherches sur internet ont été fabuleuses. John et Natalie Occhipinti m’ont appris que des inconnus dans un avion pouvaient devenir vos premiers fans. Corby Kelly, merci de m’avoir prêté tes fantastiques dons linguistiques. Kristin Naca, tu es une déesse, ne change pas. Casey Jarrin, ton intelligence fait tout scintiller autour de toi, et ce livre n’est pas une exception. L’esprit de l’écrivain a fleuri dans un coin peu connu du globe : Ashland, Wisconsin, je t’aime plus que tout endroit au monde. VIVE LE CAMP DE PÊCHE ! Ed et Maribeth, merci de m’avoir lue dès mes premières tentatives. Katie, merci d’avoir su. Rien de tout cela n’aurait pu exister sans l’amour et le soutien de ma famille. Tante Helen, merci pour tous les livres. Maman, papa, Garth, vous êtes les fils qui font tenir le tout, depuis toujours. Et Will, toi qui danses avec moi à chaque fois que je suis triste, je n’aime peut-être pas Les Branchés débranchés, mais je t’aime un peu plus chaque jour.
DÉCOUVREZ UN EXTRAIT DU SECOND VOLUME : – HOLÀ, TOUT DOUX, LA BELLE AU BOIS DORMANT, DIT CONNOR. Je fis volte-face. Il me lança un grand sourire. Je n’eus aucun mal à le reconnaître : c’était le Chercheur qui, avec Ethan, nous avait tendu une embuscade, à Shay et à moi, à la bibliothèque municipale. C’était lui qui, à Rowan Estate, alors que Shay était inconscient et sous sa forme de loup, l’avait pris dans ses bras avant de filer le mettre à l’abri des spectres, des succubes et des incubes de Bosque Mar. Je frémis, au souvenir de cette horde et à l’idée, qui me terrifiait encore, que je ne savais pas ce qui était arrivé à Shay. Contrairement à Ethan, dont le seul regard avait suffi à me faire comprendre qu’il avait autant envie de plonger un couteau dans mon ventre que j’en avais de planter mes dents dans sa gorge, Connor s’efforçait manifestement de ne pas éclater de rire, avec un charme enfantin, un peu innocent, même. Cela dit, je ne me rappelais que trop bien la dextérité avec laquelle il maniait l’épée. Deux sabres incurvés, identiques à ceux de Monroe, pendaient d’ailleurs à sa taille à ce moment précis. Grondant férocement, je reculai. – Je vois qu’on n’est pas du matin, commenta Connor. Je te promets qu’on va te donner un petit déjeuner, petite louve. Mais ne mange pas Ethan, d’accord ? – Calla, dit Monroe en secouant la tête, s’approchant de moi. Nous ne sommes pas tes ennemis. Je t’en prie, laisse-moi une chance. Mon regard rencontra le sien, intense, un peu craintif. Puis je jetai un coup d’œil à Ethan et à Connor. Ils avaient pris position de chaque côté de Monroe, un peu en retrait, mais sans dégainer leurs armes. Des impulsions contraires me paralysaient. Tous mes instincts me hurlaient d’attaquer, et pourtant je devais admettre que leurs réactions n’avaient été que défensives. D’ailleurs, ils n’essayaient pas de me blesser. Toujours sur mes gardes, je changeai de forme. – Je la préfère comme ça, pas toi ? murmura Connor en lançant une œillade à Ethan, qui se contenta de grogner. – Qu’est-ce qu’ils font là ? demandai-je à Monroe. Vous aviez dit que je serais en sécurité avec vous. – Ce sont des membres de mon équipe, répondit Monroe. Et tu travailleras en étroite collaboration avec eux. Tu peux leur faire confiance, à eux tout comme à moi. Cette fois, ce fut à mon tour d’éclater de rire. – Confiance ? Ces deux-là ont essayé de me tuer plus d’une fois. – C’est fini maintenant, on est dans la même équipe, dit Connor. Parole de scout. – Toi, un scout ? Laisse-moi rigoler, railla Ethan, dont le sourire disparut aussitôt. Et je vous signale qu’elle vient juste de tenter de m’égorger ! – Ethan, le réprimanda Monroe avec un regard sévère. Pourtant, l’hostilité déclarée d’Ethan me rassurait plus que les promesses de Monroe ou les piques de Connor. Ils étaient des Chercheurs, j’étais une Protectrice. Qu’avions-nous d’autre à nous offrir qu’un
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Traduit de l’américain par Julie
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Est-ce que ça va ? demanda Bryn d
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mépriser son héritier. Elle tambo
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J’avais envie de vomir. - Et Émi
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LORSQUE JE SUIS ENTRÉE DANS LA CUI
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Toute activité avait cessé dans l
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Il souriait toujours, mais il avait
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me suis laissée glisser à terre,
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- Pourquoi ? rétorquai-je plus bru
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- Nous sommes invités à une fête
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Un grondement s’éleva de la poit
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- Bienvenue au lycée de la Montagn
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Le Gardien aux cheveux dorés parai
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- TU N’ES PAS SÉRIEUSE, M’EXCL
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Bryn tressaillit en voyant les silh
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JE SENTAIS ENCORE LES VIBRATIONS DE
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- Je veux savoir qui tu es. Je sent
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- Ton alpha a proposé de guérir C
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- Est-ce que ça va ? - Oui. J’ai
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Il me sourit brièvement et je haus
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Je balayai lentement, serrant le ma
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Il prit mon silence pour un besoin
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L’OBSCURITÉ ENVELOPPAIT LE CIEL
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Je retournai à notre expérience t
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J’AVAIS LES MÂCHOIRES TELLEMENT
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Logan se redressa et plissa les yeu
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Dax se hérissa, mais tourna la tê
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Un sourire moqueur apparut au coin
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- Qu’est-ce que tu racontes ? J
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Je regardais ses doigts qui caressa
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Ren caressa mon genou, ses doigts r
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- Je crois que c’est un proverbe,
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Je laissai échapper un petit rire.
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ma poitrine, insistant, douloureux.
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- Enterrées vivantes ? Serait-ce m
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LE LENDEMAIN MATIN, SHAY N’ÉTAIT
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- Sûrement pas, dit Nev en repouss
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cette table, déchirée entre Shay
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- N’es-tu pas en train d’enfrei
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- Qu’il essaie un peu pour voir !
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- Ce n’est pas ce que dit ce livr
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- Non, madame, répondit Shay avec
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produit avant l’aube, alors que C
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Cessant d’imiter une autruche eff
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- Quand je tuerai ? Je vis mon refl
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- Oui. Un triangle à l’envers tr
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La seule lumière provenait des nom
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Il me fit un grand sourire. - Non.
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- Pourquoi est-ce que tu me demande
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Il paraissait sincère, mais j’é
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Je regardai de plus près les piles
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Même avec la lumière de la lampe
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de l’oubli s’engouffrait dans l
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l’autre pièce lorsqu’il me pri
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s’appuyer sur sa paume, inspirant
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au moins ils ne te donnent pas un l
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sur elles. Il s’approcha de ma m
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- ON NE PEUT PAS TOUS ALLER DANS LA
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attendre la fin de la patrouille po
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Un grognement s’est échappé de
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UN GROUPE DE PIGEONS SURPRIS S’EN
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