Vian, Prévert, Les Frères Jacques, Mouloudji - Talent Plus
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De 1946 à 1960, Saint Germain des Prés<br />
a vu déferler une vague éblouissante :<br />
<strong>Vian</strong>, <strong>Prévert</strong>, <strong>Les</strong> <strong>Frères</strong> <strong>Jacques</strong>, <strong>Mouloudji</strong> …<br />
À travers leurs plus belles chansons,<br />
une femme se raconte avec humour.
CONFESSION<br />
D’UNE DRÔLE DE DAME<br />
Je suis née d’une mère volage et d’un père<br />
inconnu. Enfant du plaisir et non de l’amour,<br />
je n’appris jamais rien sur l’auteur de mes jours.<br />
Mon enfance fut morose, frileuse, traversée<br />
par de grands éclats de rire dans les salles de<br />
cinéma. Etudes primaires, peu d’ami, une<br />
famille disloquée vivant dans l’angoisse car<br />
d’origine juive. En ce temps de guerre, nous<br />
nous sentions tous traqués.<br />
Très tôt - 15 ans, 16 ans – je colportais dans<br />
les boutiques pour touristes de minuscules<br />
pochettes de soie peintes par ma mère à<br />
l’effigie des monuments publics. Ça m’amusait<br />
beaucoup. <strong>Plus</strong> tard je fus modèle de coiffure<br />
pour l’Oréal, desserveuse dans un self service,<br />
baby-sitter quelque part à Lausanne, barmaid<br />
de nuit sur les Champs Elysées… de quoi assouvir<br />
mon avidité permanente. C’est précisément<br />
derrière un bar, un soir d’hiver, que me pris<br />
brutalement l’envie d’écrire – écrire vite, en<br />
vers, en prose, des textes courts et humoristiques<br />
-. Un jeune musicien fit couler autour une<br />
musique, assez basique mais alerte. Et voilà,<br />
je n’avais plus qu’à auditionner. En ai-je fait des<br />
scènes, petites, plus grandes, des galères comme<br />
on dit, mais la petite fille que je fus, si timide<br />
qu’elle débitait ses fables de dos, le nez sur le<br />
tableau, était devenue saltimbanque.<br />
Dès lors ma formation artistique fut<br />
continue: cours de chant, de mime, de théâtre<br />
… j’avoue être devenue une chanteuse « qui a<br />
mal tourné » puisque le démon de la comédie<br />
me fit jouer Ionesco, Simone de Beauvoir, Jean<br />
Cocteau, et que j’écrivis «Carmen Paradise», une<br />
pièce à deux personnages qui obtint en 1993<br />
le prix France Culture. Ainsi la chanson déserta<br />
ma vie au profit du théâtre. J’ai écris aussi quelques<br />
nouvelles dans un magazine, et j’aurais pu
en écrire bien d’autres si la solitude imposée par l’écriture ne m’avait rebutée. J’ai<br />
besoin de ma voix, de mon corps au service d’une fi ction. J’ai besoin d’un public à qui<br />
les offrir, offrande réciproque car le talent d’écoute des spectateurs est immense.<br />
Comment suis-je revenue à la chanson ? par une rencontre inattendue, magique:<br />
Roland Romanelli. J’avais plus ou moins l’idée de faire revivre les lieux mythiques<br />
de Saint Germain des Prés : le Tabou, la Rose Rouge, la Fontaine des 4 Saisons…<br />
où la chanson dite rive gauche s’apparentait étroitement à la comédie. Mais je souhaitais<br />
un grand musicien pour fortifi er mon projet : 21 titres à choisir, orchestrer,<br />
accompagner –rire et gravité, Gainsbourg, Ferré, <strong>Vian</strong>-. J’eus la chance que Roland<br />
Romanelli encouragea cette folle aventure ; folle car ces chansons «à textes»<br />
n’avaient jamais couru les dancings comme certains standards ce qui les rendaient,<br />
pensais-je, plus élitistes. Le succès presse et public fut quasi immédiat.<br />
À partir du moment où je m’empare d’un texte peu importe que je l’ai écris<br />
ou non. L’important est qu’il me mobilise entièrement, que je m’oublie dans son<br />
style et son rythme. <strong>Les</strong> mots, les notes, j’ai passé ma jeunesse à courir après. Enfant<br />
timide, je m’enivrais de la TSF, j’imaginais des vies extravagantes derrière le poste.<br />
Sans doute, je n’ai pas su, trop introvertie, exploiter ma jeunesse au maximum.<br />
Par nature je suis gourmande, paresseuse… j’ai gardé la gourmandise et fouetté<br />
la paresse ! Pour le reste, 12 ans de psychanalyse m’ont appris le plus étonnant :<br />
dans une course l’important n’est pas temps le cheval mais notre position : pas dessous<br />
mais dessus pour pouvoir le conduire.<br />
Corinne COUSIN
NOTE DU DIRECTEUR ARTISTIQUE<br />
«Un soir de printemps 2003, à l’occasion de “Ma plus belle histoire d’amour, Barbara», un étonnant<br />
personnage m’attend dans le hall de l’Européen. C’est Corinne COUSIN. Très vite une conversation<br />
sincère s’instaure… Passionnée et généreuse, elle m’explique avec enthousiasme son désir de faire<br />
revivre en chansons le désormais mythique quartier de Saint-Germain-des-Prés, de l’après-guerre jusqu’à<br />
la fi n des années 1950.<br />
Musicalement, ces chansons sont de vrais bijoux !<br />
Ayant par le passé accompagné BARBARA, MOULOUDJI, Serge LAMA, mais aussi Guy BEART, Charles<br />
TRENET, et bien d’autres encore, je suis immédiatement séduit par cette belle idée… Je succombe et<br />
accepte de m’associer à l’aventure.<br />
Nous avons alors retravaillé les arrangements musicaux en harmonie avec la couleur vocale et<br />
le singulier tempérament de Corinne COUSIN. Et c’est tout naturellement qu’elle s’est appropriée ces<br />
oeuvres mythiques pour offrir un subtil mélange d’humour et de poésie. Je me réjouis de me replonger, avec<br />
Corinne, dans ce “mood”des années Saint-Germain.<br />
Flash-back vers la tendre époque qui a en partie nourri mon éducation artistique…»<br />
Roland ROMANELLI<br />
NOTE DE L’ INTERPRÈTE<br />
«Saint-Germain-des-Prés, c’est une âme, un village. On n’y respire pas comme ailleurs, le café n’y a pas<br />
le même goût ! Depuis longtemps, l’idée me hantait de faire revivre en chansons les grandes années<br />
Saint-Germain.<br />
Encore fallait-il un musicien d’exception pour orchestrer le spectacle !<br />
C’est à Roland ROMANELLI, dont j’avais vu, à l’Européen, le magnifi que hommage à BARBARA, que j’ai<br />
confi é mon projet. Et c’est un honneur pour moi qu’il ait accepté de le superviser. Du swing à la romance<br />
en passant par le coeur, grâce à lui, je reviens donc à la chanson, mon premier amour…»<br />
Corinne COUSIN<br />
Directeur Artistique, Arrangeur et Accordéoniste : Roland ROMANELLI<br />
Il participe à de multiples aventures artistiques. Accompagnateur de Barbara pendant 20 ans, précurseur<br />
du synthétiseur dans les années 70, musicien, arrangeur pour Céline DION, Jean-<strong>Jacques</strong> GOLDMAN,<br />
il signe et arrange de nombreuses musiques de fi lms (“La Boum», “<strong>Les</strong> Ripoux», “Astérix»), pièces de théâtre<br />
et comédies musicales (“L’Air de Paris»). On le retrouve sur scène avec “Irma la Douce“de J.SAVARY,<br />
“Ma plus belle Histoire d’Amour, Barbara», “Mademoiselle Faust», “Mots d’Amour, Maux d’Amour».<br />
Pianiste : Raoul DUFLOT<br />
Pianiste, compositeur et chef d’orchestre, il débute sa carrière musicale aux côtés de M. RENAUD et<br />
J.-L. BARRAULT en collaborant à la pièce «Harold et Maud». Démarre alors un joli parcours, allant de<br />
la variété au classique en passant par le jazz, lui permettant d’accompagner les plus grands tant sur<br />
scène que lors d’enregistrements (Michel LEGRAND, Charles AZNAVOUR, Serge REGGIANI, Barbara<br />
HENDRIX, Montserat CABAILLÉ, Diane DUFRESNE, Yves MONTANT, Ute LEMPER, Nana MOUSKOURI,<br />
Julien CLERC…). Parallèlement, il participe à de nombreuses émissions de télévision (“Champs-Elysées”,<br />
“<strong>Les</strong> Victoires de la Musique”, “Le Grand Echiquier”,…) et musiques de fi lms sous la houlette de Bruno<br />
COULAIS et Jean-Claude PETIT.<br />
Metteur en Espace : Dominique CONTE<br />
En 1978, elle est maîtresse de ballet aux Folies Bergères. En 1983, elle entre à l’Alcazar de Paris. En 1987,<br />
elle en devient Directrice Artistique. A partir de 1990, elle crée de nombreux spectacles associant chansons<br />
et danse (“Paris Music-hall», “Ces Années Là», “Sur un Air de Doisneau»…). Des albums émaillent<br />
ce parcours artistique “Paris-Java», “Guinguette»… et en 1996 “Libertine». <strong>Les</strong> concerts s’enchaînent<br />
alors… Séduite par un répertoire plus contemporain, elle fait la rencontre de N.HERCBERG. En 2001, elle<br />
crée à Paris avec R.ROMANELLI “Mots d’Amour, Maux d’Amour“d’après des chansons et textes libertins.
TÉLÉVISION<br />
n CANAL+, KARL ZERO (05/04) : «Corinne Cousin est diablement<br />
chaleureuse !»<br />
n DIRECT 8 «Rendez-vous culturel» (28/03/06) : «Cette reprise<br />
est un vrai régal, un véritable délice musical»<br />
n FRANCE 2 «Le Journal de la nuit» (11/06/06) : «L’époque bénie<br />
des zazous est revisitée par l’hallucinante Corinne Cousin»<br />
n FRANCE 3 «Le 19-20» (11/04/06) : «Corinne COUSIN tient toujours<br />
l’affiche depuis presque 2 ans …»<br />
n MATCH TV «Ça reste entre nous» (11/05/05): «À écouter et à<br />
voir !»<br />
PRESSE ÉCRITE<br />
n 20 MINUTES (25/04/05) : «Corinne Cousin revisitent le St Germain<br />
des Prés d’après-guerre avec humour et nostalgie !»<br />
n A NOUS PARIS (27/09/04) : «C.Cousin vous propose de monter<br />
sur son manège enchanté et de vous replonger dans le «mood» de<br />
l’âge d’or de Saint-Germain-des-Prés.»<br />
n ACTUALITE JUIVE (23/12/04) : «Bourrée d’énergie, C. Cousin<br />
brûle les planches avec la complicité et le talent de musiciens<br />
prestigieux…»<br />
n CAMPUS MAG (05/06) : «Corinne Cousin rend là un magnifique<br />
hommage aux chansons et aux auteurs de l’après guerre.»<br />
n FAMILLE CHRÉTIENNE (02/07//06) : «Tantôt snob, canaille,<br />
gourmande, étrange... elle est toujours de la fête.»<br />
n FRANCE CATHOLIQUE (14/05/04) : «Pour le bonheur de tous<br />
ceux qui ont aimé les années Saint-Germain-des-Prés…»<br />
n FRANCE DIMANCHE (26/11/04) : «Un bel hommage aux artistes<br />
de l’après-guerre …»<br />
n FRANCE SOIR (20/01/06) : «La talentueuse et attachante<br />
Corinne Cousin revisite les œuvres de <strong>Vian</strong>, <strong>Prévert</strong>...»<br />
n GALA (24/11/04) : «Son tempérament de feu sert un spectacle<br />
entre poésie et humour.»<br />
n GROUPE FRANCE MUTUEL (05/05) : «Elle a ce petit supplément<br />
d’âme qui transparaît quand elle apparaît.»<br />
n ICI PARIS (28/09/04) : «Un fabuleux spectacle!»<br />
n JEUNES A PARIS (04/05) : «Il faut aller applaudir Corinne Cousin<br />
qui donne une incomparable interprétation de ces succès»<br />
n LA NOUVELLE VIE OUVRIÈRE (11/06/04) : «L’artiste s’en donne<br />
à coeur joie !»<br />
n L’ARCHE (04/05) : «Une artiste hors du commun !»<br />
(05/04) : «Infatigable et passionnée !»<br />
n LE GÉNÉRALISTE (05/11/04) : «Avec verve, gouaille et<br />
humour, elle nous entraîne dans la vie de bohème.»<br />
n LESBIA MAGAZINE (06/04) : «Un spectacle chaleureux.»<br />
n L’EXPANSION (11/04) : «On craque pour ce spectacle<br />
chanté et enchanteur !»<br />
n L’HOMME NOUVEAU (27/05/06) : «<strong>Talent</strong> exceptionnel<br />
de la comédienne.»<br />
n L’HUMANITE (18/06/04) : «La talentueuse et énergique<br />
Corinne Cousin…»<br />
n LA TERRASSE (06/04) : «Un joli moment de nostalgique<br />
gaieté …»<br />
n LA TRIBUNE (25/03/05) : «Un trio expérimenté et<br />
plein d’humour !»<br />
n LE FIGARO MAGAZINE (05/06/04) : «Ce petit bout de<br />
femme est époustouflant…»<br />
n LE FIGAROSCOPE (03/11/04) : «Un moment de plaisir<br />
dont il serait dommage de se priver.»<br />
n LE JOURNAL DES SPECTACLES (07/04) : «Corinne Cousin<br />
rend divinement hommage aux riches heures musicales<br />
de l’après guerre…»<br />
n LE JOURNAL DU DIMANCHE (05/12/04) : «Avec<br />
gouaille et énormément de talent, C. Cousin fait revivre<br />
<strong>Les</strong> Années Saint Germain.»<br />
LA PRESSE UNANIME<br />
Revue de presse non exhaustive<br />
n LE MONDE (02/12/05) : «Au chant il y a Corinne Cousin, une<br />
présence, un phrasé, une vérité.»<br />
n LE NOUVEL OBSERVATEUR (06/01/05) : «L’œil pétillant et<br />
d’une voix alerte, elle nous rappelle le talent d’écriture des paroliers<br />
nourris de l’insouciance de la libération.»<br />
n LE PARISIEN (27/12/06) : «C.Cousin a de l’énergie, de l’humour...»<br />
n LE PELERIN (09/06/05) : «C.Cousin prouve au public que la<br />
légende est bien vivante !»<br />
n LE POINT (14/10/04) : «Ce spectacle rend superbement hommage<br />
à ce lieu mythique...»<br />
n LES ECHOS (03/03/05) : «La voix est rêche, parfois rebelle,<br />
mais, inimitable, elle accroche.»<br />
n MARIANNE (21/06/04) : «Coup de cœur pour Corinne Cousin.<br />
Drôle, émouvante, éblouissante»<br />
n MARIE CLAIRE (12/04) : «Coup de cœur !»<br />
n PARIS CAPITALE (15/11/04) : «Un spectacle enchanteur !<br />
Délicieux !»<br />
n PARIS MATCH (07/07/05) : «Elle séduit par son énergie et son<br />
humour !»<br />
n PARIS PANAME (24/05/04) : «Corinne Cousin rend un bel<br />
hommage à tous les artistes de l’après-guerre !»<br />
n PARISCOPE (16/06/04) : «divertissant !»<br />
n PARU VENDU (09/12/04) : «C. Cousin y est remarquable, touchante,<br />
émouvante !»<br />
n PLAISIRS MAGAZINE (09/05 : «Elle interprète avec gouaille,<br />
talent et finesse.»<br />
n PLEINE VIE (06/05) : «C.Cousin, au talent de chanteuse et d’actrice<br />
incontestable, chante avec subtilité et humour.»<br />
n TELE POCHE (19/03/05) : «On aime les Années Saint Germain !<br />
Revivifiant !»<br />
n TELERAMA (15/06/05) : «Un charisme toujours aussi étincelant<br />
!» (28/06/06) : « Coup de chapeau tout particulier à<br />
Corinne Cousin!»<br />
n TEMOIGNAGE CHRETIEN (03/06/04) : «Saint-Germain for<br />
ever... Un défi brillamment relevé !»<br />
n TÊTU (juin 2004) : «L’inénarrable Corinne Cousin revisite les années<br />
Saint-Germain…»<br />
n VSD (22/12/04) : «De sa gouaille de titi, elle reproduit avec<br />
brio les timbres de l’époque.»<br />
n ZURBAN (07/07/04) : «Une excellente idée de parcours musical<br />
!»<br />
RADIO<br />
n ALIGRE FM «<strong>Les</strong> sincères» (31/05/04) : «C.Cousin<br />
nous régale de textes superbes.»<br />
n FRANCE BLEU, LA CITY RADIO «<strong>Les</strong> City Baladeurs»<br />
(04/06/04) : «Un travail formidable ! On<br />
aime beaucoup !»<br />
n FRANCE INFO «Le fil rouge» (10/04/06) : «C’est<br />
très sympa ! On passe une très bonne soirée !»<br />
n FRANCE INTER «Nocturne» (26/05/04) : «Un spectacle<br />
rare, un vrai régal !» «Le Pop Club» (21/12/04):<br />
«C.Cousin et ces deux complices nous charment véritablement<br />
! Un grand moment de plaisir !»<br />
n OUI FM (23/05/05) : «L’incroyable Corinne Cousin<br />
est émouvante. un spectacle enchanteur…»<br />
n RADIO NOTRE DAME «Des goûts et des couleurs»<br />
(08/06/04) : «Un vrai moment de plaisir !»<br />
n RTL «La musique que j’aime» (22/02/05) : « Un<br />
spectacle absolument merveilleux que je vous recommande<br />
vivement!» «Ma nuit au poste» (07/06/05) :<br />
«une balade délicieuse !»<br />
n TSF «Coup de Projecteur» (17 et 19/06/04) :<br />
«Interprétés avec beaucoup de sensibilité...»
LES ANNÉES<br />
SAINT-GERMAIN<br />
au Théâtre de Dix Heures<br />
36 Boulevard de Clichy 75018 PARIS<br />
TARIFS : 22€ et 18€<br />
LOCATION : 01 46 06 10 17<br />
à partir du 26 mars 2007<br />
<strong>Les</strong> lundis à 20h30<br />
CONTACT PRESSE<br />
Denis SUBLET<br />
SUTI COMMUNICATION<br />
Tél./Fax : 01 49 95 09 51<br />
Mobile : 06 87 02 69 41<br />
pmkl@tiscali.fr<br />
Spectacle musical avec CORINNE COUSIN<br />
à l’accordéon : Roland Romanelli<br />
au Piano : Raoul Duflot<br />
Lumière : <strong>Jacques</strong> Rouveyrollis<br />
Direction Artistique : Roland Romanelli<br />
CONTACT TOURNÉE<br />
Véronique GUIMARD<br />
TALENT PLUS<br />
Tél. : 01 42 64 49 40<br />
Fax : 01 42 64 30 53<br />
Mobile : 06 14 73 59 98<br />
talentplus@wanadoo.fr<br />
Conception graphique : Roberthiet@noos.fr • Photos : Fabrice Vallon