Voir D2-176-2005-fra.pdf - Publications du gouvernement du Canada
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APPENDICE B<br />
PERSPECTIVES DE L’EXTÉRIEUR :<br />
Nonresponse in a National Telephone Survey », dans Public Opinion Quarterly,<br />
vol. 64, 2000, p. 125-148.<br />
13 Hadley Cantril, Gauging Public Opinion, Londres, Oxford University Press, 1944,<br />
p. 23. D’après Herbert Asher, un professeur de politicologie à la Ohio State University, le<br />
choix des mots influence les réponses et peut favoriser une réponse en particulier. Herbert<br />
Asher, Polling and the Public: What Every Citizen Should Know, 6e édition, Washington,<br />
District of Columbia, CQ Press, 2004, p. 52. <strong>Voir</strong> également le livre de Leo Bogart,<br />
Silent Politics: Polls and the Awareness of Public Opinion, Toronto, Wiley-Interscience, 1972,<br />
p. 13.<br />
14 Seymour Martin Lipset, « The Wavering Polls », dans The Classics of Polling,<br />
Michael Young (dir.), Londres, Scarecrow Press, 1990, p. 281-283.<br />
15 Lipset, The Wavering Polls, p. 287-288. Paul M. Sniderman et Sean M. Theriault affirment<br />
que dans les sondages, la formulation et la séquence des phrases contribuent à encadrer<br />
les sujets et à orienter les réponses (Paul M. Sniderman et Sean M. Theriault, « The Structure<br />
of Political Argument and the Logic of Issue Framing », dans Studies in Public Opinion:<br />
Attitudes, Nonattitudes, Measurement Error, and Change, Willem E. Saris et Paul M. Sniderman<br />
(dir.), Princeton, New Jersey, Princeton University Press, 2004, p. 137).<br />
16 Mueller, Policy and Opinion in the Gulf War, p. 2. Pour en apprendre davantage sur<br />
les problèmes associés à la manipulation des sondages d’opinion publique grâce à l’expression<br />
langagière, voir l’ouvrage de Carroll J. Glynn, S. Herbst, G. O’Keefe et R. Shapiro,<br />
Public Opinion, 2e édition, Boulder, Colorado, Westview Press, 2004, p. 27.<br />
17 Cantril, Gauging Public Opinion, p. 29. Les chercheurs Converse et Presser soulignent<br />
que les personnes chargées de formuler les questions de sondage sont souvent plus<br />
instruites que la majorité des gens sondés, d’où des malenten<strong>du</strong>s. Il est impossible de déterminer<br />
si un répondant a bien interprété chaque question. Le langage peut servir à obscurcir<br />
autant qu’à éclaircir. <strong>Voir</strong> le livre de Jean M. Converse et Stanley Presser, Survey<br />
Questions: Handcrafting the Standardized Questionnaire, Beverly Hills, Californie, Sage<br />
<strong>Publications</strong>, 1986, p. 10-11. L’ouvrage original de Walter Lippman va le même sens :<br />
Public Opinion, New York, Harcourt, Brace, 1922, p. 3-5.<br />
18 Sam G. McFarland, « Effects of Question Order on Survey Responses », dans Public<br />
Opinion Quarterly, vol. 45, no 2, été 1981, p. 212-214.<br />
19 Howard Schuman, Graham Kalton et Jacob Ludwig, « Context and Continuity in<br />
Survey Questionnaires », dans Public Opinion Quarterly, vol. 47, no 1, printemps 1983,<br />
p. 112-115.<br />
20 Cantril, Gauging Public Opinion, p. 29-30. À partir d’un modèle particulier de questionnaire<br />
auquel il faut répondre par « oui ou non », les chercheurs George Bishop,<br />
Robert Oldendick et Alfred Tuchfarber ont démontré qu’un simple changement dans<br />
l’échelle de réponses « d’accord ou en désaccord » procurait aux personnes interrogées un<br />
plus grand choix de réponses, contribuant ainsi à modifier les résultats. Ils mentionnent<br />
qu’en 1968, le centre de recherche sur les sondages de l’université <strong>du</strong> Michigan a augmenté<br />
dans ses questionnaires l’échelle de réponses globale de cinq points à sept points. Il en<br />
a résulté une gamme de réponses élargie et beaucoup plus précise (Bishop et collabora-<br />
Opinions de journalistes et d’analystes de la Défense sur le leadership<br />
militaire au <strong>Canada</strong>