Édition du journal l'Action - Diocèse de Joliette

www.diocesedejoliette.org
Le journal de
l’Église de Joliette Publi-reportage
L’histoire continue de s’écrire
Le Nouveau réseau de paroisses prend forme
L’histoire continue toujours de s’écrire dans
l’important chantier du nouveau réseau de
paroisses. Le travail s’accentue à un rythme impressionnant
dans tout le diocèse et les étapes à
franchir avant la réalisation finale du projet progressent
bien dans l’ensemble des paroisses. Dans
plusieurs Unités paroissiales, la demande officielle
de regroupement a déjà été adressée à notre évêque
et plusieurs autres sont attendues au cours des
prochaines semaines.
Le décret de l’évêque « officialisant » le regroupement
de paroisses est déjà en vigueur à
quelques endroits. Depuis octobre 2012 les
paroisses de l’Épiphanie et Saint-Roch sont regroupées
et sont identifiées sous le nom de la
paroisse Bienheureuse Marie-Rose Durocher. Il en
est de même pour les paroisses Saint-Michel-des-
Saints et Saint-Zénon devenues récemment la
paroisse Notre-Dame des Montagnes, alors que
qu’à Saint-Damien, Sainte-Émélie et Saint-Jeande-Matha
on est regroupé depuis le 1 er avril dernier
sous l’appellation de la paroisse Sainte-Trinité.
Pour Marie-Rose Durocher le siège social sera à l’Épiphanie, à Saint-Michel
pour Notre-Dame des Montagnes, puis à Saint-Jean-de-Matha pour Sainte
Trinité.
Les paroisses du Grand Joliette
seront appelées à porter le nom
de « paroisse Saint-Charles Borromée »
Participant au Séminaire 2013 de l’Organisme pour la vie et la famille
en mars dernier, Mme Louise Bibeau, responsable des Communautés
chrétiennes et Milieux et déléguée à la coordination générale au diocèse
de Joliette, a écrit cet intéressant texte de réflexion.
Dans un monde qui exige de plus en plus de performances et d’habiletés,
il est tentant de juger de la qualité de vie d’une personne d’après
ses capacités, son intelligence, sa lucidité, son autonomie, son état
physique et mental. Ce qui se traduit souvent en termes de dignité ou
de perte de dignité. Le sujet a été abordé lors du récent séminaire de
l’OCVF (Organisation catholique pour la vie et la famille). Deux jours durant
lesquels les conférencières et les conférenciers sont venus nous entretenir
de la dignité de la personne et spécialement celle des plus
vulnérables. Il en va de l’équilibre harmonieux de la société en général:
Rappelons-nous: «Le 10 décembre 1948, les 58 états membres de
l’ONU, qui constituaient alors l’Assemblée générale, ont adopté la
Déclaration universelle des droits de l’homme à Paris, au Palais de
Chaillot». Dans le préambule, on lit : «Considérant que la reconnaissance
de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine
et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement
de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde».
Sommes-nous en train de reculer sur des principes déjà reconnus?
Des campagnes sur Vivre dans la dignité ou encore sur Mourir dans la
dignité apportent de la confusion et du doute chez les personnes qui,
pour toutes sortes de raisons, ont besoin du support et de l’assistance de
Tel que mentionné en début de ce texte,
plusieurs autres paroisses ont franchi ou vont
franchir bien tôt les derniers pas avant un regroupement
officiel. Dans la Région Joliette de Lanaudière
c’est le cas pour toutes les paroisses du Grand Joliette
et pour celles de l’Unité des Rivières (Sacré-
Cœur de Crabtree, Saint-Paul et Saint-Thomas), et
pour les paroisses de l’Unité Chemin du Roy (Lavaltrie
et Lanoraie) dans la Région d’Autray.
Avant décembre 2013
Pour ce qui est de l’échéancier prévoyant des regroupements
à travers tout le diocèse d’ici décembre
2013, Louise Bibeau, coordonnatrice du projet du
nouveau réseau de paroisses, se montre présentement
très optimisme. Elle ne cache pas sa grande
satisfaction devant le travail réalisé jusqu’à maintenant,
ajoutant qu’avec les autres membres et collaborateurs
de l’équipe, on va poursuivre
l’accompagnement nécessaire afin de franchir les
dernières étapes menant à la mise en en place finale
du « nouveau réseau de paroisses ».
Au début de l’automne prochain, ajoute Mme Bibeau, plusieurs autres
annonces seront faites et on aura une idée encore plus précise du travail qu’il
restera à faire d’ici la fin de 2013..
Quelle valeur a la vie d’une personne ?
leur entourage et de services spécialisés. Le vieillissement massif de la
population québécoise devient de plus en plus lourd à porter pour la société.
Les plus vulnérables coûtent cher à la société mais n’ont plus la
capacité d’y être «rentables». Dans un monde de performance et de
rentabilité, comment accepter le vieillissement, la perte d’autonomie, le
fait d’être différent ou dépendant des autres? Dans un tel contexte, comment
considérer le projet de loi Mourir dans la dignité, qui propose de
légaliser l’euthanasie et le suicide assisté? Est-ce la solution? De nombreux
médecins en doutent et s’y opposent. D’autant plus qu’on souhaite
reconnaître l’euthanasie comme un «soin». Quel sera l’impact sur le
corps médical? Pourront-ils avoir le même lien de confiance avec leurs
patients? Est-ce représentatif d’une société responsable et soucieuse de
la personne humaine?
Quel regard portons-nous sur les personnes? Qui ou quoi voyonsnous?
Un être cher ou un cancéreux? Un voisin ou un quadraplégique?
Le fils d’une amie ou un trisomique? Quelle image, acceptable ou inacceptable
à nos yeux, nous est retournée lorsque nous posons notre regard
sur eux?
Qui sommes-nous pour exiger ou permettre ce pouvoir sur la vie et
la mort?
Des sites à consulter : http ://www.vivredignite.com/
http ://www.un.org/fr/documents/udhr/
http ://www.colf.ca/
Louise Bibeau
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Mot de Mgr
Gilles Lussier
« Venez à l’écart »
Je terminerai très prochainement les célébrations du sacrement
de la Confirmation dans les communautés chrétiennes
du diocèse. Cette année, j’ai eu la collaboration fort appréciée
d’un confrère, Mgr Vital Massé, évêque émérite du diocèse de
Mont-Laurier ; il est bon de rappeler que Mgr Massé est originaire
de Saint-Barthélemy et qu’il a oeuvré dans notre diocèse,
comme prêtre, jusqu’à son ordination comme évêque auxiliaire
au diocèse de Saint-Jérôme, en 1993. Il est au nombre des jubilaires
de l’année (50 ans) avec l’abbé Forest Hénault, p.m.é.
(60 ans), le père Paul Bois, m.s.a. (50 ans), le frère Georges-
Émile Bolduc, f.s.g. (25 ans), le père Gabriel Nyembwe, c.s.v.
(50 ans) et l’abbé Luc Ricard (50 ans et quelques mois). Nos
félicitations et nos meilleurs vœux les accompagnent.
Je reviens aux confirmations pour souligner la qualité des
célébrations, résultat des parcours catéchétiques élaborés au
cours des dernières années et vécus tant par les jeunes et leurs
familles que par les confirmands adultes. Au moment de l’imposition
des mains où nous demandons au Père de combler le
cœur des confirmands de l’Esprit même qui reposait sur Jésus,
j’ajoute souvent : "Accorde-leur un esprit d’émerveillement et
de fraternité".
Au terme d’une année pastorale bien remplie et à l’aube
d’une saison estivale propice au repos, ce sont ces mêmes dons
que je nous souhaite abondamment. Le rythme de nos vies est
de plus en plus accéléré, du moins pour un grand nombre. Il
est bienfaisant de relâcher un peu la pression, de reprendre
souffle, de considérer le chemin parcouru et de s'en émerveiller
; seul et avec d’autres.
N’est-ce pas ce que Jésus proposait, un jour, à ses disciples?
De retour d’une mission où Jésus les avait envoyés, deux par
deux, annoncer la Bonne Nouvelle, les "Apôtres se réunissent
auprès de Jésus et ils lui rapportèrent tout ce qu’ils avaient fait
et tout ce qu’ils avaient enseigné". Il leur dit : "Vous autres,
venez à l’écart dans un lieu désert et reposez-vous un peu." Car
il y avait beaucoup de monde qui venait et repartait et eux
n’avaient même pas le temps de manger. Ils partirent en barque
vers un lieu désert, à l’écart." (Mc 6, 30-32).
C’est à chacun et chacune que je souhaite une halte réconfortante
et ressourçante et, en particulier, à tous les membres
du personnel pastoral, aux nombreux bénévoles dans nos communautés
chrétiennes ainsi qu’aux personnes qui se sont si
généreusement et demeurent impliquées dans la mise en place
du nouveau réseau de paroisses.
Bon été !
† Gilles Lussier
Évêque de Joliette

Merci à tous ceux et celles qui ont posé un geste qui rapporte
et qui ont contribué à la grande réussite du tirage 2013 !
Gagnants du Tirage
Diocèse-paroisses 2013
1 ER PRIX NO : 2107
Un montant en argent de 45 000$
Paroisse Marie-Reine-du-Monde/
St-Patrick de Rawdon
2 E PRIX NO 2845
Un montant en argent de 10,000$
offert par la Caisse Desjardins de Joliette
Monsieur Jean-Guy Forest
Paroisse Cathédrale, Joliette
3 E PRIX NO 1822
Un montant en argent de 4 000$
offert par Canadian Tire
Groupe de 4 personnes de l’Épiphanie :
Diane – Alain – Michel et Pierre Pimparé
4 E PRIX NO 2599
Téléviseur Sony 60 po, lecteur Bluray
et meuble : valeur de 3000$,
une collaboration de SonXPlus Joliette.
Diane Lesieur, paroisse Saint-Paul
5 E PRIX NO 2656
Bon d’achat en épicerie d’une valeur
de 2 500$ offert par IGA Crevier.
Groupe de 10 personnes : Lyne Leblanc-Saint - Alexis, Céline
Durand -Saint-Charles-Borromée, Robert Chaput-Saint
- Charles-Borromée, Jean-Luc Chaput – Montréal, Martine
Besner – Saint-Charles-Borromée, Denise – Masson,
Sainte-Mélanie, Nathalie Leblanc – Saint-Charles-Borromeé,
Lucie Massicotte – L’Assomption, Stéphane Goyet –
Saint-Charles-Borromée, François Robilliard - Repentigny
6 E PRIX NO 2513
Montant en argent de 1 000$
des Restaurants Benny & Co.
Patrice Diotte, de Notre-Dame-des-Prairies
7 E PRIX NO 2162
Montant en argent de 1 000$
de EBI Environnement
Groupe de 5 personnes : Liette Lebrun – Sainte-Mélanie,
Hélène Farley – Sainte-Mélanie, Luc Bonin – Sainte-Mélanie,
Clarence Lord – Saint-Jacques, Fleurette Larochelle –
Sainte-Mélanie.
8 E PRIX NO 357
Un montant en argent de 600$ - de Bijouterie P.M. Bélanger,
Joliette.
Gervais Desrochers, paroisse Sacré-Cœur de Crabtree
9 E PRIX NO 1258
Un montant en argent de 500$
Claude Collard, paroisse Saint-Gabriel de Brandon
10 E PRIX NO 2702
Un montant en argent de 500$
André Lesage, Verdun
Vincent Benny, président d’honneur 2013, Mgr Gilles Lussier,
François Saint-Jean, Villeneuve-Honda Joliette,
lors du tirage du premier prix le 22 mai dernier.
Jean Denommé de la Caisse Desjardins de Joliette,
présente le chèque de 10 000$ à M. Jean-Guy Forest de Joliette.
Stéphane Goyet (un des 10 membres du groupe ayant remporté le prix
de 2 500$ en achat dans les IGA Crevier de la région), Serge Saint-Onge
du IGA Crevier de Saint-Charles-Borromée, et Mgr Gilles Lussier.
Un comité d’honneur
exceptionnel
PRÉSIDENT 2013
Vincent Benny - Restaurants Benny & Co.
PRÉSIDENT 2012
Christian Arbour- Les Ent. Christian Arbour Inc.
André Auger, Maire de Saint-Lin
Alain Beaudry, Conseiller à la ville de Joliette
Pierre Bélanger, P.M. Bélanger
Nathalie Bérard, SonXPlus
Me André Cantin, Notaire
Maryse De Grandpré, Martin Boulard et Ass.
Jean Denommé, Caisse Desjardins de Joliette
Colette Desjardins, Conseillère à N.D.P
Pierre Gagnon, Auteur
Martin Gaudreault, Groupe Gaudreault
Serge Grégoire, Grégoire sports
Jérôme Landry, Pharmacien, Saint-Jean-de-Matha
Jacques Lane, Bénévole émérite
Jean-Claude Mailhot, Lanauco
France Martin, Librairie Martin
André Nadeau, Journal l’Action
Francis Pilon, I.G.A Crevier
François St-Jean, Mazda & Honda de Joliette
Me Claude St-Laurent, Avocat
M. Léo Vallières, Canadian Tire Joliette
Merci à nos généreux
commanditaires
et collaborateurs
Villeneuve-Honda Joliette
La Caisse Desjardins de Joliette
Canadian Tire de Joliette
I.G.A Crevier
SonXPlus, Joliette
Les Restaurants Benny & Co.
EBI Environnement
La Bijouterie P.M. Bélanger de Joliette
À l’an prochain pour la 10 e édition du Tirage Diocèse-Paroisses
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Nous vous offrons conseils, choix et service hors pair airr.
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450 4 5 0 7 753-3765 753-3765 5 3 - 3 7 6 5 /
/ / 1
1 1 888 8 888 888 8 8 482-6676 4 482-6676
482-6676 8 2 - 6 6 7 6
option 1

Fête des travailleurs
et des travailleuses
Réveils populaires
Le 1 er mai dernier, le conseil Église et société de
l’Assemblée des évêques catholiques du Québec a
offert ses meilleurs vœux de fête aux travailleurs et
aux travailleuses du Québec. Avec eux et elles, il
souhaite porter un regard de foi sur les réveils
popu laires et multiplier leur potentiel de redistri -
bution de la richesse et d’inclusion sociale.
La mobilisation contre la réforme de l’assu -
rance-emploi qui a pris la rue le 27 avril dernier à
Montréal est un nouvel exemple de réveil populaire.
À l’instar des contestations étudiantes de l’an
dernier, elle est synonyme de dérangement pour
certains et d’espérance pour d’autres. Le message
mentionne des réveils populaires tels Idle no more
– Fini l’inertie, qui pointent tous dans le sens de
changements de fond aux pouvoirs économiques et
financiers. Il dénonce les idéologies néfastes qui
conditionnent ces pouvoirs et nuisent aux travailleurs,
aux travailleuses, à leur famille et à leur
région. Il met en lumière l’espérance soulevée par
ces réveils et surtout, le pouvoir populaire de
« transformer des structures qui appauvrissent, excluent
et oppriment un nombre croissant d’humains.
» Et si les réveils populaires étaient, par-delà
leurs aspects dérangeants, de véritables signes des
temps? Si les appels à la solidarité avaient un lien
avec la foi en un Dieu libérateur? Le texte intégral
de ce Message du 1er mai, est disponible sur le site
internet de l’AECQ et sur le site du diocèse de
Joliet te : www.diocesedejoliette.org
La fabrique de l'Île Dupas vous dit :
25 000 fois MERCI !
Après 1 mois de mobilisation et de vote intensif,
les efforts de toute la population ont porté fruit! En
effet, l’église de La Visitation-de-l’Île-Dupas a remporté
l'édition 2013 du concours Sauvez un bâtiment
de chez nous organisé par le canal Historia.
Elle remporte ainsi la bourse « Historia pour le pa -
trimoine » d’une valeur de 25 000 $. La fabrique de
l'Île Dupas tient à remercier chaleureusement
toutes les personnes, organismes et partenaires de
la paroisse et des environs qui ont encouragé et qui
se sont donnés à fond dans cette aventure hors du
commun!
Toit de la Cathédrale de Joliette
Notre évêque, Mgr Gilles Lussier, présidera au
cours des prochaines semaines la campagne de financement
visant la seconde phase de rénovation
du toit et des portes de la Cathédrale de Joliette. Le
montant des travaux à réaliser s’élève à un peu plus
de 50 000$.
Vous êtes tous et toutes invités à participer à
cette campagne. Pour ce faire, vous n’avez qu’à
émettre votre chèque à l’ordre de CECR de Joliette.
Vous faites parvenir le tout à : CECR Joliette, 2 rue
Saint-Charles-Borromée nord, Joliette, J6E 6H6, en
prenant soin d’y indiquer vos coordonnées et la
mention : « Toit et portes de la Cathédrale ». On
peut également offrir son don en se rendant directement
au Bureau de la Cathédrale, soit à
l’Évêché de Joliette. Un reçu pour fin d’impôts sera
émis pour les dons de 20$ et plus.
L’INFO…DIOCÉSAIN
Confirmations d’adultes
Le 19 mai dernier, lors du dimanche de la Pentecôte,
en la Cathédrale de Joliette, près de 70
adultes ont reçu le sacrement de Confirmation.
C’est Mgr Gilles Lussier, évêque de notre diocèse
qui a présidé cette célébration devant plusieurs
centaines de personnes. Depuis l’automne 2012, ces
adultes ont cheminé dans leurs communautés respectives
afin d’approfondir leur foi et se préparer
à ce grand événement.
Célébration de la Saint-Jean-Baptiste
Nous vous invitons cordialement à venir
célébrer la fête de la Saint-Jean-Baptiste lors de la
célébration eucharistique du lundi 24 juin 2013, à
10h30, à la Cathédrale de Joliette. Dès 10h00, l’ani -
mation musicale, puisée dans le répertoire québécois,
sera assurée par l’organiste Jacques Giroux,
ainsi que par les Chanteurs de la Place Bourget,
sous la direction de Claudel Callender. Un groupe
de danseurs de la troupe folklorique La Foulée participeront
également à la célébration. Un vin d’honneur
sera servi à la fin de la messe. Bienvenue à
tous et à toutes !
Faire des parents nos complices !
Nous le savons tous : les parents ont un rôle essentiel
à jouer dans l'éducation de la foi de leurs enfants
! Mais encore faut-il qu'ils le découvrent !
Voilà justement un des succès qu'a connu La P'tite
Pasto dans les communautés où elle est implantée.
Ce parcours attire les jeunes familles et il permet
de faire des parents nos complices ! Comme à
tous les printemps à la mi-juin, nous organisons un
atelier de formation La P'tite Pasto, à Montréal
(sans frais).
Que vous connaissiez ou non La P’tite Pasto,
qu’elle soit ou non implantée chez vous, cet avantmidi
animé par les créatrices de La P’tite Pasto peut
vous intéresser et vous aider à rejoindre les jeunes
familles de votre quartier. Voici une courte session
qui fait le tour de la question et qui permet de
répondre aux vôtres ! Le tout aura lieu le vendredi
14 juin, de 9h à 12h, à l’église Saint-André-Apôtre,
à Montréal. Pour s’inscrire : Isabelle, 514-387-1542.
Aucuns frais. Pour plus d’informations : www.laptitepasto.com
Journées pastorales
Le chantier Vers un nouveau réseau de
paroisses et ses communautés est en cours de réa -
lisation tant au niveau de l’organisation que de l’articulation
du leadership pastoral. Ce changement
d’Église appelle tous les acteurs de la mission à une
conversion personnelle où l’Évangile trouve écho
dans leur cœur. Afin d’apporter l’aide nécessaire et
pour ouvrir des chemins nouveaux en nous et autour
de nous, et ainsi mieux préparer l’avenir, M.
l’abbé Pierre Goudreault, était l’invité aux Journées
pastorales tenues en mars dernier. Une soixantaine
de personnes provenant du personnel pastoral de
tout le diocèse participaient à cet important événement.
Sur la photo on retrouve Mgr Jean-Paul-Laferrière,
P.H., Louise Bibeau, l’abbé Pierre Goudreault,
Georgette Beaudry et Mgr Lussier.
Des jeunes de notre diocèse
Participeront au JMJ RIO 2013
À 47 jours de la tenue des Journées Mondiales
de la Jeunesse, plus de 215,000 jeunes de partout
dans le monde étaient inscrits à ce grand pèlerinage,
alors que plus de 2 000 000 sont attendus
pour la fin de semaine de clôture. Fabrice Mpouma,
séminariste et Dominic Bibeau, responsable du
groupe du diocèse de Joliette y participeront. Au
programme, une semaine missionnaire dans une
communauté de la grande région de Rio, quelques
activités culturelles et touristiques puis la semaine
des JMJ qui se tiendront à Rio De Janeiro. Au cours
de cette semaine des catéchèses seront données par
des évêques dans différentes églises de la ville, des
activités culturelles et religieuses auront lieu. Le
soir du 27 au 28 juillet, tous seront rassemblés en
un seul lieu, en plein air, avec le pape François qui
ouvrira la soirée de prière. Suivra une vigile tout
au long de la nuit. Au matin, le pape les rejoindra
à nouveau pour célébrer avec eux l’eucharistie qui
viendra clôturer ce grand événement.
Fabrice et Dominic vivront sûrement une expérience
marquante comme de nombreux jeunes
d’ici et d’ailleurs ont eu la chance de vivre depuis
la première JMJ. Vous connaissez peut-être une
personne qui a déjà participé. :
En 1986, à Rome, les premières JMJ ont été
diocésaines. Puis elles ont été ont suivies des rencontres
au niveau mondial : à Buenos Aires (Argentine
– 1987) – avec la participation d’1 million de
jeunes; à Saint Jacques de Compostelle (Espagne –
1989) – 600 000 participants ; à Czestochowa
(Pologne – 1991) – 1,5 million; à Denver (Etats-
Unis – 1993) – 500 000; à Manille (Philippines –
1995) – 4 millions; à Paris (France- 1997) – 1 million;
à Rome (Italie – 200) – 2 millions; à Toronto
(Canada – 2002) – 800 000; à Cologne (Allemagne
– 2005) – 1 million; à Sydney (Australie – 2008) –
500 000 et enfin à Madrid (Espagne – 2011) – 2 millions
de jeunes. (http://www.rio2013.com/fr/lajournee/jmj-un-reve-du-coeur-de-dieu)
Au retour les efforts se poursuivront pour réunir
les ex-JMJ-istes et de futurs JMJ-istes afin de
maintenir une dynamique de groupe au cœur de
notre diocèse, de se donner un lieu de partage et de
ressourcement qui sera une raison d’espérer en
l’avenir de l’Église. La foi n’est pas morte au cœur
des jeunes générations, elle se transmet et se vit différemment.
Sachons les accueillir et les soutenir.
Louise D.-Bibeau , coordonnatrice
www.diocesedejoliette.org
Publi-reportage
Petites
tranches
de vie
10 raisons
pour lesquelles
les hommes
ne devraient pas
être ordonnés
prêtres
J’ai trouvé un petit texte humoristique
décrivant un monde où ce sont les femmes
qui sont ministres dans l’Église. Voici dix
raisons pour justifier ce choix :
10. La place des hommes est dans l’armée.
9. Les tâches pastorales d’un homme qui a
des enfants pourraient le distraire de ses
res ponsabilités de parent.
8. La morphologie et le physique des
hommes indiquent qu’ils sont davantage
faits pour abattre des arbres et se battre
avec des ours. Ce ne serait pas «naturel»
pour eux de remplir les tâches du minis -
tère.
7. L’homme a été créé avant la femme,
mani festement comme un prototype.
Ainsi ils sont plus un essai que le
couronnement de la création.
6. Les hommes sont trop émotifs pour être
pasteurs. Leur comportement lors des
parties de hockey et de football en est la
preuve.
5. Certains hommes sont beaux et cela
pourrait distraire certaines parois -
siennes à la messe.
4. Les pasteurs doivent éduquer leurs communautés.
Ce n’est pas le rôle traditionnel
des hommes. À travers l’histoire, ce
sont les femmes qui ont été reconnues
de meilleures éducatrices et naturellement
faites pour cette tâche. Cela rend
évident le choix pour l’ordination.
3. Les hommes prônent souvent la violence.
Les vrais mâles ne veulent pas régler
les disputes. Ils préfèrent la bataille.
Ils seraient ainsi de pauvres pacificateurs
et incapables d’un leadership qui favorise
l’unité et la réconciliation.
2. Le Nouveau Testament nous dit que
Jésus a été trahi par un homme.
1. Les hommes peuvent remplir des tâches
en Église sans être ordonnés. Ils peuvent
laver les planchers, réparer la toiture de
l’église et peut-être chanter une chanson
à la fête des Pères. En continuant à
garder leurs rôles traditionnels, ils peuvent
encore avoir une place importante
pour la vitalité de l’Église.
Sur ce je vous dis bonne saison estivale !
Yves Chamberland

« Le fait de vivre dans une société clairement pluraliste est une
situa tion que les générations précédentes de catholiques québécois
n’auraient pas imaginée. Il nous faut donc apprendre de nouvelles
manières d’être chrétiens et chrétiennes catholiques dans une société
qui ne se reconnaît plus nécessairement en nous. » Tel est le propos du
message pastoral que l’Assemblée des évêques nous présente et qui est
intitulé «Catholiques dans un Québec pluraliste».
Comme on vous l’indiquait précédemment, Le Diocésain vous
présente ici les derniers textes représentant la troisième et dernière partie
de cet important message. Il est à noter que le texte intégral est toujours
disponible sur les sites internet de l’AECQ et du diocèse de
Joliette.
Liberté religieuse et engagement social
Dans tout État démocratique, le gouvernement a un rôle fondamental
à jouer pour assurer ce que le préambule de la Déclaration universelle
des droits de l’homme appelle « le respect universel et effectif»
des droits et libertés. Et ce respect inclut celui de la liberté de religion.
Jouir de la liberté de religion, c’est bien sûr pouvoir librement se
réunir avec d’autres croyants pour la prière et le culte. Mais c’est encore
plus. D’après la Déclaration universelle, le droit à la liberté de pensée,
de conscience et de religion implique « la liberté de manifester sa religion
ou sa conviction seul ou en commun, tant en public qu’en privé,
par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des
rites » (Article 18). Il s’agit là, il faut le noter, d’un droit fondamental et
non d’une concession ou d’un privilège que les États accorderaient à
leurs citoyens.
Dans le cas des chrétiens, concrètement, ce droit fondamental veut
dire pouvoir mettre l’Évangile en pratique dans la vie de tous les jours,
en paroles et en actes, en privé comme en public. « Ainsi donc, celui
qui n’agit pas, sa foi est bel et bien morte, et on peut lui dire : “Tu prétends
avoir la foi, moi je la mets en pratique. Montre-moi donc ta foi
qui n’agit pas ; moi, c’est par mes actes que je te montrerai ma foi.” »
La dimension communautaire et les manifestations extérieures,
dans l’espace public, font partie intégrante de la pratique de toute religion.
Il s’agit d’une caractéristique fondamentale de l’appartenance religieuse.
Certes, la foi germe dans la conscience individuelle et la liberté
personnelle. Mais elle se vit toujours avec d’autres. C’est personnel, oui,
mais ce n’est pas restreint au domaine de la vie privée.
Ainsi le christianisme a été dès ses origines un mouvement qui s’est
manifesté dans l’espace public. Jésus — c’est bien connu — attirait les
foules. Il parcourait villes et villages de la Galilée, de la Judée et des environs,
et on venait à lui de partout. Lors de sa dernière visite à
Jérusalem, il a été accueilli par une foule en liesse et, le vendredi sui -
vant, il a été crucifié sur la place publique. Quelques semaines plus tard,
c’est à la foule des pèlerins venus à Jérusalem pour la fête de la Pentecôte
que l’apôtre Pierre, rempli de l’Esprit saint, proclame la résurrection
du Christ et que l’annonce de la Bonne Nouvelle résonne dans
toutes les langues. Par la suite, au cours des siècles, les places publiques
ont accueilli les symboles et les monuments chrétiens, de même que
les manifestions de foi comme les processions et les traditionnels
chemins de croix. L’Église se veut une communauté ouverte sur la société
et non une secte de l’ombre et du secret, même s’il y a eu — et s’il
y a malheureusement encore — des persécutions et des tyrannies qui
ont contraint les croyants, pour un temps, à la clandestinité ou à l’exil.
Or, aux manifestations et symboles chrétiens s’ajoutent maintenant
des signes et des pratiques auxquels la société d’ici n’était pas habituée.
Il y a là un beau défi : celui d’aménager un espace public ouvert et accueillant,
où puissent s’exprimer, dans le respect mutuel, les valeurs et
les croyances des uns et des autres. Mais s’il s’agit d’un défi, on peut
aussi y voir une occasion, une chance. Une chance de grandir comme
collectivité. Une chance même d’ouvrir et de baliser des voies que
d’autres sociétés pourront suivre, à l’exemple des Québécoises et des
Québécois.
Catholiques dans un Québec pluraliste
Le fait de vivre dans une société clairement pluraliste est une situa -
tion que les générations précédentes de catholiques québécois n’auraient
pas imaginée. Il nous faut donc, dans une certaine mesure,
Qui n’a pas lu ou entendu un jour l’émouvante parole du Christ qui
s’identifie avec toutes les personnes dans le besoin : « J’avais faim et
vous m’avez donné à manger, j’avais soif et vous m’avez donné à boire,
j’étais un étranger et vous m’avez accueilli, j’étais nu et vous m’avez
habillé; j’étais malade et vous m’avez visité; j’étais en prison et vous êtes
venus jusqu’à moi. (…) Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez
fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez
fait. » Ainsi, pour les catholiques, pratiquer sa religion implique de se
mettre concrètement au service des démunis et des laissés-pourcompte.
Cela pourra se faire tant par des initiatives individuelles que
par la mise sur pied d’organismes d’entraide, de partage et de charité
qui pourront être — même dans une société pluraliste — explicitement
catholiques et reconnus comme tels.
Mettre en pratique la foi catholique pourra aussi impliquer de prendre
la parole ou de s’engager dans des mouvements pour modifier des
institutions, des lois ou des conditions de vie ou de travail qui seraient
indignes, inéquitables ou contraires aux valeurs de l’Évangile.
La religion dans l’espace public
apprendre de nouvelles manières d’être chrétiens et chrétiennes
catholiques dans une société qui ne se reconnaît plus nécessairement
en nous.
C’est bien sûr notre adhésion au Christ qui, pour nous, fait toute la
différence. Or, ce Jésus de Nazareth qui est le centre de nos vies et qui
a tant marqué l’histoire de l’humanité, il continue d’intéresser, d’intriguer
et de questionner bien des hommes et des femmes d’aujourd’hui,
même non croyants. Si on insérait une question sur Jésus dans
un sondage, on obtiendrait sans doute toutes sortes de réponses, dont
certaines seraient bien différentes de la foi de l’Église. Mais les premiers
disciples de Jésus n’ont-ils pas vécu une situation semblable ? Un passage
célèbre de l’Évangile peut le laisser penser. Un jour, en effet, le
Christ a procédé à une sorte de sondage d’opinion : « Jésus priait à l’écart.
Comme ses disciples étaient là, il les interrogea : “Pour la foule,
qui suis-je ?” Ils répondirent : “Jean Baptiste; pour « Jésus leur dit : “Et
vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ?” Pierre prit la parole et
répondit : “Le Messie de Dieu.” » Le « sondage » de Jésus avait confirmé
que les gens s’interrogeaient sur lui et qu’ils essayaient de se faire une
opinion à son sujet. Mais la réponse déterminante n’est venue que de
ses proches, par la bouche de Simon-Pierre. Il fallait avoir accompagné
Jésus et l’avoir longuement fréquenté en tant que disciple pour être en
mesure d’accueillir la révélation de son identité et de sa mission. « Jésus
lui déclara : “Heureux es-tu, Simon fils de Yonas : ce n’est pas la chair
et le sang qui t’ont révélé cela, mais mon Père qui est aux cieux.” »
Il en est de même aujourd’hui et ce, d’autant plus que l’on vit dans
un contexte pluraliste et dans un monde de médias et de réseaux où circulent
toutes sortes d’opinions sur Jésus. La vraie connaissance du
Christ, celle qui compte, celle qui permet de donner une base solide à
la vie, celle qui se traduit par l’engagement concret dans le monde, cette
connaissance-là ne viendra, comme au temps des Apôtres, que de l’expérience
réelle de l’intimité avec le Seigneur et de la fraternité au sein
de l’assemblée de ses disciples, l’Église. On ne peut arriver à connaître
vraiment le Christ autrement.
Un trésor à partager, une joie contagieuse
Être catholique dans une société pluraliste et dans un univers de
www.diocesedejoliette.org
Message pastoral de l'Assemblée des Évêques Catholiques du Québec
Publi-reportage
« Catholiques dans un Québec pluraliste »
Plusieurs membres de l’Assemblée des évêques participaient, à
Québec le samedi 18 mai, à la marche populaire organisée sur le
thème « L’euthanasie chez nous, non merci ! » Ici : Mgr Denis
Grondin, évêque auxiliaire à Québec, Mgr Gaétan Proulx, évêque
auxiliaire à Québec, et Mgr Noël Simard, évêque de Valleyfield.
Les gouvernements et le fait religieux
L’option d’une société pour des institutions laïques ne signifie pas
qu’il ne sera jamais question de religion dans les affaires publiques.
Ainsi, par exemple, plusieurs lois de l’Assemblée nationale traitent spécifiquement
d’institutions catholiques. La plus connue est sans doute
la Loi des Fabriques qui encadre l’existence légale des paroisses et qui
définit, notamment, le rôle et les pouvoirs des marguilliers que les
paroissiens élisent pour gérer les biens de la communauté. On peut
mentionner également la loi qui encadre les cimetières catholiques, ou
celle qui traite des congrégations religieuses.
Par ailleurs, il y a parmi les employés syndiqués de l’État québécois
des personnes spécifiquement engagées pour répondre à des besoins
spirituels ou religieux. C’est le cas du personnel chargé de l’animation
de la vie spirituelle et de l’engagement communautaire dans les écoles
publiques. C’est aussi celui des intervenants et intervenantes en soins
spirituels dans les établissements relevant du ministère de la Santé et
des Services sociaux. En assurant ces services dans une perspective
oecu ménique et interreligieuse, selon les besoins et les caractéristiques
de chaque milieu, l’État veille au bien commun et s’assure du bien-être
de ses citoyens et du respect de leurs droits.
On retrouve l’équivalent en milieu carcéral où la présence de l’animateur
de pastorale peut parfois être vitale. Et il ne faudrait pas passer
sous silence le rôle des aumôniers militaires : un des membres de
l’Assemblée des évêques catholiques du Québec est l’évêque des militaires
du Canada, qui exerce son ministère en étroite collaboration avec
des pasteurs d’autres confessions. Il s’agit bien souvent, dans des circonstances
difficiles voire tragiques, d’un ministère absolument essentiel.
Dans un autre ordre d’idées, le gouvernement veille à la préservation
de l’héritage et du patrimoine religieux du Québec. Il le fait au nom
et au bénéfice de tous les Québécois et Québécoises d’aujourd’hui et de
demain.
communication et de réseaux, c’est être appelé à la rencontre de la différence
: différence de foi, de pratiques religieuses (ou non), de convictions,
d’opinions. Notre attitude sera cellede l’accueil, de l’ouverture,
de l’écoute bienveillante et du respect. Cette attitude se traduira, en
particulier, par un engagement déterminé dans la collaboration oecuménique
et le dialogue interreligieux, qui sont des composantes essentielles
de la vie et de la mission de l’Église.
Bien sûr, dans une société qui s’est habituée à une actualité marquée
par les conflits incessants, alimentés par toutes sortes d’intérêts et
d’idéologies, nous ne rencontrerons pas toujours la bienveillance. Nous
pourrons avoir à faire face à de la méfiance, voire à de l’hostilité. Les
mots de saint Pierre, dans sa première lettre, gardent alors toute leur
importance : « Vous devez toujours être prêts à vous expliquer devant
tous ceux qui vous demandent de rendre compte de l’espérance qui est
en vous; mais faites-le avec douceur et respect. »
Ancrés dans la foi, portés par l’espérance et motivés par l’amour,
nous chercherons à être en toutes circonstances, comme nous y invite
le Seigneur, « sel de la terre » et « lumière du monde ». Et quel que soit
notre âge, nous pourrons faire nôtre le message que le Saint-Père
Benoît XVI adressait aux jeunes catholiques à l’occasion de la Journée
mondiale de la Jeunesse 2012 :
« Chers amis, je voudrais vous exhorter à être missionnaires de la
joie. On ne peut pas être heureux si les autres ne le sont pas : la joie
doit donc être partagée. Allez dire aux autres jeunes votre joie d’avoir
trouvé ce trésor qui est Jésus lui-même. Nous ne pouvons pas garder
pour nous la joie de la foi : pour qu’elle puisse demeurer en nous, nous
devons la transmettre. Saint Jean l’affirme : “Ce que nous avons vu et
entendu nous vous l’annonçons, afin que vous aussi soyez en communion
avec nous [...] Tout ceci nous vous l’écrivons pour que notre joie
soit complète”. [...] « Soyez donc des missionnaires enthousiastes de
la nouvelle évangélisation ! Allez porter à ceux qui souffrent, à ceux
qui cherchent, la joie que Jésus veut donner. Portez-la dans vos
familles, vos écoles et vos universités, vos lieux de travail et vos groupes
d’amis, là où vous vivez. Vous verrez qu’elle est contagieuse. »