« How I met your mother » : les clés du succès - Gymnase Auguste ...

Lily Aldrin :
C’est la femme de Marshall, elle travaille comme institutrice en maternelle. Lors de la saison
5, elle fête son 32 ème anniversaire. Son rêve depuis toute petite est de devenir artiste, ce qui est
la cause de sa rupture avec Marshall : à l’approche de son mariage, elle prend conscience de
ses rêves inassouvis qu’elle avait dû mettre de côté à cause de son compagnon. Elle s’en va
donc à San Francisco pour y suivre un programme d’art. Mais après quelques mois là-bas, elle
ne parvient pas à oublier son Marshall, alors elle décide de revenir à New-York. Elle s’essaie
ensuite à plusieurs métiers comme assistante dans le cabinet de Ted ou comme serveuse dans
un restaurant hawaïen, mais aucun ne la satisfaisant, elle redevient institutrice. Prise
d’angoisse à l’idée d’affronter la famille de Marshall après avoir annulé le mariage, elle
souhaite se marier sur-le-champ à Atlantic City. Mais après avoir pris le recul nécessaire, elle
décide d’organiser le mariage dont elle rêvait étant petite.
Elle est très autoritaire et se fait respecter sans trop de problèmes. Elle est aussi la voix de la
raison et ainsi qu’une confidente pour le groupe. Même Barney demande son aide quand il
tombe amoureux de Robin. On peut vraisemblablement dire qu’elle est considérée comme une
sorte de « maman » par ses amis. Bien qu’elle soit pleine de bonne volonté, Lily arrive à
énerver ses amis quand elle se mêle des affaires qui ne la concernent pas. Lorsque quelque
chose la contrarie, elle fait du shopping ce qui a créé une véritable dépendance et un grave
endettement. Longtemps la seule fille de la bande, l’arrivée de Robin avec qui elle s’entend
rapidement est pour elle un sacré soulagement. Un autre trait de caractère important chez Lily
est qu’elle est strictement incapable de garder un secret ce qui crée des situations comiques
dans la sitcom.
On ne sait pas grand choses à propos de ses parents, elle ne parle jamais de sa mère et tout ce
qu’on sait sur son père, Micky, c’est qu’il invente (en vain) des jeux de société.
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