Carte Boisvert.jpg - CRMT en Limousin

Jacques Coget
La Madeleine - 59
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Les premières enquêtes, répertoriées ci-aprés, ne peuvent en aucun cas être assimilées à de la
recherche. Il s'agissait à l'époque essentiellement de rencontres destinées à mieux comprendre
la réalité d'une musique (ses acteurs, ses techniques, ses répertoires, ses occasions de jeu)
pour mieux s'en imprégner. Tout au plus peut-on parler de collectages.
Août 77: Rencontre avec Jean Chastagnol (Corrèze)
07 enregistrements (BM) *
Rencontre avec Julien Chastagnol (Corrèze)
11 enregistrements (BM) *
Août 79: Rencontre avec Jean Lamoure (Corrèze)
26 enregistrements (BM) **
Rencontre avec Gaston Pouget (Corrèze)
31 enregistrements (BM) *
Juillet 80: Rencontre avec Alfred Gasne (Creuse)
28 enregistrements (BM) ***
Rencontre avec Arsène Courty (Creuse)
12 enregistrements (BM) ****
Août 81 Rencontre avec Arsène Courty (Creuse)
37 enregistrements (K7) ****
* violon normal
** violon trois-quart
*** violon normal et violon à pavillon
**** violon à deux chanterelles
A cela, s'ajoute une recherche systématique, effectuée dans 23 communes du Nord-Aveyron
formant une entité culturelle, concernant la présence ou l'absence de "violoneux" dans cette
région entre 1880 et 1980. Les résultats ont été publiés dans la Revue du Rouergue N°8 en
1986.
“…VII - Le violon
La Viadène n’est pas comme l’Artense ou les Monédières en Corrèze, un pays de violon.
“Oh ! il y a en a eu vers 1870-1914, par là… C’était des maçons, des tailleurs de pierre qui venaient
de la Creuse ou de la Corrèze. On les appelait « les Limousins »” 1
Notre recensement fait cependant apparaître un certain nombre de personnes ayant pratiqué le
violon de routine – toujours indirectement – au cours de ce siècle. Citons par ordre alphabétique :
1 Commentaire recueilli à Lacalm qui s’applique aux violoneux et aux vielleux.
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