N° 252 - Recherche et Technologie

Nouvelle
compagnie
Le Brussels South
Charleroi Airport (Bsca)
est désormais relié
quatre fois par
semaine à Casablanca
par la compagnie
Air Arabia, nouvelle
venue sur la
plate-forme
aéroportuaire
wallonne.
Un aéroport
qui vole de record
en record ! En avril
dernier quelque
327 907 passagers
sont passés par Bsca,
explosant ainsi la
barrière des 300 000
passagers par mois !
http://www.
charleroi-airport.com
et
http://www.
airarabia.com
Athena 252 / Juin 2009
Actualités
notaire. Une démarche vitale pour SES Astra
qui sous-traite une partie de ses équipements les
plus importants, dont les racks de contrôle qui
gèrent le trafic Internet par satellite et les décodeurs
pour les particuliers.
«Grâce au Cetic, nous sommes certains de la
complétude et de l’exactitude des documents, des
logiciels et systèmes électroniques déposés chez
le notaire. Il s’agit d’une garantie importante qui
nous permet d’assurer la pérennité de nos produits
et de notre service après-vente», précise
Vincent Masquelier, Senior Communication System
Engineer chez SES Astra. Installé à Charleroi,
le Cetic se présente comme une interface
de connexion et de transfert de technologies
entre la recherche universitaire et les entreprises.
http://www.cetic.be; http://www.tudor.lu et
http://www.ses-astra.com
D
es faisceaux d’ions… au service de la recherche,
de l’enseignement et des industries.
Ainsi se présente le Larn (Laboratoire d’analyses
par réactions nucléaires), département du
Centre de recherche en physique de la matière
et du rayonnement (Pmr) des Facultés universitaires
Notre-Dame de la Paix de Namur
(FUNDP). Un labo qui souffle cette année ses
quarante bougies ! Sur le terrain de la recherche
et de l’enseignement, le Larn s’active sur trois
cibles: la science des matériaux, l’interaction/matière
et les sciences de la vie. À côté de
ces travaux, le Larn opère également comme
prestataire de services sur des produits solides
inertes, des matériaux biologiques et des aérosols.
Parmi les clients industriels du labo namu-
Ainsi était
notre pays !
E ntre 1771 et 1778, notre territoire était
cartographié pour la première fois de
manière homogène. Les documents originaux
de ce travail, réalisés à la main et à l’échelle
1:11 520 en 275 feuilles, sous la houlette
du Comte Joseph Jean François de
Ferraris, ont été scannés par la Bibliothèque
royale. L’Université de Gand et l’Institut
géographique national (IGN) ont ensuite
exploité les dernières technologies en
matière de traitement de l’image. Le résultat
de ce travail est la sortie aujourd’hui d’un atlas dont les cartes montrent notre pays
tel qu’il était dans la seconde moitié du XVIII e siècle ! 608 pages pour un poids total de
11,5 kg ! Emballé dans un coffret à poignée, question de facilité le transport. Et en fin
de l’ouvrage, un index des noms riches de quelque 3 000 toponymes !
http://www.ngi.be
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rois, on trouve des noms aussi prestigieux que
Procter & Gamble, Arcelor, Iba, Gsk, Total
Fina Elf, Péchiney, ArcelorMittal, etc. Depuis
sa création, le Larn compte également 21 thèses
de doctorat, plus de 360 publications et quelque
100 rapports de recherche pour l’industrie.
http://www.fundp.ac.be
A
u plus tard le 2 novembre. Les prix scientifiques
quinquennaux 2006-2010 du Fonds
national de la recherche scientifique (FNRS)
sont attendus pour 2010. Ils couvriront l’ensemble
du spectre scientifique avec le prix Dr. A.
De Leeuw-Damry-Bourlart, qui récompensera
un lauréat dont les travaux touchent les
sciences exactes fondamentales et un lauréat
dont les travaux relèvent des sciences exactes
appliquées; le prix scientifique Ernest-John
Solvay qui récompensera un lauréat pour ses
travaux en sciences humaines et sociales et
enfin le prix scientifique Joseph Maisin qui
récompensera un lauréat pour des travaux en
sciences biomédicales fondamentales et un lauréat
dont les travaux touchent aux sciences biomédicales
cliniques. Les candidatures à ces prix
seront adressées auprès de la secrétaire générale
du FNRS, au plus tard, le 2 novembre 2009.
http://www.frs-fnrs.be
Le luxo par le Net. Vous travaillez au grandduché,
aimeriez y trouver un job ou y faire des
affaires, alors le site http://www.elearning.lu devrait
vous intéresser. Son bilan est d’ailleurs impressionnant.
Depuis sa création, il y a presque quatre
ans, plus de 12 500 personnes ont rejoint cette
plate-forme de formation en ligne pour y apprendre
le luxembourgeois !
Supporté par le réseau Quattropole (Luxembourg-Metz-Sarrebruck
et Trêves) et animé par
l’Université du Luxembourg, ce cours est une
autoformation axée sur la communication orale
et destinée aux frontaliers ainsi qu’a toute personne
souhaitant apprendre le luxembourgeois.
Les cours sont composés de huit leçons à dix
activités et construits autour de courtes séquences
vidéo montrant des situations courantes de la
vie quotidienne.
Si les étudiants peuvent atteindre un niveau de
langue B1, ils ne reçoivent pas de certificat ou
diplôme. Les modules d’e-learning sont gratuits,
publiques et flexibles. La navigation sur le site
est facile: un simple clic suffit pour écouter des
mots isolés ou des phrases entières. Les explications
grammaticales sont fournies en français et
les feedback immédiats permettent à l’apprenant
de contrôler sont apprentissage.
http://www.elearning.lu