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Procès-verbal du 25 Octobre 2011 - Mons

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Echevin à l’époque mais je crois qu’il est un petit peu d’accord avec moi sur ce plan là.<br />

D’ailleurs, il a pris une démarche à un certain moment, je ne sais pas si elle a abouti<br />

réellement maintenant, d’engager un conseiller financier, de façon à ne pas avoir que les<br />

seuls avis de Dexia lorsqu’il fallait prendre une décision. Ceci dit, je veux bien<br />

reconnaître M. MILLER que je n’étais pas le seul à me méfier, que vous aussi, vous<br />

vous êtes méfié, probablement le Bourgmestre aussi, ça de mémoire je ne m’en<br />

souviens pas mais on n’est pas obligé, parce qu’il y a une circulaire ministérielle,<br />

d’obéir avec le petit doigt sur la couture <strong>du</strong> pantalon, il y a des communes qui ne l’ont<br />

pas fait. J’ai cité tout à l’heure Jean-Luc Crucke de votre parti mais Jean-Michel Javaux<br />

qui est Bourgmestre de Amay, même si Ecolo était dans le gouvernement, la commune<br />

d’Amay n’a pas acheté les fameux pro<strong>du</strong>its de Dexia. Ce n’était pas un crime de lèse-<br />

majesté que de faire preuve d’autonomie communale et de dire non, on n’applique pas<br />

la circulaire ministérielle. Moi, je crois que ça doit nous servir de leçon pour l’avenir, le<br />

passé est le passé, heureusement il y a, l’Echevin l’a expliqué, peut-être une situation<br />

qui n’est pas totalement catastrophique mais c’est quand même de l’argent per<strong>du</strong>, il ne<br />

faudrait pas aboutir à l’idée qu’on n’a rien per<strong>du</strong> <strong>du</strong> tout. Mais, n’empêche que ça doit<br />

nous servir de leçon pour l’avenir, nous devons être méfiants vis-à-vis des banques, les<br />

banques qui se disent au service des communes, sont d’abord au service d’elles-mêmes<br />

et si ça rentre bien dans la tête, ça nous évitera peut-être des erreurs à l’avenir.<br />

M. Richard MILLER, Conseiller : Simplement, je n’ai pas parlé d’attitude de lèse-<br />

majesté, de crainte par rapport à Dexia, j’ai repris et on peut retrouver le procès-<strong>verbal</strong><br />

de cette réunion de septembre 2009, j’ai repris les propos <strong>du</strong> Bourgmestre, de moi-<br />

même à ce sujet. Nous avons dit, au nom <strong>du</strong> Collège que nous étions conscients <strong>du</strong> fait<br />

que nous étions pris dans un cadre un peu surréaliste par rapport au fait de devoir<br />

recapitaliser Dexia. Mais, le fait d’avoir pris la décision, M. VISEUR, nous l’avons fait<br />

consciemment, dans l’intérêt public, dans l’intérêt général. Et c’est la raison pour<br />

laquelle nous avons pris cette décision. Aujourd’hui, bien enten<strong>du</strong>, mais vous ne le<br />

faites pas et je vous en remercie, on pourrait ironiser à ce sujet là mais il n’empêche que<br />

c’est dans ce cadre là que nous avions pris la décision et vous saviez bien d’ailleurs,<br />

vous saviez bien d’ailleurs qu’il s’agissait de l’intérêt général de nos concitoyens<br />

puisque vous n’avez pas voté contre, vous vous êtes abstenus.<br />

Mme Catherine HOUDART, Echevine-Présidente : Après ce débat, je vais en arriver au<br />

vote <strong>du</strong> point 22.<br />

L’Assemblée passe au vote qui donne le résultat suivant :

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