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LES PILIERS DE LA TRAITRISE - Scandale-France.org

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Fin de la deuxième semaine d’août 2003 : Réception d’un appel<br />

téléphonique sur mon portable à TOULOUSE (31). Le commissaire<br />

principal de police, Monsieur Christophe M., me demande des explications<br />

relatives au traitement et à la transmission du résultat de l’enquête<br />

informelle menée dans le cadre de l’affaire de disparition de la jeune Estelle<br />

MOUZIN.<br />

12/08/2003 : Je sensibilise Monsieur Christophe M. sur les<br />

dysfonctionnements constatés depuis ma remise du dossier « Estelle<br />

MOUZIN » aux services compétents.<br />

18/08/2003 : Remise au commissaire Christophe M. à NANTERRE (92),<br />

d’un rapport officiel de quatre pages dans lequel je sollicite la protection de<br />

mon entourage familial par les services compétents.<br />

Il est à noter que mon chef de groupe, le lieutenant B. Jean Maurice,<br />

assiste à l’entretien qui s’ensuit dans le bureau de Monsieur M. Christophe.<br />

Après avoir pris connaissance de mon rapport, Christophe M. me<br />

signifie qu’aucune autorité n’accédera à ma demande. Il me rappelle qu’il a<br />

donné toute latitude à mon chef de groupe pour me porter assistance<br />

ponctuellement.<br />

Or, le 19/08/2003, soit le lendemain de notre entrevue, je prends<br />

conscience de nouvelles filatures sur la voie publique, qui me poussent à<br />

réfugier ma famille auprès d’un escadron de Gendarmerie Mobile. [ cf. –<br />

compte-rendu détaillé – pages 15 et 16 ]<br />

[Par la force des choses, je fais appel au lieutenant B. Jean Maurice<br />

qui accepte avec son groupe de se porter au devant de nous et de nous<br />

escorter jusqu’à mon domicile à COURBEVOIE (92), bravant par là même<br />

l’interdiction du commissaire Christophe M., selon lui.<br />

Pressé de me fournir de plus amples explications, le lieutenant B.<br />

Jean Maurice m’indique que le commissaire M. Christophe lui a<br />

formellement intimé l’ordre de ne plus intervenir en ma faveur.]<br />

Toujours le 18/08/2003, au cours de l’entretien dans son bureau, je<br />

note que M. Christophe s’autorise à porter un jugement de valeur sur la<br />

santé mentale de l’adjudant O. de la Brigade de Recherche Départementale<br />

de GRENOBLE, sans vérification préalable.<br />

[Ce qui n’empêche nullement M. Christophe, le 20/08/2003 de me<br />

proposer une audioconférence avec Monsieur O. depuis son bureau à<br />

NANTERRE (92).<br />

Le commissaire Christophe M. a semble t-il déjà balayé ses considérations<br />

sur l’état mental de l’adjudant O.]<br />

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