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LES PILIERS DE LA TRAITRISE - Scandale-France.org

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Conclusions rendues sur le contenu de l’article<br />

4/ MELUN<br />

Propos diffamatoires et fallacieux relevés :<br />

« Il veut absolument parler en personne au commissaire principal<br />

Pascale Bastide…… Il refuse de se confier à l’un de ses adjoints. »<br />

En réalité,<br />

le brigadier Marc SILVA a insisté le 04 août 2003 à 18 H<br />

45, pour remettre en mains propres le dossier résultant de l’enquête<br />

informelle concernant la disparition de la petite Estelle MOUZIN à l’officier<br />

de permanence Stéphanie L., et ce alors que j’étais à ses côtés en voiture sur<br />

la route de Versailles.<br />

Cette fonctionnaire lui a répondu agressivement par voie<br />

de fil<br />

qu’elle<br />

finissait sa journée à 19 H 00, et que les résultats des travaux<br />

de<br />

voyant ou médium pouvaient bien attendre le lendemain matin. Elle n’a pas<br />

voulu attacher d’importance au faisceau d’éléments suffisant de l’avis de<br />

Marc pour orienter une enquête et amener à la surveillance du suspect en<br />

vue de son interpellation éventuelle avant la commission possible d’autres<br />

crimes.<br />

Mon frère s’est insurgé de l’accueil donné à son appel et surtout du<br />

refus de cette fonctionnaire de police de devoir faire un dépassement horaire<br />

pour réceptionner notre dossier.<br />

Il a donc demandé à parler au responsable de la cellule Estelle<br />

MOUZIN.<br />

Il n’a pas obtenu satisfaction.<br />

……………………..<br />

« Le commissaire Bastide, intrigué, prend néanmoins la<br />

communication ».<br />

Marc SILVA n’a jamais eu d’autre interlocutrice que l’officier de<br />

permanence, à savoir, Stéphanie L. et ce en ma présence.<br />

J’ose d’ ailleurs espérer que dans<br />

le cas contraire le commissaire du<br />

SRPJ de Versailles se serait montré plus responsable à l’égard de la<br />

demande<br />

pressante d’un policier.<br />

Le premier échange verbal avec Bastide Pascal et (non Pascale au<br />

féminin comme il est annoté dans le texte) a eu pour cadre les locaux du<br />

SRPJ<br />

de VERSAIL<strong>LES</strong> le 09 août 2003 lorsque Marc lui a remis en mains<br />

propres la photographie d’identité scannée en couleur du suspect qu’il<br />

venait<br />

de recevoir par courrier de la préfecture de Melun.<br />

Par contre, Marc SILVA a reçu un écho favorable auprès du<br />

capitaine Bernard M. de l’OCDIP, qu’il avait contacté en premier lieu. Le<br />

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