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LES PILIERS DE LA TRAITRISE - Scandale-France.org

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<strong>LA</strong>NGAGE <strong>DE</strong> SOURD ET <strong>DE</strong> MALENTENDANT<br />

- Carnet de route du 20 août 2003 :<br />

Le lieutenant Jean Maurice B. se rend à mon domicile pour prendre de mes<br />

nouvelles et me confie que le commissaire Christophe M. a réussi à joindre<br />

l’adjudant de Gendarmerie Nationale, Monsieur O. Dans le cadre du<br />

dossier de l’affaire « Léo BALLEY » classée SECRET <strong>DE</strong>FENSE, ce<br />

dernier avait été interloqué à l’évocation du nom de Monsieur Lionel<br />

JOSPIN (Ex-premier ministre français) et d’un courrier ? (lors d’une séance<br />

d’Elisabeth)<br />

En effet, O. admet que cette information à une date bien précise était<br />

inconnue du grand public, compte-tenu du nombre restreint de personnes au<br />

courant.<br />

Avant de quitter mon domicile courbevoisien, le lieutenant Jean<br />

Maurice B. m’informe que le commissaire Christophe M. (O.C.R.B.) l’a<br />

chargé de récupérer ma seconde arme, à savoir un revolver "Manhurin” –<br />

38 SP (numéroté K30777 en dotation individuelle).<br />

Devant mon indignation, le lieutenant Jean Maurice B. refuse le<br />

SECOND ORDRE ARBITRAIRE de Christophe M. (O.C.R.B.) de me<br />

retirer mon seul moyen de défense au vu de la menace qui pèse sur mon<br />

entourage.<br />

Le commissaire Christophe M. (O.C.R.B.) appelle sur mon portable<br />

et me propose de venir au service le lendemain à dix heures, sis 101 rue des<br />

trois fontanot à NANTERRE (92), en vue de clarifier la situation actuelle<br />

avec l’adjudant O. de la Brigade de Recherche Départementale de<br />

GRENOBLE, et ce depuis son bureau et donc par téléphone.<br />

(voir rapport de transmission au préfet, M. Roger MARION.) – Page deux.<br />

En dépit des tiraillements de ses supérieurs hiérarchiques et de son<br />

fidèle compagnon d’arme, le chef de groupe de Marc, le lieutenant Jean<br />

Maurice B. essaie d’analyser cette situation atypique qui ne figure dans<br />

aucun manuel.<br />

« En toute objectivité » revient dans sa bouche comme un leitmotiv,<br />

malgré les doutes que la physionomie de son visage trahit.<br />

Cet homme visiblement sensible, les yeux noyés par le chagrin, se<br />

retrouve de part sa position hiérarchique entre le marteau et l’enclume. Tout<br />

bon enquêteur qu’il est, il veut rassembler des preuves tangibles pour stopper<br />

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