Vastin LESPY & Paul RAYMOND - IEO París - Free
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?0 MIA MÈU, masc. et fera., miel: Mey douce a la mie bouque que la mèu. iii . (Votre parole) plus douce que le miel à ma bouche. Lo meu doos Qui deus pientis goteïa. Ps. Le doux miel qui dégoutte des rayons. A Sent-Miquèu, Pelé l'ahellie e taste lou mèu.PR. B. A la Saint- Michel, tue l'abeille et goûte le miel. Dès la fin de septembre, il faut extraire le miel des ruches. Lou mèu qu'ey héyt enta qu'eu lequen. pr. h. Le miel est fait pour qu'on le lèche. En fr. xiii« s., « Le miez fait pour c'en le leiche. » Mourte ey l'ahelhe qui dabe lou mèu. IB. Morte est Tabeille qui donnait le miel. On a tué «la poule aux œufs d'or». — On a perdu» la bonne vache à lait. » — Qui minye lieu Non pot escoupi mèu. ib. Qui mange du fiel ne peut cracher du miel. MEURANE : vov. Miugrane. MÈUSSE,rate: Qu'ha ue bèremèusse. PR. B. Il a une belle rate. Se dit du nonchalant, de celui qui « ne se foule pas la rate. » Lounguemèusse, terme injurieux: Loungue-mèuftse, fouyrous. F. Past. Longue-rate, foireux. MEY (Orthez, Bay.); voy. Me, mien. MEY ; même signification que Mes, pins. — Mey; voy. Mes, mais. Meyan: voy. Mieyan. MEYE (Orthez, Bay.); fém. de Mey, mien. MEYLÈU. Meslèu, plutôt.— Mey lèu, vies lèu, plus tôt. MEYRE, sensible, impressionnable au contact. MÈYT. MÈ, fém., pétrin: Debant la mèyt Hès jouga l'esquie. nav. Devant le pétrin tu fais jouer l'échiné. — Bère mèyt taprestimaynctyes. Beau pétrin pour pétrir des enfants. En lat. « Prfestanti corpore nympha,... qufe pulchra faciat te proie pareutem. » Virgile. — Voy. Meytoun. Meytaderie, société, association de personnes pour quelque affaire : En laquoale meytaderie las parfides an mettut tan^J] l'un que l'aute. arcs. Association dans laquelle les associés (les parties) ont rais autant l'un que l'autre. — Voy. Mieytadarie. MEYTAN; même signification que Mieytan. MEYTAT, moitié; voy. M'ieytat. MEYTOUN (Bay.), masc, petit pétrin. — Voy. Mèyt. Lo Pay est mayor quemi.B., s. Mi, moi : Le Pore est plus grand que moi. Tic bieys a mi ah armes. des armes. IB. Tu viens à moi avec MIA, Miar, mener, conduire : Arnauton, vos on nosmiatz? H. A. Arnauton, où MIË nous menez-vous? Los Judeus mian Jesu- Xrist dabant Pilât . H. s. Les Juifs menèrent Jésus-Christ devant Pilate. Voy. Amia. — M'iarèy lou cap de danse. N. past. Je mènerai la tête de (je conduirai la) danse. — Mia goerre a, faire la guerre à : Los qui goerre a mon amna mian. ps. Ceux qui font la guerre à mon âme. MIADOU, Miador, meneur, au sens propre et au sens fig. MIALER; yoj.Mieler, MIASSA, Miassar, Menassa, menacer : Lo senhor lo fassa affidar ad aqueg qui lo miassa. F. B. Que le seigneur le fasse assurer par celui qui le menace. F. B. Lomenassat. ib. Le menacé, io menassa fort de otradyar pervie de feyt. bar. 111e menaça fort de « l'outrager » par voie de fait. MIASSE, Menasse, vaen^cQ : Las miasses qui het (hètz) parechin temeraris . F. Egl. Les menaces que vous faites paraissent téméraires. Yo me clami de miassas que om me fe. F. b. Je me plains de menaces que Ion me fait. Dans bar., menasses. MIAU, au lieu de mioii; voy. Muyoii. MIAU! même signification que Gnau! MIAULA, miauler. MIAULET, miaulement : La hielhe gâte de Piaulet, Douce de pâte e de miaulet... La vieille chatte de Piaulet, douce de patte et de miaulement. On dit aussi La bère gâte, etc. — Voy. Gaie. MIA^ÙSSAT (Aspe/; voy. Miussat. MIC : voy. Amie. MICASSÈ, qui aime les miques, qui s'en nourrit. — Voy. Mique. MICHEROU; même signification que 3Iacherou. MICLAU; voy. Dic-Dac. MICOLE; même signification que Mique. MICUT; paa micut, pain qui n'est pas bien cuit : il est mou comme la mique. MIDUNE; voy. Dic-Dac. MIE, fém. de me, mien. MIE, 3^ pers. da singulier, prés, de l'indicatif, de mia, mener. Mieg; même signif. que Miey. MIEGH, Mieye, fém. del'adjectif méey; voy. à ce mot la locution a mieges. MIEJA, Mieya, diviser par le milieu, rniey. On dit aussi Esmieja, Esmieya. Mieler, Mialer, millier : c. mielers de teule per i an en kis teuleres de Montaner. art. Cent milliers de tuiles par an aux tuileries de Montaner. Cent mialers de teule. IB. MIELHE, meilleur, meilleure : Lou medhe tros, le meilleur morceau. Lou cèu
MIE pe de miellie pasture. vous donne meilleure DRSP.Que le ciel pâture. — , adv., mieux :Jou dansi mielhe que Martii.i^.'PAST. Je danse mieux que Martin. On dit aussi Melhe. MIELHOU, Mielhor, meilleur: Ahroucan loii mielhou harricot. F .Past. Ils mirent en perce le meilleur baril . Fe seder Said.. en lo mielhor loc. H. S. 11 fit asseoir Saûl... à la meilleure place. Dans F. o., mielhor, meUhor. — Mielhou, adv., mieux. MIELHOURÉE ; voy. Mielhurèe. MIELHURA, Mieihurar, amélio- rer. On dit aussi melhura. — Voy. Ame- Ihura, MeUorar. MIELHURAMENT , masc. amélioration, Melhurament, MIELHURAU, MeJhurau, adj., qui produit, peut produire un mieux. — , Substantif, mieux, un état meilleur. MIELHURÈE, il/e^/n/t.F. h. Travaux et améliorations que l'acheteur y aura faits (aura faits à la propriété). Mielhourèe de la mourt. Mieux trompeur qui précède la mort. MIEY,Mieg, fém. mïeye, miecje.àemv. U raiey pua, un demi-pain ; ue miege mesture, une demi « méture »; miege hore, demiheure ; ue hore e mieye, une heure et demie. — Ni riiiey, ni mieye, précédés d'un substantif, sig-nifient, comme en fr., « ni demi, ni demie », sans rien absolument de la chose dont il s'agit : AUiu hiln sens tristesse ni mieye. s. g. Ainsi je vivais sans tristesse ni demie (sans la moindre tristesse, absolument sans tristesse). Dans MOLIÈRE, Sgan. 16 : « Sans respect ni de- mi » (sans aucun respect). — Lou miey, le milieu; au miey, au milieu ; Au miey deu €00 hère plague Icyau. s. G. Au milieu du cœur une plaie profonde. — Riu en mieys, ruisseau au milieu, carrère en mieys, chemin, rue au mihcu, étaient employés pour indiquer que le ruisseau, le chemin, séparaient deux champs, deux maisons, etc. : L'hostau la carrere en mieys deude Couder i ne. dkn. La maison séparée par le chemin de celle de Conderine. — Miey per miey, par moitié : A mieges de projieit. F. Egl.k moitié profit. A mieyes, coumlous cautères. PR.n. A moitié, comme les chaudronniers. Se dit àpropos d'un partage fait ou à faire en doux parts égales; on ne sait pas l)ien ])Our(pioi les chaudronniers interviennent dans cette expression. On prétend qu'ils exagéraient leprix de leur travail, et qu'on lin de compte ils le réduisaient à moitié. — A miey jenè, MIË 71 Miey palhè; A Miey heure, Miey graè, E lou 2^orc sancé. PR. B. A la mi-janvier, ini- « pailler» (la paille réduite de moitié) ; à la mi-février, mi-grenier (à moitié plein), et le porc entier ( la salaison conservée). Ainsi pourvus à cette époque de l'année, les gens de la campagne ont pour eux et pour leurs bêtes de quoi arriver aux mois où se renouvellent les provisions. — T)a.j/s le Lavedan (H.-Pyr.) : « Ta sent Bertran de zè, Miey graa, miey palhè, miey hee, Et porc entier, c. A la Saint-Bertrand de janvier, moitié grain, moitié « pailler », moitié foin, et le porc entier. — Dans les Basses-Alpes : « En mitan février, mitan grange, mitan grenier. » — It.: « Mezzo gennaio, mezzo pane et mezzo pagliaio.» Cî. Proverbes fribourgeois dans Romania, VI, p. 77 et 89. MIEYA; voy. Mieja. Mieyaa, séparation, ce qui sépare deux propriétés : Las mieyaas e tennis deus terradors. .\.RCH. Les séparations et limites des terrains. Mieyan, Meyan, subst. , moyen : Per quinhs... mieyans. BAR. Par quels moyens. Au mieyan de— IB., per meyan de que, ARcn., moyennant quoi. Mieyansaa, intermédiaire : Lo acort, Diu mieyansaa, es bengutahone conclusion. AKCii. L'accord, grâce à Dieu, est venu à bonne conclusion (a été bien conclu). Mieyansant, moyennant : M^ieyatisaii[t']juranient. s. J. Moyennant serment. Lat.
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MÈU, masc. et fera., miel: Mey douce<br />
a la mie bouque que la mèu. iii . (Votre parole)<br />
plus douce que le miel à ma bouche.<br />
Lo meu doos Qui deus pientis goteïa. Ps.<br />
Le doux miel qui dégoutte des rayons.<br />
A Sent-Miquèu, Pelé l'ahellie e taste lou<br />
mèu.PR. B. A la Saint- Michel, tue l'abeille<br />
et goûte le miel. Dès la fin de septembre,<br />
il faut extraire le miel des ruches. Lou<br />
mèu qu'ey héyt enta qu'eu lequen. pr. h.<br />
Le miel est fait pour qu'on le lèche. En<br />
fr. xiii« s., « Le miez fait pour c'en le<br />
leiche. » Mourte ey l'ahelhe qui dabe lou<br />
mèu. IB. Morte est Tabeille qui donnait le<br />
miel. On a tué «la poule aux œufs d'or».<br />
— On a perdu» la bonne vache à lait. » —<br />
Qui minye lieu Non pot escoupi mèu. ib.<br />
Qui mange du fiel ne peut cracher du miel.<br />
MEURANE : vov. Miugrane.<br />
MÈUSSE,rate: Qu'ha ue bèremèusse.<br />
PR. B. Il a une belle rate. Se dit du nonchalant,<br />
de celui qui « ne se foule pas la<br />
rate. » Lounguemèusse, terme injurieux:<br />
Loungue-mèuftse, fouyrous. F. Past. Longue-rate,<br />
foireux.<br />
MEY (Orthez, Bay.); voy. Me, mien.<br />
MEY ; même signification que Mes,<br />
pins. — Mey; voy. Mes, mais.<br />
Meyan: voy. Mieyan.<br />
MEYE (Orthez, Bay.); fém. de Mey,<br />
mien.<br />
MEYLÈU. Meslèu, plutôt.— Mey lèu,<br />
vies lèu, plus tôt.<br />
MEYRE, sensible, impressionnable au<br />
contact.<br />
MÈYT. MÈ, fém., pétrin: Debant la<br />
mèyt Hès jouga l'esquie. nav. Devant le<br />
pétrin tu fais jouer l'échiné. — Bère mèyt<br />
taprestimaynctyes. Beau pétrin pour pétrir<br />
des enfants. En lat. « Prfestanti corpore<br />
nympha,... qufe pulchra faciat te proie<br />
pareutem. » Virgile. — Voy. Meytoun.<br />
Meytaderie, société, association de<br />
personnes pour quelque affaire : En laquoale<br />
meytaderie las parfides an mettut<br />
tan^J] l'un que l'aute. arcs. Association<br />
dans laquelle les associés (les parties) ont<br />
rais autant l'un que l'autre. — Voy. Mieytadarie.<br />
MEYTAN; même signification que<br />
Mieytan.<br />
MEYTAT, moitié; voy. M'ieytat.<br />
MEYTOUN (Bay.), masc, petit pétrin.<br />
— Voy. Mèyt.<br />
Lo Pay est mayor quemi.B., s.<br />
Mi, moi :<br />
Le Pore est plus grand que moi. Tic bieys<br />
a mi ah armes.<br />
des armes.<br />
IB. Tu viens à moi avec<br />
MIA, Miar, mener, conduire : Arnauton,<br />
vos on nosmiatz? H. A. Arnauton, où<br />
MIË<br />
nous menez-vous? Los Judeus mian Jesu-<br />
Xrist dabant Pilât . H. s. Les Juifs menèrent<br />
Jésus-Christ devant Pilate. Voy. Amia.<br />
— M'iarèy lou cap de danse. N. past. Je<br />
mènerai la tête de (je conduirai la) danse.<br />
— Mia goerre a, faire la guerre à : Los<br />
qui goerre a mon amna mian. ps. Ceux qui<br />
font la guerre à mon âme.<br />
MIADOU, Miador, meneur, au sens<br />
propre et au sens fig.<br />
MIALER; yoj.Mieler,<br />
MIASSA, Miassar, Menassa, menacer<br />
: Lo senhor lo fassa affidar ad aqueg<br />
qui lo miassa. F. B. Que le seigneur le<br />
fasse assurer par celui qui le menace. F. B.<br />
Lomenassat. ib. Le menacé, io menassa<br />
fort de otradyar pervie de feyt. bar. 111e<br />
menaça fort de « l'outrager » par voie de<br />
fait.<br />
MIASSE, Menasse, vaen^cQ : Las miasses<br />
qui het (hètz) parechin temeraris . F. Egl.<br />
Les menaces que vous faites paraissent<br />
téméraires. Yo me clami de miassas que<br />
om me fe. F. b. Je me plains de menaces<br />
que Ion me fait. Dans bar., menasses.<br />
MIAU, au lieu de mioii; voy. Muyoii.<br />
MIAU! même signification que Gnau!<br />
MIAULA, miauler.<br />
MIAULET, miaulement : La hielhe<br />
gâte de Piaulet, Douce de pâte e de miaulet...<br />
La vieille chatte de Piaulet, douce<br />
de patte et de miaulement. On dit aussi<br />
La bère gâte, etc. — Voy. Gaie.<br />
MIA^ÙSSAT (Aspe/; voy. Miussat.<br />
MIC : voy. Amie.<br />
MICASSÈ, qui aime les miques, qui<br />
s'en nourrit. — Voy. Mique.<br />
MICHEROU; même signification que<br />
3Iacherou.<br />
MICLAU; voy. Dic-Dac.<br />
MICOLE; même signification que Mique.<br />
MICUT; paa micut, pain qui n'est pas<br />
bien cuit : il est mou comme la mique.<br />
MIDUNE; voy. Dic-Dac.<br />
MIE, fém. de me, mien.<br />
MIE, 3^ pers. da singulier, prés, de<br />
l'indicatif, de mia, mener.<br />
Mieg; même signif. que Miey.<br />
MIEGH, Mieye, fém. del'adjectif méey;<br />
voy. à ce mot la locution a mieges.<br />
MIEJA, Mieya, diviser par le milieu,<br />
rniey. On dit aussi Esmieja, Esmieya.<br />
Mieler, Mialer, millier : c. mielers de<br />
teule per i an en kis teuleres de Montaner.<br />
art. Cent milliers de tuiles par an aux<br />
tuileries de Montaner. Cent mialers de<br />
teule. IB.<br />
MIELHE, meilleur, meilleure : Lou<br />
medhe tros, le meilleur morceau. Lou cèu