Le Tre Fasi - Fuoco Sacro

plus proche de sa nature, plus souple à sa volonté, des particules nettes et
mondées qu’il peut récolter autour de soi, afin de s’en servir comme véhicule
nouveau.
Il gagne alors la surface externe de la substance brassée et continue de
SE MOUVOIR SUR LES EAUX, ainsi qu’il est dit dans la GENESE (I,2)
jusqu’à ce que la lumière paraisse.
C’est alors qu’il prend, en se coagulant, une couleur blanche éclatante, et
que sa séparation de la masse en est rendue très facile, puisque la
lumière s’est, d’elle -meme, placée sur le boisseau, laissant à l’artiste le
soin de la recueillir.
Apprenons encore, pour que l’étudiant ne puisse rien ignorer de la pratique,
que cette séparation, ou sublimation du corps et manife-station de
l’esprit doit se faire progressivement et qu’il faut la réitérer autant de
fois qu’on le jugera expédient.
Chacune de ces réiterations prend le nom d’AIGLE.
FAIRE VOLER L’AIGLE, suivant l’éxpression hermetique, c’est faire briller
la lumière en la découvrant de son enveloppe obscure et en la portant à la
surface.
Mais nous ajouterons que, contrairement à la sublimation chimique, l’esprit
étant en petite quantité par rapport au corps, notre opération fournit peu
du principe vivifiant et organisateur dont nous avons besoin.
Ainsi l’artiste prudent devra s’efforcer de rendre l’occulte manifeste, et
de faire que “ce qui est dessous soit dessus” s’il désire voir la lumière
métallique interne irradier à l’exterieur.
Durante questi non pochi anni mi sono formato l’opinione che la pratica di
Fulcanelli sia diversa da quella di Canseliet, nel senso di una maggiore
eleganza, semplicità e speditezza.
E’ verosimile che la Via di Fulcanelli sia la Via veramente Breve (cfr. il
file) e che Canseliet tenti semplicemente, e forse goffamente, la secca.
Prendiamo la classica, antica immagine della pratica della Pietra Filosofale
come un’albero. Fulcanelli padroneggia magnificamente il tronco, e si
sposta lungo di esso con grande rapidità, servendosi di mezzi rapidi,
eleganti ed efficaci.
Canseliet arranca fra i rami, usando- chissà per quale motivo- strumenti
meno potenti: i 1200 gradi e oltre- quarto grado del fuoco in Fulcanelli- in
Canseliet non si ritrovano neanche nell’ultima fase.
Del resto se la refrattarietà e resistenza dello Zolfo e del Lapis che ne
consegue sono da prendersi alla lettera, e potrebbe ben essere, dopo
tutto, personalmente userei i 3500 gradi! E’ sciocco non servirsi dei mezzi
moderni a disposizione, se il lavoro ne può essere abbreviato: eppure
per la temperatura vi è la certezza che Canseliet ne usasse una di gran
lunga più bassa rispetto a Fulcanelli: forse meno della metà.
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