Le Tre Fasi - Fuoco Sacro

Un’ipotesi interessante potrebbe essere quella di disporre la quantità richiesta
di ferro in quattro quote, non necessariamente uguali, e di impiegarne una per
ogni tappa del processo, dalla prima congiunzione alla terza R.
La massima parte dello Zolfo (S) e dell’Arsenico (As) della stibina si
attaccherebbe alle scorie ferrose della prima congiunzione, mentre
successivamente il ferro opererebbe su un materiale sempre più vicino alla
natura del regolo, piuttosto che di Gaia.
7 Giugno 1995: questo modo di procedere, in realtà è avallato dal primo
Canseliet, nel 1945. Infatti nel suo Deux Logis troviamo a pag.28:
“EST OPUS OCCULTUM VERI SOPHI APERIRE TERRAM UT
GERMINET SALUTEM PRO POPULO”:..C’ est pourquoi ces deux lignes
s’étendent de part et de l’autre d’un graphique alchimique placé en leur milieu
et qui est l’idéogramme complet de la phase première et capitale du Grand
Oeuvre.Celle ci comporte, en effet, l’ouverture par le fer, de la terre
philosophale, à la manière du soc fouillant le sol à feconder.
Ainsi, la lance de Mars sépare-t-elle le croissant lunaire, qui evoque la double
qualité, frigide et acqueuse, de la matière initiale des alchimistes.
Trois traverses coupent la hampe verticale et rappellent les trois réitérations
subséquentes de la meme technique de purification par le fer; la dernière
présentant, à ses extrémités, deux demi-cercles qui figurent les deux composants
salins de l’agént médiateur.
Sempre nel Deux Logis del 1945 troviamo, a pag. 36:
“Symbole de la matière première, le globe crucifère est en meme temps celui
du vaisseau philosophal...A la fois contenant et contenu, la matière (mater)
est à-soi-meme son propre matras (matris)...
Du sujet initial propre aux opérations, sous le tracé cruciforme de la purification
alchimique, que le dard précise etre faite par le fer; du sujet initial...”
Ancora in Deux Logis, pag.114:
“C’est la encore, dans la substitution fréquente du mercure à l’alchimiste,
brièvement mais précisement exposé, le Grand Oeuvre ou art de musique, dans
ses points capitaux: l’extraction de la matière du gìte minier, son avidité à
l’endroit de l’esprit universel, qui est vert, et son exaltation passionnée par
le fer.
Questa operazione del ferro ripetuta tre volte non significherà che, in realtà,
la seconda Opera, le sublimazioni, la rivivificazione del morto etc,
l’abbeverare il secco con il suo umido, siano un tutt’uno con la prima Opera?
Per modo che la prima corrisponda anche alla seconda? Dopo tutto la via
breve comporta una sola operazione in un solo vaso.
w w w . e p i s t e m e . i t