Communiqué de presse (pdf - 300 ko) - Total.com
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2, place <strong>de</strong> la Coupole<br />
La Défense 6<br />
92 400 Courbevoie France<br />
Tel. : 33 (1) 47 44 58 53<br />
Fax : 33 (1) 47 44 58 24<br />
Ladislas PASZKIEWICZ<br />
Samia NEDIR<br />
Pascal BREANT<br />
Robert HAMMOND (New York)<br />
Tel. : (1) 212 922 3065<br />
Fax : (1) 212 922 3074<br />
TOTAL FINA ELF S.A.<br />
Capital 7 087 201 730 euros<br />
542 051 180 R.C.S. Nanterre<br />
www.totalfinaelf.<strong>com</strong><br />
Au cours du <strong>de</strong>uxième trimestre 2002, le Groupe a racheté 2,39 millions 1 <strong>de</strong> ses<br />
propres actions pour un montant global <strong>de</strong> 0,38 milliard d’euros. Il a par ailleurs<br />
procédé à une augmentation <strong>de</strong> capital réservée aux salariés portant sur 2,8 millions<br />
<strong>de</strong> titres. Le nombre dilué d’actions au 30 juin 2002 est <strong>de</strong> 673,6 millions.<br />
Le résultat net part du Groupe ressort à 1 503 millions d’euros alors qu’il était <strong>de</strong><br />
2 501 millions d’euros au <strong>de</strong>uxième trimestre 2001. Ces résultats contiennent <strong>de</strong>s<br />
éléments non-récurrents pour un montant négatif <strong>de</strong> 129 millions d’euros au <strong>de</strong>uxième<br />
trimestre 2002 et positif <strong>de</strong> 374 millions d’euros pour la même pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> 2001. Les<br />
éléments non-récurrents du <strong>de</strong>uxième trimestre 2002 qui ont un impact positif sur le<br />
résultat net sont constitués <strong>de</strong> plus-values <strong>de</strong> cession <strong>de</strong> participations financières ;<br />
ceux qui ont un impact négatif sont notamment les impôts différés liés au changement<br />
<strong>de</strong> législation fiscale dans l’exploration-production au Royaume-Uni, <strong>de</strong>s charges <strong>de</strong><br />
restructuration dans l’Aval et la Chimie, et un <strong>com</strong>plément <strong>de</strong> provision lié à la<br />
catastrophe <strong>de</strong> l’usine AZF <strong>de</strong> Gran<strong>de</strong> Paroisse à Toulouse.<br />
Les conséquences <strong>de</strong> la crise argentine n’ont pas fait l’objet d’ajustement dans les<br />
<strong>com</strong>ptes du premier semestre 2002. L’évolution <strong>de</strong>s négociations en cours sur les<br />
tarifs <strong>de</strong> livraisons domestiques <strong>de</strong> gaz et d’électricité ne permet pas, à ce sta<strong>de</strong>,<br />
d’estimer avec un <strong>de</strong>gré <strong>de</strong> précision suffisant les conséquences éventuelles sur la<br />
valeur <strong>de</strong>s actifs. Les opérations <strong>de</strong> <strong>Total</strong>FinaElf dans ce pays sont relativement<br />
limitées à l’échelle du Groupe.<br />
Résultats du premier semestre 2002<br />
Au premier semestre 2002, le dollar est resté stable par rapport à l’euro avec une<br />
parité moyenne euro/dollar s’établissant à 0,90 sur les <strong>de</strong>ux pério<strong>de</strong>s. Le prix moyen<br />
du baril <strong>de</strong> Brent est en baisse <strong>de</strong> 13% à 23,1 $/b contre 26,6 $/b au premier<br />
semestre 2001. La marge <strong>de</strong> raffinage européenne s’est fortement dégradée à 3,6 $/t<br />
au premier semestre 2002 contre 16,9 $/t pour la même pério<strong>de</strong> en 2001.<br />
Le résultat opérationnel <strong>de</strong>s secteurs d’activité hors éléments non-récurrents est en<br />
baisse <strong>de</strong> 30% au premier semestre 2002 à 5 277 millions d’euros contre<br />
7 527 millions d’euros au premier semestre 2001.<br />
La baisse <strong>de</strong> 2,2 milliards d’euros du résultat opérationnel <strong>de</strong>s secteurs hors éléments<br />
non-récurrents entre le premier semestre 2001 et le premier semestre 2002 s’explique<br />
par un impact global négatif <strong>de</strong> l’environnement pour 2,9 milliards d’euros qui a été<br />
partiellement <strong>com</strong>pensé par les programmes internes pour un montant d’environ<br />
0,7 milliard d’euros, dont 0,5 milliard d’euros grâce à la croissance <strong>de</strong>s productions et<br />
0,2 milliard d’euros grâce aux gains <strong>de</strong> synergies/productivité.<br />
L’impact global négatif du repli <strong>de</strong> l’environnement se dé<strong>com</strong>pose <strong>de</strong> la façon<br />
suivante :<br />
• - 1,3 milliard d’euros lié à la baisse <strong>de</strong>s prix <strong>de</strong>s hydrocarbures (dont 0,2 milliard<br />
d’euros d’effet retard négatif sur les prix du gaz),<br />
• - 1,0 milliard d’euros lié à la baisse <strong>de</strong>s marges <strong>de</strong> raffinage,<br />
• - 0,3 milliard d’euros dû à la dégradation <strong>de</strong> l’environnement Chimie,<br />
• - 0,3 milliard d’euros du fait d’autres éléments 2 .<br />
Le résultat opérationnel net <strong>de</strong>s secteurs d’activité hors éléments non-récurrents<br />
ressort à 2 882 millions d’euros contre 4 427 millions d’euros au premier semestre<br />
2002, soit une baisse <strong>de</strong> 35%. Cette réduction plus forte que celle du résultat<br />
opérationnel s’explique essentiellement par le fait que l’Amont, plus fortement taxé<br />
que l’Aval et la Chimie, a vu sa part dans le résultat <strong>de</strong>s secteurs augmenter entre le<br />
premier semestre 2001 et le premier semestre 2002.<br />
1 y <strong>com</strong>pris 2,04 millions d’actions affectées au plan d’options d’achat<br />
2 environnement marketing (- 0,1 G€), environnement shipping (- 0,1 G€) et autres Aval (- 0,1 G€)<br />
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