X. BARBIER DE MONTAULT 5^5 - Pot-pourri

11 l.K COSTUMK KT l.KS ISAliKS KCCLl'siASTIQVKS
Sî. Suivant le besoin plus on moins impérieux, les vêtements
«le dessous se multiplient. Pour les uns, c'est uNuire de santé et,
pour le plus grand nombre, moyen sur de se préserver du froid.
Il est inutile d'insister sur les trieols el flanelles, qui sont lout. n
fait eaehés el qm» Ton peut considérer comme essentiellement
personnels. On les prend tels qu'ils sont fabriqués parle commerce,
et le blnnc est la couleur ordiunire. Cependant, comme il
en existe» do nuances diverses et que pnrfois ces vêtements pourraient,
se laisser voir par quoique coté, il importe d'éviter les
couleurs voyantes et surtout le rouge. Laissons les chemises
rouges aux Carihaldicns et les ceint lires de mémo teinte aux
communards.
IX. Je m» voudrais appeler ici l'nt tout ion que sur les vêlements
d'un usage général. A eo litre, ils se réduisent n trois : la chemise,
le gilet et la culotte.
'I. 11 n'y n ni forme particulière ni matière déterminée pour la
chemise, exoeplé pour cerlnins réguliers, pratiquant la vieaseéliquc,
(pii la portent en laine (1). Comme presque toujours elle
est ou linge, le blanc est su couleur naturelle.
/«»' M. Jean