X. BARBIER DE MONTAULT 5^5 - Pot-pourri

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nrosl donc île ne donner qui 1
le chapeau réduit, puisqu'il n'y en
n plus d'autre, el que. l'uni'icii semble nvoir fuil son temps.
« Le grand innulonu d'hiver, ilil ferrajolone, ne liomlru pus davantage,
car il esl devenu incommode ol embarrassant. Délaissé
par los cardinaux ol los prédits pour l'usage ordinaire, il n'est
guère pris qu'en eostumo de cérémonie, nveo In voilure formée.
.Moine, on se rond nu Vatican on douillollo ol le mnnleuu n'est
alors endossé que dans les miliehnmhros, on raison de l'éliquello.
ail a élé généralement rem pincé pur lu douillollo, qui n'élnil
jamais do mise nvmil 1870, mais qu'ont adoptée sans difficulté los
eoolésintiques, y compris los ciirdinuux et le Suint-Père.
«Colle réforme — je n'oserais dire colle irrégularité— en a
entraîné fatalement une autre, qui esl la suppression do la simarro,
presque incompatible avec la douillollo, n cause do ses fausses
manebos ol de sa pèlerine. Ou se contente alors de In soutnue.
dont le col n élé légèrement modifié, réebnneriire antérieure étant
sensiblement diminuée et no laissant quo très pou apercevoir leroi
ta m.
« Le manteau do cérémonie, si ample puisqu'il couvrait les
épaules ol était rnmoné ou avant, esl désormais moins étoffé, ol
beaucoup le rejettent, complètement ou nrrièro, ce qui est assurément
moins grneicux. » .l'ai donné lu préférence duns los vignettes
n eo type do l'nvenir.
« Le eostumo do ville, rodingolo el culotte courte, n'exisio plus.
Quelques vieux prélats le gardaient encore, ils sont morts : pour
l'exhiber, il n fallu, faute de modèle vivant, recourir n une
estampe. Abandonné pur ceux n qui no plnil pus In soutane, il
est remptaré pur un costume laïque de couleur sombre, qui
s'achète tout fait.
« Pie IX était pnrvenu n presque supprimer l'habit court des
prélats el h lui substituer, nu moins officiellement, la soutane.
Celle-ci prévaut encore, mais la révolution finira par démocratiser
ce dernier reste de noire costume spécjnl. C'est alors que se
justifiera pleinement le nom donné parles Romains n la douillollo.
qui, pour eux, n'est qu'un vêlement destiné n couvrir leur misère,
ropri miser la,
«Sur un point unique une amélioration n été opérée.Le roffaro
esl inniutonunl muni sur les cotés de deux appendices, qui l'em-