X. BARBIER DE MONTAULT 5^5 - Pot-pourri

LIVIIK U
— COSTUME ISIKI.
lesquelles II faul la recevoir pour l'instruction fies jeunes
hommes du diocèse de Grasse et de Vence, qui 'prétendent à la
clrricature. Paris. Le Petit, lfiîil, in-12.
CIIAIMTIIK VLNTiT-TnniSlKMK
LA CI.KKUIK
1. hôfniilnui.— 2. Origine upnsloliqiic. — 3. Symbolisme. — 4. Krrenr
historique. — 5. Paganisme. — 6. Tonsure de Simon le Magicien. —
7. IMIIH' île lu clergie. — 8. Clergie cl soulune. — 9. Édils. —10. Itenouxcllcmciil
de In clergie. —11. Dimensions île In clergie. — 12. Itégulicrs.
I. La langue ecclésiastique témoigne visiblement de son rni-
Imrras n exprimer d'une façon adéquate des choses essentiellement
distinctes: de là naît une inévitable confusion dans les termes. Il
imporlernil. pour In clarté, des idées, de la faire disparaître complètement.
Si l'on voulait bien m'nllribuer quelque autorité en pareille
matière, je proposernis les modifications suivantes, bnsées n lu
fuis sur In logique el In tradition.
Tonsure signifierait simplement la coupe ruse des cheveux el
n'indiquerait plus, comme duus notre langue, lu ilénudalion nu
rasoir du sommet de 1
In lèle (T).
Rasure devrait s'entendre exclusivement (h 1
la suppression au.
rasoir tant de la barbe que d'une partie des cheveux. J'insiste sur
re mol. qui ne peut être l'équivalent du terme actuel lonsure.
fl)Snhd Thomas d'Aquiu distingue la va*tire de lu lonsure : « lus qui
ml «li vî na niysleriu iipplicniitur coin polit lonsiirn... rat ione siihslruclionis
ru I fil Ioni iu el ex parle superiori per rusiirnui, ne meus eorum tcnipnridihiis
occupai ioni h us u eoulempliilioue divinorum retarde! ur id ex parle iuferiori
|N*r lousiiraui ne eoruin sensu* leiuporaliluis ohvolvnuliir. » (In 4 Sentent..
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