X. BARBIER DE MONTAULT 5^5 - Pot-pourri

LIYRK II. CUSTXMK l'SI'KL 2
iciuniis lumen quandoque rapillos crcscerr prrmittimus, i|iiia
eogilationcs quac contra Dcuin non sunl, ul esl ccclcsiani ncdificarc,
agrum colore et similia, quae lempore abslinenliae ficri
sulent, prohiberi non tlebent. Concilium Cartilagineuse slaluit,
exlra de vilae et lioncslule. clerici, xxxm disl. Si qttid : « ul clev
rici neque comnm nulriant, neque barbam. »
CHAPITRE VINGT-DEUXIEME
LA rKRRCQUK
1. Prescription «te. Uenoil XIV. — 2. Décrets cl édils. — 3. Induil. —
4. Réguliers. — 5. Gens d'église et de service. — 6. bibliographie.
1. Quand les cheveux tombent, on peul, selon le lémoignnge
do Réunit XIV, dnns son Synode diocésain (Tiv. XI, ch. ix, n. l\)
el ses Institutions ecclésiastiques (n° S), porler des cheveux feints
ou une perruque, soit qu'elle couvre entièrement ln tète, soit
qu'elle soit réduite h un simple toupet. Mais pour cela il faut une
uiilorisulioii expresse de l'évèque, qui ne doit nrcorder la dispense»
ipie pour des causes justes et raisonnables, c'est-à-dire sur l'avis
du médecin, qui déclare qu'une telle concession esl faite directement
en vue. delà santé.
2. L'autorisation ainsi donnée ne vaut que pour h» costume
ordinaire, car il est expressément prohibé de célébrer ou de fnire
une fonction ecclésiastique quelconque avec une perruque sur la
téte. En t(KM) .on demanda à la Congrégation purlieulière établie
par Alexandre VIÏÏ, si la défense de célébrer avec la calotte
devait s'entendre aussi delà perruque. La réponse» fut affirmative,
eontprehendi.
En lfliW, la S. C. des Rites a rendu ce décret :
« 'ME VIREX. — Tmnsmissis a Seeivlarin Slalus S. R. C.
duabus lileris, videlicet Rilii Xunlii Viennen., Archicpiscopi Du